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]]>Le Pavillon Temporaire, conçu comme une structure éphémère de 100 m², marque une première dans l’évolution du Jardin Majorelle. Intégré au circuit de visite, il vise à prolonger l’expérience sensorielle du public en proposant un dialogue entre patrimoine végétal et expression architecturale contemporaine. Cet espace entend ainsi approfondir la compréhension du lieu en explorant son histoire et sa richesse botanique.
À l’initiative de Madison Cox, président de la Fondation Jardin Majorelle, cette commande inaugurale a été confiée à l’architecte marocaine Hiba Bensalek. Le pavillon, construit avec des matériaux respectueux de l’environnement, s’inscrit dans une approche harmonieuse avec le paysage du jardin. Il est destiné à rester en place pendant deux ans, inaugurant une nouvelle série d’interventions architecturales temporaires.
Un concours national sera lancé début 2026 pour imaginer les futurs pavillons éphémères du jardin de la Villa Oasis. Ce programme offrira chaque fois à de jeunes architectes marocains l’opportunité de concevoir une structure temporaire, renouvelant ainsi le regard porté sur le jardin tout en soutenant la création architecturale contemporaine. Le prochain pavillon, issu de ce concours, est attendu pour 2027.
Le Pavillon Temporaire ouvre ses portes avec l’exposition inaugurale Flore Majorelle : Collection vivante. Elle présente une sélection de 20 plantes emblématiques ou rares, choisies parmi les quelque 400 espèces du jardin, par le botaniste californien Dean G. Kelch. L’exposition propose une double lecture des spécimens : une approche scientifique et une interprétation artistique coordonnée par Jaimal Odedra. Des illustrations originales, réalisées pour l’occasion par l’équipe graphique du jardin, viennent enrichir cette exploration botanique.
LNT
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]]>The post Nathalie Romier fait revivre Edith Piaf dans deux spectacles au Maroc appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Billets en vente sur place et via guichet.ma
Infoline : 0608 700 100
Tarifs : VIP 600 DH | Orchestre 500 DH | Balcon 1 : 400 DH | Balcon 2 : 300 DH
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]]>The post La passion des couleurs : Une exploration artistique d’Abdelkader Laâraj appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>L’exposition se déroulera du 15 avril au 17 mai 2025.
Autodidacte, Abdelkader Laâraj débute dans le monde de l’art aux côtés de personnalités influentes du groupe de Casablanca, dont Mohamed Melehi et Mohamed Chabâa, avec qui il entretient une relation d’amitié. Son parcours, marqué par cet apprentissage et par de nombreux voyages, lui permet de développer un langage artistique unique.
Dans le catalogue de l’exposition, l’écrivain Olivier Rachet décrit son travail comme suit : « L’important est de créer des ponts entre un langage abstrait, plus schématisé que géométrisé, et une figuration qui valorise les corps, dans une dimension à la fois voluptueuse et spirituelle. Les motifs décoratifs, caractéristiques des arts islamiques, se mêlent ici à la légèreté des anatomies, évoquant l’univers graphique de Matisse ».
Le corps féminin est une thématique centrale dans l’œuvre de Laâraj, qu’il représente avec des couleurs vives. La palette de l’artiste, qui fusionne lignes et éclat des couleurs, est décrite par Olivier Rachet ainsi : « La couleur est une préoccupation essentielle de l’artiste, qui n’opère pas de distinction entre couleur et dessin, mais souligne leur continuité. Les couleurs s’adaptent aux formes, les remplissant par des aplats audacieux. Sa palette, harmonieuse, associe le jaune, le vert, le rouge, le mauve, le rose, l’orange et le noir avec une grande liberté ».
Influencé par sa proximité avec Melehi et Chabâa, Abdelkader Laâraj maîtrise la peinture cellulosique, une technique qu’il utilise pour apporter une richesse supplémentaire aux formes qu’il crée.
Né en 1950 à Casablanca, Abdelkader Laâraj a vu ses œuvres intégrées à des collections publiques et privées. Il a exposé à de nombreuses reprises, tant au Maroc qu’à l’international, notamment en France, en Italie, au Canada et aux États-Unis.
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]]>The post « Oiseaux du Mexique » : Une exposition inédite au musée Yves Saint Laurent Marrakech appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Conçue autour du thème des oiseaux, cette exposition met en avant la place prépondérante de l’avifaune dans l’art et l’artisanat mexicains. Des sculptures, céramiques, textiles, bijoux et œuvres picturales illustrent la diversité des représentations d’oiseaux — des coqs aux paons en passant par les aigles et les hérons — traversant différentes époques, de l’âge classique maya jusqu’aux avant-gardes artistiques contemporaines.
Au-delà de leur dimension esthétique, les oiseaux occupent un rôle central dans les traditions spirituelles et artisanales du Mexique. L’exposition dévoile notamment l’usage des plumes dans des savoir-faire emblématiques tels que l’orfèvrerie de Taxco, la poterie de Guanajuato, la céramique de Tlaquepaque ou encore la joaillerie et le textile. Elle met ainsi en lumière un patrimoine vivant où nature et culture sont intimement liés, trouvant un écho avec les traditions marocaines.
Cette exposition est le fruit d’une collaboration originale entre le Maroc et le Mexique. Imaginée par le commissaire mexicain Juan Gerardo Ugalde Salinas, en poste depuis 2023 au musée Yves Saint Laurent Marrakech, elle a été réalisée en coopération avec des experts en histoire de l’art et en anthropologie. Parmi eux figure Ana Elena Mallet, conservatrice reconnue, qui a apporté son expertise scientifique.
Le projet bénéficie de prêts exceptionnels d’institutions mexicaines de premier plan, telles que l’Institut National d’Anthropologie et d’Histoire (INAH), l’Institut National des Beaux-Arts et de Littérature (INBAL) et l’Institut National des Peuples Indigènes (INPI). Il s’agit de la première présentation d’un ensemble aussi important d’œuvres patrimoniales mexicaines au Maroc.
En parallèle de l’exposition, une programmation culturelle variée est proposée. Elle inclut conférences, concerts et un cycle de projections de films mexicains prévu du 1er mars au 26 juillet 2025, en simultané à l’auditorium Pierre Bergé du musée et à la Cinémathèque de Tanger, avec le soutien de la Fondation Jardin Majorelle.
LNT
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]]>The post Entretien avec Olivier Unia : « La Tbourida rassemble beaucoup de ce que j’aime en photo » appeared first on La Nouvelle Tribune.
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La Nouvelle Tribune : Pourriez-vous présenter votre parcours à nos lecteurs ? Comment définiriez-vous votre style ?
Olivier Unia : J’ai 55 ans mais je suis un jeune photographe, j’ai commencé à pratiquer la photo au début du Covid en janvier 2020. Je viens de la musique, c’est mon métier et j’ai passé ma jeunesse à admirer les pochettes des albums que j’écoutais. J’ai ainsi découvert de grands photographes comme Storm Thorgerson qui a réalisé des pochettes iconiques, celles de Pink Floyd, Lez Zepelin, Muse, Peter Gabriel et bien d’autres encore.
J’ai aussi beaucoup admiré dans les livres d’histoires et les magazines, des photographes reporter de guerres, comme Robert Cappa ou Lee Miller qui sont capable de mettre leurs vies en danger pour immortaliser des moments historiques.
En 2020, on commence à être confiné et comme beaucoup, pour lutter contre l’ennui, j’essaye de m’occuper. On m’avait prêté une caméra pour le tournage d’un clip, elle était là, posée sur un meuble. Je commence à photographier mon chat, mon chien, je regarde des tutos sur YouTube et je suis séduit par l’aspect technique ET artistique, cet équilibre qui, je crois, me convient bien. Un jour d’autorisation de sortie je vais au skate Park à Rabat et j’ai la chance de tomber sur un super gars, très bon skateur, qui profite lui aussi de ce moment de liberté. Je mets de trop longues minutes à régler mon appareil mais finalement je shoot et miracle, la photo est réussie, lui en suspension parfaite, la planche bien visible, le focus était bon, la lumière aussi, ça a été un vrai choc. J’ai eu une sensation qui, depuis, ne m’a jamais quitté.
Je pense que ma première expérience a guidé la suite de mon travail, c’est pourquoi j’aime énormément photographier en lumière naturelle, en extérieur et le plus possible des sujets en mouvement pour en capturer l’instant et le figer. Je suis également très sensible aux portraits de rue, ces regards et visages que l’on croise et qui rendent cet instant imprévisible.
Vous avez remporté le Sony World Photography Awards 2025. Que représente ce type de prix pour un photographe ?
Avec près de 500 000 photos en compétition, ce concours est l’un des plus prestigieux au monde et je voyais passer dans la presse spécialisée, chaque année, les photos des lauréats. En 2024, j’ai eu le plaisir de gagner le « Grand Prix de la Photographie du Maroc by Darem Bouchentouf » avec une photo de Tbourida, ce qui m’a donné confiance pour m’inscrire au Sony World Photography Award. Aujourd’hui c’est, évidemment, une énorme fierté d’être primé, cela donne beaucoup d’énergie pour la suite de mes projets, les expositions, les conférences et les publications à venir.
À travers votre art, on devine votre relation particulière avec le Maroc. Pouvez-vous nous en parler ?
En 2009, nous sommes venus en famille nous installer au Maroc, et au départ nous devions y rester 3 ans ; 17 ans plus tard on est encore ici. Ma relation avec le Maroc est très forte. En ayant souvent déménagé dans ma vie je m’aperçois que Rabat est la ville où j’ai vécu le plus longtemps.
En termes de photo, il est évident que c’est un pays incroyable avec une lumière exceptionnelle et des paysages splendides. Ce n’est pas pour rien que de nombreux tournages de cinéma s’installent ici sans parler de photographes et des peintres. Je ne photographie pas que le Maroc, mais c’est ici que j’ai commencé et je ne me lasse pas de le faire. J’ai également un très grand attachement à la culture du pays que j’essaye de mettre en avant dans mon travail comme par exemple cette série sur la Tbourida. Je suis également fan de l’architecture, ma première exposition solo en 2023 avait justement pour thème la ville de Rabat et désormais je mets un point d’honneur à élargir mon travail photo à d’autres villes du royaume. Comme j’aime dire : « je photographie et mon amour du Maroc fait le reste. »
Plus particulièrement, qu’est-ce qui vous a attiré dans l’art équestre de la Tbourida ?
Jeune, j’ai beaucoup monté à cheval, j’ai un rapport très fort avec les chevaux et forcément, ici, parmi toutes les activités culturelles équestres, la Tbourida est l’une des plus spectaculaires.
En 2023, ma première photo de Tbourida, je l’ai faite à El Arjat. J’ai vraiment ressenti quelque chose de très puissant, de très beau et de très noble et comme j’ai une grande confiance aux chevaux, je n’avais pas peur de me poster très près d’eux.
La Tbourida rassemble beaucoup de ce que j’aime en photo, une lumière naturelle en extérieur, beaucoup mouvement, des chevaux, des hommes courageux qui prennent des risques et une belle représentation culturelle. Mettre tout cela en avant, et avoir l’opportunité de le partager est un réel plaisir.
À l’heure où l’IA menace les artistes du monde, selon vous, qu’est-ce que l’œil d’un photographe apporte qu’un robot ne peut apporter ?
Je suis de l’école de ceux qui trouvent leur accomplissement dans « faire les choses » et pas « regarder les choses se faire ». Je ne suis pas contre le progrès, mais il faut qu’il soit au service du créateur un outils et non pas se substituer à celui-ci.
La technologie dans le médical ou la science c’est formidable, ça sauve des vies, mais artistiquement je ne peux pas me réjouir à l’idée de regarder une photo ou écouter une musique qui a été créée par un programmeur de ligne de code.
Un artiste c’est surtout une vision, une âme, une sensibilité dont les machines sont, par définition, totalement dépourvues. Si un jour, comme dans le film Blade Runner, les machines s’interrogent sur leurs capacités à ressentir l’amour, alors on pourra émettre l’idée qu’elles ont des émotions et qu’elles peuvent donc devenir des artistes.
Personnellement, je milite pour que chaque image générée par une IA en porte la mention de façon systématique et obligatoire.
Propos recueillis par Soufia Khabbouch
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]]>The post Exposition de Mohamed Fariji à L’Atelier 21 : « L’Aquarium imaginaire, épisode #2 » appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>À travers cette exposition, Fariji cherche à réactiver le monde figural de l’Aquarium, en questionnant les mythes locaux et en explorant des récits alternatifs concernant cet espace. Il propose une réflexion sur la mémoire collective et les moyens de réhabiliter des lieux de l’histoire en impliquant le public dans la préservation de ces patrimoines.
Dans le catalogue de l’exposition, l’artiste explique son projet : « Depuis 2012, je me plonge dans les archives de cette mémoire collective, en quête de ce qui a été oublié et effacé par les vagues du temps. Mon projet ne se limite pas seulement à la réhabilitation d’un lieu abandonné : il aspire à recréer ce qui a été perdu, et à offrir une seconde vie à cet Aquarium. Pour cette exposition, mon ambition a été de restituer toutes les céramiques originelles de l’Aquarium de Casablanca, afin de rendre visible ce qui a été trop longtemps invisibilisé. En faisant renaître ces céramiques, ce sont des fragments d’histoire qui ressurgissent à la surface, comme une fenêtre ouverte sur un lieu dont les formes nous parlent encore. »
Il précise que cette exposition est un appel à imaginer l’avenir de cet Aquarium, pour en faire un lieu de mémoire, d’art et d’espoir.
Formé à l’Institut National des Beaux-Arts de Tétouan et à l’École Supérieure d’Art et de Design Llotja de Barcelone, Mohamed Fariji est un artiste polyvalent dont les œuvres ont été exposées dans des institutions renommées, telles que le Kunsthal Aarhus (Danemark), le Musée Mohammed VI d’Art Moderne et Contemporain de Rabat, et la Sharjah Art Foundation (Émirats arabes unis). Il vit et travaille à Casablanca.
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]]>The post « Traversées », une exposition rétrospective de Monia Touiss, du 16 janvier au 6 février appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Monia Touiss s’est distinguée par une approche artistique unique, mêlant abstraction et figuration, avec une utilisation notable des matières et des couleurs. Selon le communiqué de la galerie, l’exposition « Traversées » offre une réflexion sur le temps, la mémoire et les influences variées qui marquent l’œuvre de l’artiste.
Née en 1971 à Tétouan, Monia Touiss a obtenu en 1992 le Prix Mariano Bertuchi et le diplôme de l’École nationale des Beaux-Arts. En 2000, elle a obtenu un doctorat à l’Université de Barcelone. Touiss partage aujourd’hui son temps entre le Maroc et l’Espagne.
Huit expositions personnelles lui ont été consacrées dans la capitale catalane entre 2000 et 2016, principalement à la Galerie Sofia, alors que d’autres lui ont été dédiées à Stuttgart (2000), à Cordoue (2004), à la Cité internationale des arts de Paris en 2002, à Bogotta (2011), à l’Institut français de Marrakech (2015) et à Manama, au Bahrein, à la Albareh Art Gallery en 2016.
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]]>The post 9ème édition de CASAMOUJA, Casablanca continue de s’embellir appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Cette édition, centrée sur les valeurs de civisme, solidarité, intégrité, patriotisme, tolérance et paix, s’inscrit dans le cadre des objectifs du Nouveau Modèle de Développement, qui accorde une place importante à la culture comme facteur de cohésion sociale et de transformation urbaine.
Depuis sa création en 2017, CASAMOUJA s’efforce de redéfinir le paysage urbain de Casablanca en utilisant l’art comme moyen d’expression. L’objectif principal est de démocratiser l’accès à l’art tout en intégrant des messages qui sensibilisent aux enjeux sociaux et culturels actuels. L’édition 2024 a mis en avant des thématiques liées aux valeurs citoyennes, permettant ainsi aux habitants de Casablanca d’interagir avec des œuvres reflétant des questions d’intérêt collectif.
Lors de cette édition, dix fresques ont été réalisées dans divers quartiers de la ville. Parmi les artistes ayant participé, Hamza Bendarham (Ben) a produit des fresques axées sur la préservation de l’environnement et la transmission entre générations. Said Sabbah (Dais) a mis en avant l’unité et la solidarité à travers des représentations de mains entrelacées. Ayoub Dadouche (Afrofatcap) a abordé l’entraide intergénérationnelle, tandis que Fabián Bravo Guerrero (Kato) a introduit une touche internationale en intégrant des motifs inspirés de l’architecture marocaine.
D’autres artistes, tels qu’Amine Hajila (Brush) et Hicham Ismaili Alaoui (Sika), ont exploré des thèmes liés au patrimoine culturel, à la simplicité de la vie traditionnelle et aux symboles de liberté. Les fresques de cette édition ont également été reconnues au-delà des frontières, notamment par la plateforme Street Art Cities.
Depuis son lancement, CASAMOUJA a permis la création de plus de 90 fresques réparties dans toutes les préfectures de Casablanca. Ces réalisations contribuent à transformer l’apparence des quartiers tout en offrant aux habitants des espaces propices à l’échange et à la découverte artistique. Le projet s’inscrit dans la continuité des efforts de WeCasablanca pour renforcer l’attractivité culturelle de la ville.
L’édition 2024 de CASAMOUJA confirme l’importance du street art comme outil de valorisation urbaine et culturelle, tout en intégrant des messages porteurs de valeurs citoyennes
LNT
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]]>The post La Fondation Al Mada lance l’Académie des Arts Régionale appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Cette initiative s’inscrit dans une volonté commune des partenaires de renforcer l’accès à une éducation artistique de qualité au sein des établissements scolaires publics. Elle s’inspire du programme Académie des Arts, lancé en 2009 par la Fondation Attijariwafa bank à Casablanca, qui a permis à près de 2 000 élèves de se former aux arts plastiques et au multimédia.
Pour l’année scolaire 2024/2025, le projet a démarré avec des classes pilotes sur deux sites :
Ces sites accueillent environ 300 jeunes âgés de 15 à 21 ans, dans des espaces repensés pour répondre aux besoins pédagogiques et culturels. Les élèves bénéficient d’une approche novatrice fondée sur la pédagogie par le projet, intégrant des disciplines contemporaines comme les arts numériques.
Les participants auront également accès à un programme complet d’activités culturelles, incluant des sorties thématiques et des masterclasses immersives, pour développer leur sensibilité artistique et leur compréhension des pratiques créatives actuelles.
Ce déploiement marque une étape décisive pour le programme Académie des Arts, qui élargit son champ d’action à l’échelle régionale. Il s’inscrit dans une ambition de soutenir la créativité, d’encourager l’innovation, et d’ouvrir de nouvelles perspectives aux jeunes dans le secteur artistique.
LNT
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]]>The post Empreintes d’artistes : L’atelier musée de l’estampe à la galerie Marsam appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Cette exposition réunit des œuvres créées par un collectif d’artistes lors de résidences aux Villas des Arts de Casablanca et de Rabat en 2024, où ils ont exploré et approfondi les techniques d’estampe. Entre tradition et innovation, les artistes ont fusionné méthodes anciennes et approches contemporaines, produisant des estampes qui témoignent d’un échange entre l’artiste et le support, empreintes de singularité et d’universalité.
Le projet a aussi permis à des étudiants de l’École des Beaux-Arts de Casablanca de s’initier à la linogravure à travers des masterclasses encadrées par des maîtres imprimeurs. L’exposition invite le public à découvrir des œuvres où chaque estampe, qu’elle soit en lithographie, sérigraphie ou gravure contemporaine, dévoile une histoire unique, offrant un aperçu des subtilités de l’estampe comme art contemporain.
En parallèle, l’exposition présente une sélection d’estampes de l’Atelier d’Art Graphique MARSAM, réalisées au cours des 50 dernières années, préfigurant la création d’un futur musée de l’estampe à Casablanca. Parmi les artistes exposés : Nabil Bahya, Noureddine Belhaj, Mustapha Belkouch, Driss Benwahoud, et bien d’autres.
Les maîtres imprimeurs ayant contribué à cette aventure artistique incluent Mustapha Belkouch en gravure, Brahim Hanine et Noureddine Fathy en sérigraphie, Asmaa El Hairech et Frederique Possot en lithographie, ainsi que Chafik Zougari en linogravure.
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]]>The post La Biennale de Dakar met le design marocain à l’honneur appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Hicham Lahlou présente deux œuvres exclusives lors de cette Biennale. La première, la théière « Zaha », rend hommage à la célèbre architecte Zaha Hadid. La seconde, « Emerald », est une création conçue spécialement pour Dak’Art, intégrant des éléments de maroquinerie de luxe et de laiton finement travaillés, combinant l’artisanat marocain et le design contemporain. Ces œuvres, produites en collaboration avec des maîtres artisans de Fès, incarnent l’héritage marocain tout en illustrant une approche contemporaine du design.
Cette exposition collective réunit également d’autres grands noms du design africain tels que Cheick Diallo, Bibi Seck, Fatimata Ly et Jean Servais Somian. Elle offre ainsi une vitrine unique pour mettre en valeur la diversité artistique du continent et la richesse de son patrimoine culturel, tout en permettant aux visiteurs de découvrir la créativité africaine sous divers angles, allant du design à la sculpture.
La Biennale de Dakar, plus ancienne biennale africaine dédiée à l’art contemporain, continue de jouer un rôle clé dans la promotion de l’art et du design africains à l’échelle mondiale. Pour cette édition, environ 3 000 artistes et 400 000 visiteurs sont attendus pour participer à des événements variés, parmi lesquels figurent des expositions, des installations sonores et musicales, des performances et des débats. Cette année, l’exposition internationale, accueillie dans l’ancien Palais de la Justice de Dakar, présente les œuvres de 58 artistes originaires d’Afrique et de la diaspora.
Placée sous la direction artistique de Salimata Diop, critique d’art et commissaire d’exposition, la Biennale 2024 explore le thème « The Wake, L’éveil, le sillage, Xall wi » et met particulièrement à l’honneur les États-Unis et le Cap-Vert. L’inauguration officielle, présidée par le chef de l’État sénégalais Bassirou Diomaye Faye, a également rendu hommage aux artistes disparus qui ont marqué l’histoire de cet événement.
LNT
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]]>The post Traversées : Dialogues artistiques sur le temps et la transformation appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Cette exposition explore les thèmes du passage, du temps et de la transformation à travers des œuvres poétiques. Flo Arnold, avec ses sculptures en papier hydrofuge blanc, invite à une expérience tactile et méditative, évoquant l’éphémère et la spiritualité par des formes en lévitation.
De son côté, Claire Marboeuf capture la vitalité des grandes métropoles, de New York à Abidjan, en mettant en lumière les liens sociaux et la chaleur humaine de la vie citadine. Sa démarche photographique se veut picturale, donnant vie à des scènes vibrantes.
L’exposition« Traversées » propose une exploration riche en émotions et réflexions, interrogeant l’impact du passage du temps sur nos vies. Les œuvres, mêlant installation, sculpture et techniques mixtes, forment un parcours contemplatif sur notre relation à l’espace et à la temporalité, expliquant les organisateurs.
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]]>The post Cérémonie de clôture de l’atelier de gravure sur bois à la Galerie d’Art MARSAM appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>L’atelier, qui s’est déroulé durant la semaine du 23 septembre, a été réalisé en collaboration avec la Bassma Art Gallery et le peintre graveur Khalid El Bekay, et a rassemblé des artistes peintres tels que Malika Aguenznay et Abdallah Hariri.
Cette initiative marque le début d’une saison d’ateliers et d’expositions qui se poursuivra jusqu’au 1er décembre 2024. Le public est chaleureusement invité à assister à cette cérémonie de clôture, un événement inédit dans le paysage artistique marocain.
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]]>The post Yamou expose ses nouvelles œuvres à L’Atelier 21 de Casablanca appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Dans le catalogue de l’exposition, l’écrivain Yasmine Chami décrit la démarche de Yamou comme une exploration entre la perte et la représentation sensible de la vie, mettant en avant l’incertitude sereine qui anime ses toiles. Elle souligne l’importance de cette quête qui relie les formes vivantes et non vivantes à travers un processus de vie-mort-vie, révélant la cyclicité et les temporalités intuitives du travail de l’artiste.
Les œuvres de Yamou ont intégré de prestigieuses collections dont celle la Fondation Kamel Lazaar (Tunisie), du Neuberger Museum of Art (États-Unis), de World Bank (États-Unis), de la Written Art Foundation (Allemagne), du Ministère des Affaires Étrangères (France), du Frac Corse (France), du Musée d’Art Contemporain Africain Al Maaden (Maroc), de Bank Al-Maghrib (Maroc), de la Société Générale (Maroc), et de la Fondation Nelson Mandela (Afrique du Sud).
L’artiste partage son temps entre Paris et Tahannaout.
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]]>The post Moroccan Mosaic : exploration de l’Hueism par Derrick Ofosu Boateng appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Derrick Ofosu Boateng, renommé pour son approche artistique novatrice appelée « Hueism », a réalisé cette série après une résidence au Maroc, où il a rencontré des musiciens Gnaoua à Essaouira et Casablanca. Utilisant son iPhone et des techniques de retouche numérique, il crée des photographies aux couleurs éclatantes qui incarnent l’énergie et la fierté de la nouvelle génération d’artistes africains.
L’écrivain Olivier Rachet, dans le texte du catalogue d’exposition, décrit comment Derrick Ofosu Boateng a capturé l’esprit des musiciens Gnaoua avec des références culturelles inspirées par sa propre culture akan. À seulement 26 ans, Derrick Ofosu Boateng est déjà reconnu comme l’un des photographes les plus prometteurs et créatifs du continent, vivant et travaillant à Accra, au Ghana.
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]]>The post 5ème ARTCO Designers Challenge, une célébration de la créativité marocaine appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Après les délibérations du jury, le premier prix d’une valeur de 15 000 dirhams, accompagné du tapis gagnant et d’un trophée, a été attribué à Oussama Hajoubi pour sa création « Miroir du Subconscient », rendant hommage à Salvador Dali avec une esthétique surréaliste. Le deuxième prix est revenu à Malak Janati pour son œuvre « Mirage », qui capture l’essence éthérée de l’entre-deux, entre rêve et réalité. Le troisième prix a récompensé Soumaya Kanaani pour sa création « Mer de Rêverie », illustrant la transition mentale entre réalité et rêve.
« Nous sommes heureux de célébrer la créativité des jeunes designers marocains. L’ARTCO Designers Challenge est une occasion de fêter l’art et la culture marocaine. En participant à cette compétition, les jeunes talents marocains ont l’opportunité de laisser leur empreinte dans le monde de l’art et de rejoindre une communauté de créateurs passionnés », a déclaré Fouad El Bernoussi, co-CEO et co-fondateur d’ARTCO.
Pour sa 5ème édition, l’ARTCO Designers Challenge a exploré le thème « Entre Rêve et Réalité », ouvrant un monde d’inspiration où la frontière entre imagination et concrétisation devient floue. Ce thème permet aux designers d’exprimer leur vision personnelle et d’explorer les nuances entre le rêve et la réalité à travers leurs créations.
Le jury, composé de professionnels éminents tels que Kenza Bencherif, architecte, Jamil Bennani, maître ébéniste, Reda Bouamrani, designer et architecte d’intérieur, et présidé par Fouad El Bernoussi, a sélectionné les lauréats avec rigueur et impartialité.
Une nouveauté cette année a été l’ouverture des coulisses d’ARTCO aux neuf finalistes pour une expérience immersive. Ils ont pu découvrir les secrets de la fabrication des tapis et participer à un atelier encadré par le service marketing et le bureau d’études d’ARTCO, leur permettant d’adapter et de raffiner leurs créations.
À travers l’organisation de l’ARTCO Designers Challenge, ARTCO veut réaffirmer son engagement pour le soutien et le développement du design au Maroc. Et d’ajouter que cette initiative, bien plus qu’un simple concours artistique, représente un catalyseur pour l’essor de l’artisanat marocain, encourageant les artistes et designers à explorer de nouvelles voies créatives tout en honorant les traditions séculaires de l’artisanat.
Enfin, cette édition a permis de découvrir d’autres talents parmi les six autres finalistes : Imane Mellali, Aya Ahdado, Bouchra Saliha, Ibtissam Zemrani, Saad Mghari et Hind Houari.
LNT
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]]>The post Exploration identitaire, l’exposition évanescente de Houda Terjuman appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Artiste suisso-syrienne et née au Maroc, Terjuman explore les thèmes de l’immigration et de l’identité à travers des œuvres poétiques et nostalgiques. Ses peintures et sculptures reflètent un mélange d’horizons et d’appartenances, cherchant à exprimer une identité hybride dans un monde en mouvement. Les œuvres de Terjuman, présentes dans des musées du monde entier, racontent l’histoire de la migration, de l’exil et de la quête d’identité, offrant une vision surréaliste et poétique de ces thèmes universels.
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]]>The post Exposition « Rosebud » de Najia Mehadji : une évocation artistique de l’amour et de la compassion appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Dans le texte du catalogue d’exposition, Brahim Alaoui, historien de l’art, souligne l’utilisation de la rose comme métaphore de l’amour transcendant le pouvoir matériel. Les œuvres de Mehadji, qui fusionnent l’art contemporain et des éléments de l’art islamique, sont reconnues pour leur gestuelle unique, révélant sa quête constante pour percer le mystère de la peinture.
Les œuvres de Najia Mehadji font partie de nombreuses collections dont celle de l’Institut du monde arabe (France), du Fonds National d’art contemporain de Paris (France), du Musée d’art moderne et contemporain du Centre Georges Pompidou (France), du Musée d’art moderne de Céret (France), du Musée des Beaux-Arts d’Amman (Jordanie) et du Musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain (Maroc).
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]]>The post Après Casablanca et Dakkar, « Nid d’artistes » nous emmène à Abidjan appeared first on La Nouvelle Tribune.
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]]>The post Jidar – Rabat Street Art Festival : L’art urbain anime à nouveau la capitale appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Cette année, le festival met l’accent sur l’abstrait et l’hyperréalisme en invitant des artistes renommés pour leur délicatesse et leur précision. Douze murs éparpillés dans tout Rabat accueilleront douze artistes issus de huit pays différents : Alexis Diaz (Porto Rico), Nespoon (Pologne), Kartelovic (Allemagne), Facio (Argentine), HNRX (Autriche), Fikos (Grèce), Kaori Izumiya (Japon), Luogo Comune (Italie), Normal (Maroc), Majda Jarbili (Maroc), Houssam El Ghallal (Maroc) et Acoby (Maroc).
En parallèle, le Mur Collectif offre une opportunité aux aspirants street artistes de s’initier au muralisme sous la tutelle d’artistes confirmés.
Jidar propose également un nouveau rendez-vous, « OUT/IN », qui explore le dialogue entre l’univers urbain et l’intimité d’une galerie d’art, animé par l’artiste espagnol Txemy. Les visites guidées permettent aux habitants de découvrir les anecdotes et la genèse des œuvres murales, tandis que les Jidar talks offrent une discussion ouverte avec les artistes.
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]]>The post Célébration de la vie : Moustapha Baidi Oumarou à L’Atelier 21 appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Autodidacte, il se distingue par un langage artistique célébrant la vie et l’optimisme à travers des portraits influencés par la SAPE et entourés d’une végétation luxuriante. Né en 1997 à Maroua, ses œuvres ont été exposées dans le monde entier et font partie de collections renommées.
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]]>The post L’Atelier 21 à la 5ème édition de la foire d’art africain 1-54 à Marrakech appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>La foire internationale 1-54, dédiée à l’art contemporain africain et à sa diaspora, est une référence majeure avec des éditions annuelles à Londres, New-York, Marrakech, Paris et Hong-Kong. Elle offre une plateforme unique pour le dialogue et l’échange entre les galeries du continent africain et du monde entier, mettant ainsi en lumière la scène artistique africaine à l’échelle mondiale.
A travers sa participation à cet événement prestigieux, l’Atelier 21 joue ainsi un rôle clé dans la promotion et la reconnaissance de l’art contemporain de l’art contemporain africain.
Les artistes exposés incluent Moustapha Baïdi Oumarou (Cameroun), M’barek Bouhchichi (Maroc), Mohamed El baz (Maroc) et Hamid Nii Nortey (Ghana).
Les œuvres expriment des perspectives variées, allant de la communion entre l’homme et la nature à l’exploration du corps humain, en passant par des réflexions sur un monde en déflagration.
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]]>The post L’Institut français de Tanger met en lumière Ahlam Lemseffer Mahla appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Ahlam Lemseffer, artiste plasticienne, se distingue par son exploration des médiums tels que la peinture, la sculpture et l’installation. Ses travaux interrogent les formes, les espaces et les couleurs, mettant en lumière l’interdépendance entre planéité et spatialité.
Originaire d’El Jadida, Ahlam Lemseffer détient de nombreuses distinctions, dont la prestigieuse décoration de l’Académie française des Arts des Sciences et des lettres.
Artiste reconnue depuis les années 80, son travail est montré entre autres, au Musée VERA (St Germain en Laye) en 1993, Palais d’IENA (Paris) en 1994, Hoover Public Friends Gallery (Birmingham Alabama) en 1999 , Memphis USA en 1999, Galerie CDG (Rabat) en 2002, Chicago – Casablanca Sister Cities (Chicago) en 2006, Galerie Bab El Rouah (Rabat) en 2007, durant l’exposition inaugurale du Musée Mohamed VI d’Art Moderne et Contemporain (Rabat) en 2014 et à la Cairo Bank Gallery (Amman) en 2015.
Sa participation à des événements artistiques internationaux, notamment à la Biennale Internationale d’Art Islamique en Iran et à la Biennale du Caire, souligne son rayonnement au-delà des frontières.
Fondatrice du MAC à Briech-Asilah en 2012, Ahlam Lemseffer continue de jouer un rôle central dans le milieu de l’art contemporain au Maroc.
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]]>The post Entrepreneure, artiste photographe, Soukaina Benchekroun se dévoile appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>La Nouvelle Tribune : Bonjour Soukaina, pouvez-vous nous parler un peu de vous et de votre parcours ?
Soukaina Benchekroun : Bonjour. Je suis une femme polyvalente, mère, entrepreneure, architecte et artiste photographe spécialisée dans les portraits de bébés. Ma passion pour la photographie m’a conduit à créer Pixlove Studios en 2017, un concept novateur de studios de photographie de bébés au Maroc. Mon ambition est d’étendre ce concept à l’échelle internationale
Qu’est-ce qui vous a inspiré à combiner l’architecture avec la photographie de bébés ?
En tant qu’architecte, je comprends l’importance de l’espace et de la lumière pour créer une ambiance. J’applique cette compréhension en concevant des décors uniques et des mises en scène spéciales à travers la photographie. Les liens entre l’architecture et la photographie sont plus étroits qu’il n’y paraît, partageant une vision artistique et manipulant les éléments spatiaux.
Parlez-nous de vos débuts dans la photographie de bébés.
Tout a commencé en 2016 lorsque j’attendais mon fils Salmane. Inspirée par des photos artistiques de bébés, j’ai décidé de capturer ces moments précieux moi-même. J’ai progressivement investi dans l’équipement nécessaire, créé un petit studio chez moi, et Pixlove a vu le jour, alimenté par l’amour pour mon fils.
Comment Pixlove a-t-il évolué depuis sa création ?
Pixlove est bien plus qu’un simple studio de photographie de bébés. Il est devenu un espace où les histoires familiales prennent vie à travers des images, capturant non seulement la douceur des nouveau-nés mais aussi les liens familiaux et les moments de bonheur. Aujourd’hui, c’est une entreprise prospère sur deux villes, racontant des histoires remplies de tendresse, de complicité et de joie.
Qu’appréciez-vous le plus dans votre travail ?
Ce que j’apprécie le plus, c’est la diversité des interactions et des sujets. Chaque jour, je découvre de nouvelles perspectives en échangeant avec des personnes variées, que ce soient des nouveau-nés, des enfants, des femmes enceintes ou d’autres. La variété rend chaque journée pleine de découvertes et d’apprentissages.
Pourquoi avoir choisi le nom Pixlove pour votre entreprise ?
Le nom devait transmettre mon amour pour la photographie et les bébés, tout en reflétant l’essence de notre travail : la magie de l´amour, la joie et la connexion familiale. PIXLOVE incarne cet amour pour capturer les moments précieux des familles et des nouveau-nés. Chaque cliché est imprégné de cet amour, racontant une histoire, exprimant la magie et la joie qui sont au cœur de chaque famille. C’est une fusion de pixels et d’amour, un témoignage visuel de la beauté de ces moments fugaces mais inestimables.
Entretien réalisé par Asmaa Loudni
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]]>The post Ad Astra : L’univers intime de Mohamed El baz à la Galerie L’Atelier 21 appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Sous le thème « Bricoler l’incurable », emprunté à l’écrivain Cioran, El baz crée un univers intime et lointain dans cette exposition hommage au film « Ad Astra » de James Gray. L’artiste exprime son intérêt marqué pour les œuvres en trois dimensions, transcendant les frontières entre la sculpture et l’œuvre plane accrochée au mur. Né en 1967 à Ksiba, au Maroc, El baz a obtenu son diplôme national d’arts plastiques à Dunkerque en 1989 et a poursuivi ses études à l’École nationale supérieure d’arts de Paris-Cergy. Ses œuvres sont
présentes dans des collections renommées, dont le Fonds National d’Art Contemporain du Languedoc-Roussillon, le Fonds d’art contemporain – Paris Collections, et le musée national d’Art Moderne de Lille.
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]]>The post Maroc, Mon Amour : L’Art du Design à la Galerie H appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>« Maroc, mon amour » met en lumière Hind Kharifi et Nadia Berriss, jeunes talents dont les créations s’inspirent de souvenirs et de traditions marocaines. Hind Kharifi, avec sa collection « Mémoires enchantées », évoque son enfance au Maroc et ses rêves.
Elle décrit son travail comme des fragments de son enfance, une époque emplie d’émerveillement.
De son côté, Nadia Berriss, à travers « Patrimoine éternel, » célèbre l’harmonie entre le patrimoine marocain et la modernité. Son travail célèbre la beauté intemporelle du patrimoine marocain et promeut la transmission du savoir-faire local.
« Mon travail est un dialogue entre le passé et le présent, une célébration de la beauté intemporelle du patrimoine marocain. » a-t-elle partagé.
La galerie a revu son identité visuelle, s’inspirant des motifs du zellige marocain, symbolisant la liaison entre tradition et innovation. Elle dévoile également un nouvel espace repensé en collaboration avec des designers renommés, dirigé par Younes Duret.
Pour sa part, Yassine Hmichane a créé une expérience immersive pour les visiteurs avec une scénographie innovante.
En complément de l’espace d’exposition, la galerie propose un « concept store » mettant en avant les jeunes créateurs marocains, proposant une sélection variée d’articles originaux, reflétant la diversité de la création contemporaine marocaine. Cette initiative est gérée en partenariat avec Mouad Mohsine et Mohcyn Bousfiha, fondateurs de la marque de soins cosmétiques The Moroccans et du concept store MORO Marrakech.
La Galerie H, portée par le Groupe Holmarcom, continue d’incuber les jeunes talents, favorisant leur collaboration avec les artisans locaux, tout en prônant l’éthique et la durabilité. Madame Kenza Bensalah, Administratrice du Groupe Holmarcom, souligne l’importance de soutenir ces jeunes designers tout en préservant l’ADN culturel du Maroc.
L’exposition « Maroc, Mon Amour » se tient du 31 octobre 2023 au 7 septembre 2024 à la Galerie H, 181 bd d’Anfa à Casablanca, du mardi au samedi, de 10h00 à 13h00 et de 14h30 à 19h00.
A.L.
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]]>The post Rencontre : Quelle place pour le patrimoine culturel marocain ? appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Dans un discours lu en son nom par la secrétaire générale du département de la Culture au ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Samira Lemlizi, le ministre a rappelé l’importance que les Sultans alaouites ont toujours porté au patrimoine civilisationnel, notant que les politiques publiques visant à inventorier, classer, restaurer et préserver le patrimoine culturel se sont multipliées et renforcées après l’indépendance du Royaume.
Il a mis en relief, dans ce contexte, le riche héritage patrimonial des pays du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord, et qui exige la poursuite des efforts visant à préserver ce patrimoine culturel à travers des travaux de recherche et d’innovation, ajoutant que face aux menaces naturelles et humaines qui pèsent constamment sur le patrimoine culturel, « nous sommes appelés aujourd’hui, et plus que jamais, à mettre en place des plans à même de transmettre notre patrimoine aux générations futures dans son meilleur état ». M. Bensaid a également souligné la nécessité d’utiliser les possibilités offertes par les progrès scientifiques et technologiques pour identifier les diverses menaces qui pèsent sur cet héritage et mettre en œuvre des interventions de conservation et de protection plus sûres et plus efficaces, précisant que les tremblements de terre et les autres catastrophes naturelles ainsi que les conflits armés posent de grands défis devant la conservation du patrimoine archéologique et culturel arabe.
Il a en outre mis l’accent sur la grande importance de l’action arabe commune pour la valorisation du patrimoine archéologique arabe et la consolidation de sa contribution au développement des pays arabes.
Les travaux de cette conférence, qui s’est ouverte en présence du directeur général de l’ALECSO, Mohamed Ould Amar, s’articulent autour du thème: « Le patrimoine culturel dans les politiques nationales des pays arabes ».
Le Maroc va assurer désormais la présidence de la 26ème session de la Conférence sur l’archéologie et le patrimoine culturel dans le monde arabe, succédant à la République islamique de Mauritanie qui avait présidé la 25ème conférence. Les participants vont échanger les expériences et l’expertise des pays arabes en matière de préservation du patrimoine, ainsi que les moyens et compétences scientifiques et techniques utilisés pour protéger et préserver ce patrimoine culturel. Les débats porteront sur plusieurs axes relatifs aux expériences arabes en matière de protection des biens culturels, aux politiques nationales des pays arabes pour la gestion du patrimoine archéologique et aux plans, approches et législations y afférentes.
LNT avec MAP
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]]>The post Exposition : Hind Chaouat présente « Mythes et légendes dans un monde en transition » appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>L’exposition propose une réflexion sur la genèse de l’humanité et la redéfinition de la société actuelle à travers de nouveaux codes inspirés des figures ancestrales présentes dans la mémoire collective. Hind Chaouat présentera principalement des photographies aux couleurs vives et volontairement saturées, mettant en scène des personnages tels que La Kahina, Medusa et la Dame du Lac.
Dans ce solo-show, plusieurs figures féminines sont confrontées à un seul homme : Narcisse, noyé de s’être trop penché sur son image.
L’exposition se tiendra du 1er au 10 juillet 2023 au CIQ de la Roquette à Arles.
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]]>The post « Intersections », une vente aux enchères mettant en lumière les trajectoires d’artistes marocains appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>L’objectif est de mettre en avant les parcours d’artistes marocains qui se sont « croisés » en abordant des thèmes communs dans les années 1970, en particulier au sein de l’École des Beaux-Arts de Casablanca.
L’événement mettra également en lumière des projets artistiques qui ont puisé dans les formes d’art traditionnel pour créer des expériences singulières.
Grâce à une compilation d’archives et de récits collectés, l’événement offrira un meilleur éclairage sur les démarches collectives des artistes plasticiens entre 1965 et 1978, depuis la naissance du Groupe de Casablanca jusqu’au Moussem Culturel d’Asilah. Ces artistes ont choisi une forme d’abstraction géométrique proche du mouvement « Hard Edge » aux États-Unis. L’événement permettra également de mieux comprendre les expériences individuelles de certains artistes qui ont puisé dans les matériaux et les gestes des artisans marocains.
CMOOA mettra en évidence les liens étroits entre Mohamed Melehi et Farid Belkahia autour de certains thèmes dans les années 1970, ainsi que les recherches et les travaux de Farid Belkahia et de Mohammed Kacimi sur différents supports traditionnels dans les années 1980.
L’importance du rôle de Mustapha Hafid et de son épouse Anna Draus sera également soulignée. Pendant plus de 30 ans, ils ont enseigné les arts à l’École des Beaux-Arts de Casablanca, de 1974 à 2010. Alors que Mustapha Hafid a été honoré à plusieurs reprises par des institutions internationales renommées, les recherches de son épouse sont largement méconnues au Maroc. L’événement sera l’occasion de présenter ses travaux innovants dans le domaine de l’écriture abstraite. Anna Draus est actuellement célébrée dans l’exposition « Casablanca Art School » organisée par le Musée Tate Saint Ives en Angleterre.
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]]>The post Les femmes marocaines au centre des Journées montoises de la culture appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Initiée par le Centre de la culture judéo-marocaine (CCJM) de Belgique, cette exposition met en avant la richesse et la diversité du patrimoine culturel de la femme marocaine et sa contribution à la promotion de l’identité riche et plurielle du Royaume.
Elle donne à voir et à apprécier une variété de costumes, de parures, d’ornements et de bijoux traditionnels portés par les femmes marocaines à travers des siècles, de façon à mettre en exergue l’évolution de la société marocaine et la diversité culturelle de ce pays millénaire et ancré dans l’histoire.
« Cette exposition, qui vise à inciter à réfléchir sur son identité, présente une variété de tableaux mettant en relief la diversité des habits, ornements et bijoux des femmes issues de différentes régions du Maroc », a indiqué Paul Dahan, directeur du CCJM dans une déclaration à M24, la chaine télévisée de l’information en continu de la MAP.
Le Maroc a toujours été un exemple inspirant de cette diversité culturelle, a poursuivi, M. Dahan, également membre du Conseil de la Communauté Marocaine à l’Etranger (CCME), et qui a monté plusieurs expositions dans plusieurs espaces à travers le monde, autour de la question de la diversité culturelle et de l’identité marocaine.
« Cette exposition a déjà été présentée à Bruxelles et elle fera escale également à Séville », a-t-il fait savoir, mettant l’accent sur l’importance de cet événement à une époque, où prolifèrent les stéréotypes et les préjugés sur les femmes.
Dans une déclaration similaire, Bouchaib Samawi, directeur de l’ASBL « Droit et Devoir » (Mons-Belgique), a souligné que cette exposition vise à faire découvrir la richesse de la culture et du patrimoine marocains, indiquant que la 8è édition des Journées montoises de la culture marocaine vise à échanger entre les deux rives de la Méditerranée pour lutter contre les préjugés et les stéréotypes et échanger et débattre de la problématique de l’immigration, et de la société inclusive.
De son côté, le président de l’UCA, Lhassan Hbid, a relevé que les initiateurs de cet événement culturel ont concocté un programme éclectique visant à mettre en exergue la richesse du patrimoine marocain dans toutes ses composantes, de manière à faire découvrir aux générations montantes, le processus du développement qu’a connu la société marocaine à travers les siècles.
M. Hbid a loué les initiatives et actions menées par M. Dahan en faveur de la promotion de la culture marocaine dans les quatre coins du monde, faisant observer qu’à travers cet événement vient se traduire la stratégie de l’UCA visant à s’ouvrir sur son environnement socio-éducatif et sur les Marocains du monde ainsi que sur les autres cultures et religions.
Initiée en collaboration avec le CCJM en Belgique et le Centre Droit et Devoir, la 8è édition des Journées montoises de la culture marocaine comporte des conférences, des ateliers de formations pour les jeunes, des projections de films suivies de débats, et de spectacles musicaux, durant lesquelles les femmes marocaines -thématique choisie pour cette année- seront mises à l’honneur pendant une semaine.
LNT avec MAP
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]]>The post Le Festival de Tbourida début mai à El Mansouria appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Organisé par la commune d’El Mansouria en partenariat avec l’association « Festivals Mansouria » et la province de Benslimane, cette édition sera marquée par des spectacles
d’art équestre traditionnel avec la participation de plus de mille chevaliers et chevaux, précisent les organisateurs.
Ainsi, 30 sorbas vont se relayer sur la place Mehrek pour des exhibitions hautes en couleurs dans l’art authentique de la Tbourida.
Le festival est un rendez-vous important dans l’agenda culturel de la province, affirme la même source, notant que cet événement aspire à mettre la lumière sur les dimensions culturelles et symboliques du cheval et de l’art de la Tbourida qui font partie intégrante de l’identité culturelle nationale.
Et d’ajouter que le festival veut aussi contribuer à la promotion de la région et de ses potentiels artistiques, culturels, touristiques, etc.
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]]>The post La Fondation Hiba fête à nouveau la bande dessinée appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Durant la première édition, huit bédéistes, sélectionnés à travers le Maroc, se sont retrouvés lors d’une résidence de cinq week-ends et ont bénéficié de l’encadrement de Aziz Oumoussa, professeur à l’Institut National des Beaux-Arts de Tétouan, et Mehdi Yassire, alias Koman, comédien, scénariste et écrivain. Ensemble, ils ont élaboré un album de bande dessinée en commun qui aborde la thématique de la rue au Maroc. L’album de bande dessinée a été nommé, collectivement, « Khaliya ».
Pour la 2ème édition, et suite à l’appel à candidatures lancée en septembre 2022, 12 bédéistes ont été sélectionnés et ont effectué une résidence pendant une semaine au studio Hiba à Casablanca pour créer la nouvelle édition de la BD « Khaliya ». Durant cette semaine, le choix des styles graphiques, le ton, l’environnement et l’écriture des scénarios ont été abordés avec les bédéistes sélectionnés afin de définir le concept global de ce deuxième album de bande dessinée.
Concernant le thème de cette année, les artistes ont eu des opinions divergentes lors des discussions, toujours centrées sur l’approche collaborative. Parmi les suggestions qui ont suscité de la méfiance, du doute et de la difficulté à imaginer et à scénariser était la thématique traitant de la mort, au sens figuré. Plusieurs références ont été soulevées, notamment en lien avec les zombies, la science-fiction, la vie après la mort, les mythologies, la mort et les valeurs, l’humour dans la mort etc. Ces discussions ont provoqué une émulation et un intérêt commun et a mené à la sélection de la thématique autour de la mort, thème de cette édition. Est-ce une ligne rouge ? Peut-on traiter d’un sujet obscur dans une BD de chez nous, au Maroc ? En darija ? Doit-on aborder confortablement un sujet populaire et fondamentalement bon ? Ou est-ce contre-culturel et anti-commercial ? En effet, c’est un sujet très rarement célébré et mis à l’honneur dans la fiction marocaine,
qui peut frôler le sacré et impliquer tabous et non-dits dans notre société car souvent cultivé sous l’angle
dramatico-tragique… entre fiction et réalité, explique-t-on auprès de la Fondation Hiba.
Un album de 90 pages, intitulé « Khatar L’mawt » est né suite donc à 5 mois de travail ; fruit du travail d’un collectif d’artistes, orchestré et arrangé par des encadrants et formateurs. L’album de bande dessinée « Khatar L’mawt » sera dévoilé dans le cadre de l’exposition « Expo FMR Khaliya – édition 2» qui se tiendra le vendredi 05 mai 2023 au café La Scène à Rabat.
LNT avec CdP
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]]>The post Spectacle de Live Paint Mapping à l’Institut français du Maroc appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>La performance dure entre 1h30 et 4 heures, avec une première phase d’interaction artistique, suivie par une montée en intensité de la musique et des jeux de lumière. L’Institut français présente ce spectacle en plein air, accessible à tous et gratuitement, dans les villes de Meknès, Kénitra, Rabat, El Jadida et Essaouira.
• 27 avril 2023 : Institut français de Meknès • 28 avril 2023 : Institut français de Kénitra • 29 avril 2023: Institut français de Rabat • 03 mai 2023 : Institut français d’El Jadida • 04 mai 2023 : Institut français d’Essaouira
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]]>The post Kaoutar Najad participe à l’exposition « États d’âmes » appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Les tableaux présentés illustrent la relation entre spiritualité et peinture, exprimant une variété d’émotions et de sentiments pour montrer que l’art est une expression de l’âme humaine.
L’artiste peintre Kaoutar Najad, présente une série de cinq tableaux dans lesquels elle invite les spectateurs à un voyage introspectif pour explorer leur propre univers intérieur et à regarder leurs côtés sombres et lumineux.
« A travers le choix des formes, des mouvements et des couleurs, je représente et peins les blessures qui m’animent jusqu’à leur guérison. Ces émotions, ces fêlures demeurent universelles et, à travers mes tableaux, j’invite à laisser mon âme s’exprimer, en sublimant nos imperfections », explique-t-elle.
Né à El Jadida, en 1985, Kaoutar Najad a remporté plusieurs prix dès son jeune âge et a exposé ses œuvres à travers le monde, y compris à la Bibliothèque Nationale du Royaume du Maroc et à la Galerie Crystal Racine à Montréal.
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]]>The post Le marché de l’art a atteint 67,8 milliards de dollars en 2022 appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Les ventes mondiales d’art ont augmenté de 3% en 2022 par rapport à 2021 et dépassé leur niveau d’avant la pandémie en 2019, qui avait fortement perturbé le marché à l’instar du reste de l’économie mondiale.
« L’année 2022 peut être décrite comme une année de divergence », note le rapport.
La croissance du marché est venue du haut de gamme alors qu’en Chine continentale et à Hong Kong les ventes ont diminué à cause des stratégies très strictes de lutte contre le Covid-19.
En revanche, « le marché américain a repris avec force, assurant à nouveau son premier rang » sur le marché mondial de l’art, souligne le rapport.
Malgré les incertitudes, « les collectionneurs sont restés attachés au marché, selon l’étude, pour qui « cette croissance prudente face à une profonde incertitude témoigne de la force du marché de l’art post-pandémie et donne des raisons de croire en sa résilience ».
Noah Horowitz, directeur général d’Art Basel, qui organise l’une des plus grandes foires d’art contemporain au monde et s’est aussi installé à Paris depuis l’année dernière, note que du côté de l’art numérique les choses progressent également malgré « l’hiver crypto », la chute brutale des cryptomonnaires qui stimulait ce segment.
« La popularité de l’art numérique, cinématographique et vidéo a considérablement augmenté, passant de 1% des ventes en 2021 à 5% l’année dernière », note-t-il.
L’art numérique soutenu par les NFT (ces certificats d’authenticité numérique pour des contenus en ligne qui ont connu un engouement certain) « sont responsables en grande partie de ce changement et montrent comment le marché continue d’évoluer et de s’adapter à son époque », souligne M. Horowitz.
En 2022, les collectionneurs fortunés – interrogés par Arts Economics en collaboration avec UBS Investor Watch – restent optimistes sur le devenir du marché.
Ils ont dépensé plus en 2022 qu’avant la pandémie et envisagent positivement 2023, « avec de solides projets de dépenses ».
Selon cette enquête, 77% de ces collectionneurs fortunés s’attendaient à ce que le marché se développe et la majorité d’entre eux affichait l’intention d’acheter de l’art en 2023.
« Ainsi, alors que les signaux de volatilité macro-économique sont un sujet de discussion dominant comme nous nous dirigeons vers 2023, les données nous montrent un marché de l’art résilient soutenu par des collectionneurs disposant de fonds importants, en particulier dans le haut de gamme », explique M. Horowitz.
LNT avec Afp
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]]>The post Exposition à l’Atelier 21 de l’artiste Mo Baala appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Artiste pluridisciplinaire, c’est au cœur des souks de Taroudant, sa ville de cœur, que Mo Baala grandit. Il puise l’essentiel de son éducation artistique et créative dans les arts traditionnels et l’artisanat marocains, africains et d’ailleurs. Sa passion pour la lecture, le cinéma, la musique et la philosophie alimenteront également son univers créatif. Des rencontres essentielles et internet ont aussi joué un rôle crucial dans son enseignement artistique.
Les sources d’inspiration de Mo Baala sont éclectiques et majoritairement inspirées de son entourage. La composante autobiographique est essentielle dans le monde de représentation de cet artiste qui a développé un langage plastique unique au Maroc. Artiste curieux et aimant expérimenter diverses formes, Mo Baala passe du dessin à la peinture, en exploitant le collage, la sculpture et les graffitis.
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]]>The post L’art naïf se dévoile à Rabat appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Le vernissage de cette exposition, qui s’articule autour de l’art naïf, a eu lieu mardi à 18H.
« L’art brut, ou dit naïf, a toujours fait partie de l’histoire de la peinture au Maroc. L’exposition « Autodid’Art » présentera un collectif de femmes et d’un homme, loin de tout courant ou tradition artistique. Certains rêvent de devenir des artistes confirmés, d’autres produisent dans la discrétion totale », soulignent les organisateurs.
Au total, huit artistes peintres prennent part à cette manifestation artistique, à savoir Karima Alami, Anissa Berrada, Haja Zahra Bouali, Mina Jabrane, Douja Ghannam, Fahd Idrissi Khamlichi, Hajar Lmortaji et Laila Skalli.
Pour faire connaître les réalisations de ces peintres aussi doués qu’originaux, dont la plupart travaillent dans l’ombre, la Fondation AL MADA, organisatrice de l’événement, a sélectionné des dizaines de toiles réparties sur deux salles d’exposition.
Des paysages de campagne inondés de lumière, des costumes folkloriques multicolores, des visages familiers, des maisons traditionnelles, des chevaux barbes joliment harnachés, des moucharabieh et des fontaines… La plupart de ces créations, prenant racine dans la terre nourricière, le patrimoine et la mémoire collective, racontent des fragments de vie et de petites histoires du Maroc d’aujourd’hui ou d’antan.
D’autres ont préféré user d’un langage pictural plus abstrait, aux couleurs plutôt froides, en superposant des éléments hybrides et des formes asymétriques, dans un joli “chaos créateur » ouvert sur toutes les lectures.
Pour Fahd Idrissi Khamlichi, plasticien et ingénieur en intelligence artificielle, la part de l’inné dans l’art en général est indéniable.
“Certes, un artiste qui développe son talent dans une école ou une académie d’art a plus de chance d’avoir une carrière brillante. Mais, de l’autre côté, la créativité et l’authenticité s’en trouvent bridées puisque le souci de plaire au public et de rester à la mode est omniprésent, dans le choix des couleurs, des thèmes, etc.”, soutient-il dans une déclaration à la presse.
Sans se réclamer d’un courant précis, le jeune peintre dit se reconnaître dans l’art expressionniste qui constitue pour lui “à la fois une passion et une thérapie”.
A travers ces huit artistes pleins de talent et d’ambition, appartenant à différentes générations et divers styles, l’art naïf, 100% autodidacte, se déploie dans toute sa splendeur.
LNT avec MAP
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]]>The post Loft Art Gallery organise le Group Show « XYZt » appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Nassim Azarzar, Othmane Bengebara et Morran Ben Lahcen, trois artistes de la même génération redéfinissent et revisitent ensemble l’espace temps.
Nassim Azarzar développe une recherche autour de l’imagerie, voire des imaginaires populaires en explorant leurs différentes formes, occurrences et dispositifs de représentation dans un contexte marocain.
La recherche esthétique d’Azarzar s’articule autour des arts décoratifs, de la peinture, du dessin, de la sculpture et du cinéma expérimental.
Othmane Bengebara est architecte et artiste conceptuel. Il est formé à l’École Spéciale d’Architecture de Paris et à l’Université Pontificale Catholique de Rio de Janeiro. Depuis 2018, son travail s’oriente vers une pratique artistique. Elle lui permet d’explorer et d’expérimenter ses concepts dans l’espace.
Morran Ben Lahcen est né en 1982 à Tahanouat, aujourd’hui il vit et travaille à Salé. Il fait partie de l’avant-garde des artistes contemporains tout en restant très attaché à ses racines marocaines sans pourtant s’y enferrer. Autodidacte, il se fraie d’abord un chemin dans le
paysage artistique au grès du street art. Le succès et la reconnaissance sont vite au rendez-vous.
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]]>Dédiée à l’art contemporain d’Afrique et à sa diaspora, la 1-54 est une foire d’art internationale majeure qui connaît des éditions annuelles à Londres, New-York, Marrakech et plus récemment Paris. Engagée dans le dialogue et l’échange, la foire 1-54 permet de réunir des galeries de tout le continent africain, mais également du reste du monde, expliquent les organisateurs. La 1-54 s’est imposée comme une foire de référence, permettant d’attirer les feux des projecteurs sur la scène artistique africaine.
La galerie d’art L’Atelier 21 participe à cet événement pour faire valoir la contribution des artistes marocains dans la concrétisation d’une scène artistique africaine.
Ainsi pour sa participation à cette 4e édition, L’Atelier 21 expose des œuvres des artistes Mo Baala, Moustapha Baidi Oumarou, M’barek Bouhchichi, Hako Hankson et Yamou.
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]]>The post Abla Ababou Galerie accueille « Lost in Morocco » appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>« Lost in Morocco » est la première grande exposition individuelle consacrée aux travaux de Hakim Benchekroun. A la façon d’un anthropologue, Hakim se plonge dans les archives et l’histoire du Maroc, sillonnant ses routes, afin de retrouver ces endroits rayés de nos mémoires et des cartes géographiques. Ses périples sont jonchés de rencontres et d’heureux hasards… Un monde disparu, chargé de mélancolie que ressuscite l’œil aguerri du photographe dont la formation d’architecte façonne également le travail.
Mais la photographie ne semble être qu’un prétexte pour partager sa réflexion et son regard sur un patrimoine en voie de disparition. Il n’hésite pas à utiliser la vidéo et tant d’autres procédés.
« Souvent, Hakim Benchekroun aime rapprocher son travail d’un cabinet de curiosités. Nul souci chez lui de classifier quelque style que ce soit, d’inventorier les différentes fonctions échues à telle construction. Les faits sont là comme des indices offerts en pâture à un détective privé », résume le journaliste et critique d’art Olivier Rachet.
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]]>The post L’Atelier 21 accueille une exposition de Omar Mahfoudi appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>L’écrivain Olivier Rachet décrit en ces termes le travail de l’artiste : « Devant les toiles du peintre marocain, nous sommes ainsi amenés à nous demander de quoi cet épanchement ou cette dilution serait le nom. Tout d’abord, sa fluidité, obtenue aujourd’hui par l’utilisation de l’acrylique, mais ailleurs par l’utilisation d’une encre s’évaporant aléatoirement sur le papier ou sur la toile, raccorde dans un mouvement délibérément marqué par l’indistinction, le sujet et le paysage. »
Et de poursuivre : « Les crépuscules qui hantent cette peinture, sublimés par des tons tout aussi bien froids que chauds, traduisent autant une aspiration contrariée vers l’infini qu’une inquiétude cosmique devant les menaces pesant sur un environnement d’autant plus sublime de beauté qu’on le sait aujourd’hui menacé de disparition ».
Omar Mahfoudi est né en 1981 à Tanger. Au début de sa carrière, l’artiste était très attaché au portrait. Mais depuis qu’il s’est établi à Paris, il a ouvert à sa peinture de nouvelles perspectives, en s’intéressant au paysage et en développant un langage plastique combinant réalisme et fantastique.
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]]>The post Automnale de Marrakech, une exposition collective dans la ville ocre appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Inscrite dans le cadre de la 2è édition de l’Automnale de Marrakech, cette exposition qui se poursuivra jusqu’au 18 décembre dans la Cité ocre, donne à voir et à apprécier une collection composée de 25 toiles confectionnées dans différents styles, par des artistes plasticiens de renom, outre des oeuvres photographiques inédites.
L’exposition offre aussi l’opportunité à des artistes émergents de présenter leur travail et de faire connaitre davantage leur talent et leur savoir-faire si raffiné.
Dans une déclaration à la presse, Mme Cécile Dufay a fait part de son émerveillement des oeuvres présentées dans le cadre de cette exposition, notamment celles de l’artiste Laila Benhalima, dont les toiles se caractérisent, à la fois, par la profondeur et la luminosité, tout en incarnant une grande symbolique.
Dans la foulée, elle a exprimé sa joie d’avoir participé à la sélection des toiles présentées dans cette exposition, et qui mettent en valeur le travail d’une pléiade d’artistes marocains dont les oeuvres sont visibles dans sa Galerie en France.
Et de poursuivre que l’événement éclectique « l’Automnale de Marrakech » ambitionne de promouvoir davantage l’art contemporain dans cette ville, qui facilite la rencontre et l’échange entre des artistes célèbres et d’autres talentueux, partant de cette volonté de créer des passerelles entre eux, à la faveur d’un échange fructueux d’expériences.
L’artiste- peintre et sculpteur, Adil Kourkouni a, dans une déclaration similaire, indiqué que les toiles proposées au public dans le cadre de cette exposition sont de qualité supérieure dans la mesure où, elles offrent une idée claire sur le travail de chacun de ces artistes qui auront un grand écho à Marrakech.
L’un des moments forts de ce vernissage a été la réalisation instantanée, d’une toile inédite, par l’artiste, Othman Rhanimi, spécialiste des fresques (art de la rue) qui, par la même occasion, a fait part de sa grande joie de participer, pour la première fois, à cet événement, faisant savoir que cet art s’est forgé une place de choix sur la scène culturelle.
Parmi les artistes qui exposent figurent, Toufik Berramdane, artiste pluriel attiré par la botanique, la photographie ou encore le tissage et qui tente de faire découvrir la vie et de révéler le quotidien, à travers un codage qui rend ses oeuvres uniques.
Adil Boukil ou le maitre du sable ébloui par la maitrise de sa technique qui devient son identité, ou encore Adil Tahiri et Imane Lahlou, deux artistes que l’on ne peut dissocier tant leur travail les unit dans la beauté du mouvement et de la matière.
Prend part aussi à cette exposition, Laila Benhalima avec son monde poétique, qui enchante par les couleurs et l’histoire de mondes merveilleux.
Les aficionados de l’art raffiné peuvent aussi apprécier les oeuvres de Hamza Benrachad et Adil Kourkouni, deux artistes prodiges de par leurs impacts, sachant que le premier dénonce l’usage du plastique, tandis que le second révèle les instants du quotidien à travers son regard.
L’Automnale de Marrakech comprend également une journée caritative autour d’ateliers artistiques visant à sensibiliser les jeunes et les moins jeunes sur l’importance de la solidarité.
Organisée sous l’égide du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, la 2è édition de l’Automnale de Marrakech, qui se poursuit jusqu’au 18 décembre, se propose de faire découvrir ou redécouvrir des artistes confirmés, d’encourager les industries créatives et de proposer des stratégies de développement des carrières des artistes.
Ce mois de fête culturelle sera marqué par l’organisation de conférences, de Salons littéraires, d’expositions, de défilés de mode et de concerts offerts par des artistes reconnus.
LNT avec MAP
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]]>The post L’Atelier 21 accueille l’exposition de Mahi Binebine appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Intitulée « Pas de deux », cette exposition consacre l’intimité de l’artiste avec la peinture depuis plus de trente ans.
Comme l’explique Olivier Rachet, l’auteur du texte d’introduction du catalogue d’exposition, il existe dans les œuvres de Mahi Binebine « une seule et même histoire qui se raconte d’un espace à l’autre, faite de séparations, d’exils, de corps-à-corps fermes, mais aussi de réconciliations, d’enlacements et de fraternités retrouvées. La thématique si chère à l’artiste de l’enfermement n’est jamais loin, mais elle se déplace aujourd’hui sur le plan de la technique, à travers des milliers de clous construits artisanalement à partir de bois. Si l’on s’approche des bas-reliefs dans lesquels ces clous apparaissent, on pourra observer qu’ils ressemblent étrangement à des crayons, comme si le souci de la narration reprenait toujours le dessus».
Né en 1959 à Marrakech, Mahi Binebine s’installe à Paris en 1980 pour y poursuivre ses études de mathématiques qu’il enseigne pendant huit ans, avant de se consacrer à l’écriture et à la peinture. Il s’installe à New York de 1994 à 1999 puis revient sur Paris qu’il quitte en 2002 pour rentrer à Marrakech.
Les œuvres de Mahi Binebine ont intégré de nombreuses prestigieuses collections dont celle du Guggenheim Museum (États-Unis), de l’Institut du monde arabe (France), de la Deutsche Bank (Allemagne), de la Fondation Kamel Lazaar (Tunisie) et du Musée Bank Al Maghrib (Maroc).
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]]>The post Exposition « Racines » de l’artiste peintre Mounia Boutaleb appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>L’artiste expose ses dernières œuvres, du 8 au 17 novembre 2022 au centre d’exposition du ministère de la Culture à Rabat : la galerie Mohamed El Fassi.
Le choix de la thématique n’est pas fortuit, comme l’explique Mounia : « La présence de l’arbre dans mes créations traduit l’humain et ses relations, mais l’arbre qui s’impose à nous par ses branches occulte la partie souterraine qui pourtant est vitale à sa survie et à son ancrage au sol. Accorder de l’importance à nos racines est donc un chemin incontournable pour une quête personnelle car nos racines font partie de nous ».
L’artiste peintre marocaine Mounia Nejm-Eddine Boutaleb s’est imposée au fil des ans comme une figure de la peinture abstraite. Ses toiles ont sillonné les galeries d’art les plus prestigieuses aussi bien au Maroc qu’à l’étranger. En juillet 2017, Mounia a décroché le Prix José Diaz Fuentes lors de la 9ème Biennale de Sarria, (Salon international d’art en Espagne), alors qu’elle était en compétition avec 80 peintres, venus de 23 pays différents, et plus de 200 toiles.
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]]>The post CMOOA annonce sa vente aux enchères d’automne appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Le catalogue de cette vente aux enchères comprend les œuvres de Ben Ali Rbati, pionnier de la peinture dite de chevalet au Maroc, mais aussi celles d’Édouard Edy Legrand, André Hambourg, Jacques Azéma, Bernard Lorjou, Saâd Ben Cheffaj, Hossein Tallal, Jilali Gharbaoui, Houssein Miloudi, Yassine Balbzioui, Mohamed Melehi, Mohammed Kacimi et Badr Bourbian.
À noter aussi la présentation pour la première fois lors d’une vente aux enchères au Maroc d’un astrolabe – rare objet scientifique, de Muhammad Ben Ahmad Al Battuti, daté 1130 H / 1717.
Avec cette 76 manifestation, la CMOOA qui célébrera ses 20 ans d’activités au Maroc en décembre 2022, continue d’animer la scène artistique nationale avec le même souci d’exigence qu’on lui reconnaît, au service de la diffusion des expressions artistiques plurielles de notre pays, affirme la même source.
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]]>The post Une médaille d’étain pour l’artiste marocain Ali Kanane appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>« C’est un honneur pour moi de recevoir aujourd’hui cette distinction de la part d’une institution aussi prestigieuse que la Société Académique Arts-Sciences-Lettres », a déclaré Ali Kanane. « Plus qu’une simple reconnaissance, cette médaille est pour moi un signe, un encouragement pour continuer à tracer ma voie dans le monde de l’art et à explorer de nouvelles façons d’exprimer ma créativité. »
Il est à noetr que Ali Kanane a été sélectionné par la Société Académique en amont de sa première exposition indépendante qui devrait avoir lieu à Casablanca pendant le deuxième trimestre de l’année 2023.
« Je travaille en ce moment avec beaucoup de passion et de concentration pour réaliser ma première exposition en tant qu’artiste indépendant. Par le passé, mes œuvres ont toujours été exposées en tant que collaborations avec d’autres artistes, notamment sur des projets sponsorisés par des grandes marques. Cette fois-ci, je vais pouvoir réellement présenter au public une œuvre réalisée sans aucune de ces contraintes, et livrer réellement ma propre vision, sans influence aucune », a précisé Ali Kanane.
Ali Kanane est un designer et concept artiste casablancais. Il a collaboré avec le célèbre éditeur de jeux vidéos Ubisoft, ayant été en charge du design de personnages et d’environnements pour des jeux comme Prince of Persia ou Assassin’s Creed. Après la fermeture des studios casablancais d’Ubisoft, Ali s’envole pour l’Europe et passe près de 4 années entre Madrid, Berlin et Varsovie, où il collabore avec différentes marques comme Starbucks, Puma ou Converse sur des projets touchant des domaines aussi variés que le street art, l’art steampunk ou le streetwear. De retour à Casablanca en 2019, il y installe son nouvel atelier afin de travailler sur de nouveaux projets, et collabore avec Mosaik Communication, l’une des plus grandes agences de communication du Royaume.
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]]>The post Une exposition en deux volets pour le grand retour de Médéric Turay appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Le volet 1 de l’exposition se déroule au sein de l’hôtel Four Seasons Resort Marrakech et présente une sélection de peintures inédites, montrées pour la première fois dans le cadre de ce projet. Des dessins sur papier ainsi que des esquisses préparatoires dévoilent l’approche graphique de l’artiste dans la progression et la projection intime de son travail.
C’est au cœur de la nature, et plus précisément dans la région de l’Oukaïmeden, dans le Haut Atlas que Médéric Turay déploie le volet 2 du projet : loin des salles fermées, il s’approprie les principes du Land Art.
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]]>The post Bilan du 7ème Jidar Rabat Street-Art Festival appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>L’édition 2022 de cette manifestation s’est achevée par un beau bilan, ont déclaré les organisateurs. En effet, neuf nouvelles œuvres d’envergure peintes par 9 artistes (3 locaux et 6 internationaux) sont venues s’ajouter à la soixantaine des éditions précédentes.
« Au-delà du plaisir de l’interprétation, les murales de cette année forcent l’admiration par leur esthétique : les formes géométriques centrées, décalées ou juxtaposées de l’artiste marocain obsédé par la rigueur spatiale, Reda Boudina, fascinent; la femme africaine de l’artiste sénégalais Beaugraff et la douce jeune fille de la marocaine Tima, ou encore le personnage saisi avec une infinie délicatesse dans ses menus gestes quotidiens par le canadien Bryan Beyung attirent irrésistiblement les regards; le bestiaire bleuté et noir du portugais Pantonio enchante; la nature morte de l’espagnol Manolo Mesa intrigue; la flore qui enrobe l’oeuvre tout en rouge de Twoone interpelle; les timbres célébrant la mémoire de Rabat du marocain Ed Orner émerveillent et le ludisme, ainsi que les compositions réfléchis du slovaque Juraj Duris magnétisent », expliquent les organisateurs dans un communiqué.
Le public a pu, par ailleurs, participer à des ateliers et assister à une démonstration de sérigraphie en compagnie de l’artiste et imprimeuse principale du studio Monostereo, Gemma Berenguer. Celle-ci a également proposé à voir, à l’Atelier Ambigu, une dizaine d’affiches de groupes (gig posters) conçues et imprimées manuellement sur du papier.
Le festival, impulsé par l’association EAC-L’Boulvart (Education artistique et culturelle) et soutenu par divers partenaires institutionnels et entrepreneuriaux prône le street art dans toute sa globalité et sa pluralité de discipline.
A travers ce festival, la ville de Rabat est devenue un véritable temple international du street art et de l’esthétique urbaine. On y trouve des œuvres sous de nombreuses formes différentes, réalisées par les artistes ayant pris part à Jidar Rabat Street-Art Festival.
La date de la huitième édition est déjà fixé. Ainsi, du 17 au 27 mai 2023, tout un chacun pourra assister à la naissance d’autres œuvres d’art et s’imprégner de l’atmosphère unique régnant sur le festival, promettent les organisateurs.
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]]>The post Fondation Al Mada présente l’exposition « Figures de l’abstraction » appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>L’exposition « Figures de l’abstraction » réunit six artistes de la première génération des peintres et quatre artistes de la deuxième génération qui ont marqué l’histoire de l’art contemporain marocain. Il s’agit de Jilali Gharbaoui, Ahmed Cherkaoui, Farid Belkahia, Mohamed Chebâa, Mohamed Melehi, Miloud Labied, Mohamed Kacimi, Fouad Bellamine, Mohamed Nabili et Mohamed Hamidi.
Le public peut ainsi découvrir des chefs d’œuvres de l’histoire picturale au Maroc. Une histoire de la peinture marocaine qui se délimite avant l’Indépendance (1956), avec la période des autodidactes, et à partir des années 60, avec l’affirmation d’une entité plastique nationale, soulignent les organisateurs.
Il est notamment question d’Ahmed Cherkaoui, précurseur de la tendance du signe et qui représente incontestablement l’avant-garde, et Jilali Gharbaoui, un des premiers peintres radicalement abstraits s’adonnant à une gestuelle pure, vertigineuse et hallucinée.
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]]>The post 7ème édition de Jidar, Rabat Street Art Festival appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Au programme de cette édition : 12 artistes, 9 fresques murales, 7 pays, un mur collectif, un atelier de sérigraphie, une exposition et une performance artistique.
La naissance de Jidar, en 2015, vient nourrir un dessein : celui de placer l’art dans l’espace urbain, là où il peut être vu et discuté par tout le monde, expliquent les organisateurs.
Jidar 2022 fera voyager le public à travers 7 pays, du Maroc au Sénégal, d’Espagne à la République Tchèque en passant par le Portugal, et enfin du Canada au Japon.
Outil promotionnel par excellence, Jidar refuse qu’un talent puisse être étouffé. C’est pourquoi le festival invite annuellement une kyrielle de jeunes pousses à s’initier au muralisme sous la houlette d’un artiste de haut vol, souligne la même source. Cette année, c’est à Ayoub Abid aka Normal de prendre le relais et orchestrer l’habituel «Mur Collectif» de Jidar.
Plusieurs moments forts marqueront cette édition, notamment l’intervention d’Adam Belarouchia sur l’un des 6 murs du Musée Mohammed VI d’Art Moderne et Contemporain de Rabat. L’artiste donnera à voir une pièce magistrale, réalisée sur une bâche qui drapera ladite façade.
Pour sa septième édition, le festival fêtera également l’art de la sérigraphie moyennant démonstrations et ateliers créatifs avec notamment l’artiste Gemma Berenguer, au sein de l’Atelier Ambigu.
Pendant 10 jours, fresques murales, résidence artistique, workshop, ateliers, exposition d’affiches de concert (ou gig posters) et rencontres marqueront ces journées disséminées en plusieurs endroits à Rabat. Mieux qu’une manifestation destinée à appâter le visiteur, Jidar est une célébration de l’art de la rue, une griserie esthétique, une communion populaire, affirment les organisateurs.
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