Ce partenariat vise à rendre les produits Samsung plus accessibles à un plus grand nombre de consommateurs marocains en proposant une solution de financement simplifiée et innovante, explique-t-on auprès de Samsung. A travers à cette initiative, Samsung Finance+ offre aux utilisateurs une application mobile leur permettant de suivre l’évolution de leur financement et d’avoir une vision claire de leur plan de paiement, facilitant ainsi la gestion de leur budget.

« Nous sommes heureux de lancer Samsung Finance+ au Maroc, en partenariat avec SOFAC », a déclaré Hyun Joong Kim, Président de Samsung Electronics Maghreb Arab (SEMAG). Et de préciser que ce service permettra à davantage de consommateurs marocains d’accéder à des produits innovants de la marque, marquant ainsi une étape importante dans l’accessibilité de la technologie Samsung.

De son côté, Ghassane Lahsaini, directeur exécutif en charge du Commercial salué ce partenariat : « Sofac s’associe avec Samsung pour offrir une solution de financement totalement digitalisée, permettant aux clients d’acheter des smartphones Samsung facilement et de manière sécurisée ».

Le processus de financement est simple et rapide. Les demandes sont initiées et suivies via l’application Samsung Finance+, disponible dans les magasins Samsung et chez les partenaires agréés à travers le Maroc. La procédure ne prend que 20 à 30 minutes et se fait entièrement en magasin avec l’accompagnement d’un agent dédié. Une fois la demande approuvée, le client peut choisir le smartphone Samsung de son choix et finaliser son achat. Samsung prévoit d’étendre progressivement ce service à l’ensemble du territoire marocain, permettant ainsi à un plus grand nombre de consommateurs d’en bénéficier.

Avec des paiements mensuels dès 110 dirhams, ce programme est accessible aux consommateurs, qu’ils soient bancarisés ou non, et offre des solutions de crédit personnalisées, avec des conditions de financement flexibles pouvant aller jusqu’à 36 mois.

Samsung Finance+ sera disponible dans les magasins Samsung et les partenaires agréés à travers le Maroc à partir du mois de mai.

A. Loudni

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Résultats financiers en nette progression

À fin décembre 2024, le résultat net consolidé de BMCI s’est établi à 326 millions de dirhams, en progression de 90,7 % par rapport à l’exercice précédent. Hors éléments non récurrents, cette hausse ressort à 48 %, traduisant une nette amélioration de la performance opérationnelle du groupe. Dans les comptes sociaux, le résultat net s’élève à 292 millions de dirhams, en hausse de 50,5 %.

Le produit net bancaire (PNB) consolidé s’élève à 3,79 milliards de dirhams, en hausse de 10,2 % sur un an. Cette performance résulte de la progression de la marge nette d’intérêt (+9,1 % à 2,65 MMDH), du résultat des opérations de marché (+3,6 % à 626 MDH), et des commissions (+13,8 % à 528 MDH). Le résultat brut d’exploitation (RBE) atteint 1,55 milliard de dirhams, en progression de 24,1 %, soutenu par une maîtrise des frais généraux (+2,3 % seulement à 2,24 MMDH). Le coefficient d’exploitation consolidé s’améliore de 4,6 points pour s’établir à 59 %, confirmant l’efficacité accrue du modèle opérationnel.

Le coût du risque augmente de 28 % pour s’établir à 810 millions de dirhams. Cette hausse, expliquée par Hicham Seffa, président du directoire, reflète une politique volontaire de provisionnement destinée à renforcer la couverture des créances. Dans les comptes sociaux, le taux de couverture atteint 80,1 %, traduisant une gestion prudente du risque de crédit. « Nous avons choisi d’anticiper les évolutions réglementaires à venir sur la place bancaire marocaine. C’est une posture responsable et nécessaire », a précisé M. Seffa.

Sur le plan commercial, les crédits par caisse à la clientèle consolidés ont atteint 59,19 milliards de dirhams, en légère hausse par rapport à 2023. Cette progression, expliquée par la dynamique des crédits « corporate » et à la promotion immobilière, reflète l’orientation stratégique de la banque vers le financement des projets structurants. Les crédits aux particuliers, en revanche, sont restés stables, traduisant une gestion sélective du risque.

Les dépôts de la clientèle ont progressé de 2 % à 48,39 milliards de dirhams, avec une forte composante de dépôts non rémunérés, qui atteignent 77 % du total, contre 75,7 % un an plus tôt. Cette évolution a permis, selon M. Seffa, d’optimiser le coût de la ressource et d’améliorer la marge d’intérêt. Il a également indiqué que la gestion active du bilan a permis de préserver les équilibres tout en consolidant la rentabilité.

Les engagements par signature ont enregistré une croissance significative de 22,3 %, atteignant 19,27 milliards de dirhams à fin 2024. Cette évolution est liée à l’accompagnement de projets publics et privés à l’échelle nationale, en ligne avec les grands chantiers d’investissement lancés dans le Royaume.

Renforcement du positionnement digital et de l’innovation

Samir Mezine, directeur général, a mis en lumière les différentes initiatives entreprises en matière d’innovation et de transformation. Il a notamment évoqué le lancement de Design Lab, un accélérateur interne dédié à l’innovation bancaire, ainsi que la transformation d’agences en espaces d’expérimentation au service des startups. En 2024, ces espaces ont accueilli plus de 300 visiteurs, organisé 25 ateliers et établi plusieurs partenariats, notamment avec Technopark et la Chambre de commerce française.

Côté digital, l’application mobile BMCI Connect a connu une forte adoption. Le nombre de transactions digitales a progressé de 43 %, tandis que les commissions générées ont augmenté de 94 %. « Nous avons également intégré de nouveaux facturiers, renforcé la sécurité et élargi les fonctionnalités, ce qui place notre application parmi les plus complètes du marché marocain », a indiqué M. Mezine.

Le groupe a par ailleurs affirmé son ambition dans le domaine de la finance durable. BMCI a lancé ISLF+, un mécanisme de financement conditionné par des critères environnementaux et sociaux, en faveur de l’association Al Amana, spécialisée dans le micro-crédit. Le groupe a aussi organisé un Green Tech Roadshow pour identifier et soutenir les startups actives dans la gestion de l’eau, la décarbonation et les technologies propres.

Lors du Sustainable Finance Forum, tenu en janvier 2025, BMCI a signé deux protocoles d’accord avec la BERD, visant à financer des projets de transition écologique et à promouvoir l’entrepreneuriat féminin. « Ce forum a permis de réunir plus de 300 clients et partenaires autour des enjeux ESG. C’est un levier stratégique que nous continuerons à développer activement », a souligné M. Mezine.

Perspectives et vision stratégique à horizon 2027

Hubert Capelle, Directeur Administratif et Financier, a insisté sur la solidité des fondamentaux financiers de BMCI, avec un ratio de liquidité (LCR) de 140 % et un ratio de solvabilité de 13,2 %, au-dessus des exigences réglementaires. Il a également mis en avant la discipline financière du groupe, avec un effet ciseaux favorable et un pilotage rigoureux des charges.

Mariem Abdellaoui Maan, Directeur des Affaires Juridiques, a rappelé la vocation de BMCI à accompagner ses clients sur le long terme, en s’appuyant sur son ancrage historique au Maroc et sur les expertises de son groupe de référence. « Notre ambition est de créer de la valeur durable pour toutes les parties prenantes, en combinant innovation, responsabilité et proximité terrain », a-t-elle affirmé.

Le directoire de BMCI a proposé la distribution d’un dividende de 18 dirhams par action, sous réserve de l’approbation de la Banque centrale. Cette proposition est alignée avec la politique de distribution mise en œuvre en 2023.

En conclusion, Hicham Seffa a souligné que « l’année 2024 marque un tournant dans la trajectoire de la banque, tant sur le plan opérationnel que stratégique. Nous poursuivrons en 2025 nos efforts pour renforcer la performance commerciale, accélérer notre transformation digitale, et consolider notre position en tant qu’acteur majeur de la finance durable au Maroc. »

Le groupe entend maintenir un rythme de croissance annuel du PNB de l’ordre de 6 à 7 % à horizon 2027, tout en poursuivant l’optimisation du coefficient d’exploitation et en développant des offres à impact social et environnemental positif.

Selim Benabdelkhalek

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En plus du renouvellement de la certification ISO 9001, déjà obtenue, SCIF se voit attribuer deux nouvelles certifications : ISO 45001 pour la gestion de la santé et de la sécurité au travail, et ISO 14001 pour le management environnemental. Cette triple certification vient compléter les deux autres distinctions obtenues par SCIF en 2023 : l’EN 15085-2 CL1, relative à la construction de véhicules et composants ferroviaires, et l’ISO 3834-2, portant sur les exigences de qualité en soudage par fusion métallique.

L’obtention de la certification ISO 14001 reflète également les actions concrètes menées par l’entreprise en matière de responsabilité sociétale, telles que la formation des collaborateurs à la préservation de l’environnement, la gestion des déchets, la réduction des nuisances sonores et l’optimisation du stockage des matières premières pour limiter l’impact environnemental.

« Nous sommes fiers d’annoncer l’obtention de la triple certification QSE, qui complète les certifications métiers obtenues en 2023. Ces distinctions renforcent notre position d’entreprise leader sur le marché africain et confortent notre détermination à fournir des solutions fiables, conformes aux normes les plus exigeantes, tout en garantissant la sécurité de nos collaborateurs et la préservation de l’environnement », déclare Ali Alami, Directeur Général de SCIF.

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À compter du 6 avril et jusqu’à fin octobre, Air Europa assurera deux vols hebdomadaires entre Madrid-Barajas et Marrakech, avec plus de 20.000 sièges prévus sur cette liaison, a indiqué la compagnie aérienne.

Les liaisons seront assurées par la flotte de Boeing 737 de la compagnie, des appareils adaptés aux dessertes court et moyen-courrier, offrant confort et capacité élevée à bord, a précisé la même source.

Dans le cadre de la reprise de son programme estival pour l’année 2025, Air Europa entend consacrer un total de plus de 40.000 places à l’Afrique du Nord dont 20.000 pour la liaison Madrid-Marrakech.

LNT avec Map

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Or, alors que le Maroc organise la CAN 2025 mais surtout la Coupe du monde de football en 2030, le déploiement de la 5G et de la fibre optique à grande échelle deviennent des lames de fond à atteindre. Avec un nouveau management à la tête de Maroc Telecom, tout est désormais possible et une page est résolument tournée avec cet accord historique.

Deux joint-ventures voient ainsi le jour : FiberCo et TowerCo. Leur mission : mutualiser les infrastructures passives des télécoms pour accélérer la couverture numérique du pays tout en évitant les redondances d’investissements. Une stratégie gagnant-gagnant, non seulement pour les opérateurs, mais surtout pour les citoyens.

Une révolution silencieuse pour le consommateur

Même si les noms FiberCo et TowerCo ne parleront jamais directement aux clients, les effets de cette alliance seront bien concrets. En cinq ans, trois millions de prises fibre optique FTTH seront installées, avec un premier objectif d’un million dès les deux premières années. Résultat : un accès rapide à Internet très haut débit dans des zones aujourd’hui encore à la traîne, qu’elles soient urbaines ou rurales.

Côté mobile, 6 000 nouvelles tours télécoms verront le jour en dix ans – dont 2 000 dès les trois premières années –, augmentant de près de 50 % le parc national. Ce maillage permettra d’améliorer sensiblement la qualité du réseau 4G et surtout de préparer le terrain pour une 5G accessible et performante.

Une concurrence plus saine, des tarifs plus justes

L’un des grands atouts du projet réside dans son architecture ouverte et équitable. FiberCo et TowerCo ne vendront pas de services aux particuliers : elles loueront leurs infrastructures à l’ensemble des opérateurs autorisés, dans des conditions transparentes, non discriminatoires et strictement encadrées par l’ANRT. Cela signifie que chaque opérateur pourra proposer ses offres aux clients en s’appuyant sur les mêmes bases techniques que ses concurrents, stimulant l’innovation, la qualité de service et des offres tarifaires mieux adaptées aux différents segments de clientèle.

Une priorité : les zones non couvertes

Contrairement aux logiques purement commerciales, les deux coentreprises prioriseront les zones actuellement non couvertes. Là où l’investissement privé hésite, la mutualisation permet d’intervenir. C’est un levier décisif pour réduire la fracture numérique, qu’elle soit géographique ou sociale.

Le Maroc en phase avec les standards internationaux

Ce modèle de coopération n’est pas une première mondiale. Il s’inspire des meilleures pratiques observées en Europe, où des partenariats comme Orange-Proximus en Belgique ou Vodafone-Altice en Allemagne ont déjà prouvé leur efficacité. En s’alignant sur ces benchmarks, le Maroc envoie un signal fort de maturité dans son virage numérique et se dote de capacités réelles face à ses ambitions.

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Par la même occasion, Nissan choisit Renault Group pour développer et produire un véhicule dérivé de Twingo, conçu par Nissan.

Le Nouvel Accord de l’Alliance serait amendé pour augmenter la flexibilité de chacune des deux entreprises concernant leur participation croisée en établissant l’obligation de conservation à 10 % (au lieu de 15 % actuellement). Aussi, Nissan serait libéré de son engagement à investir dans Ampere, tout en continuant les projets véhicules approuvés.

Luca de Meo, CEO de Renault Group, explique que : « Renault Group, partenaire long terme de Nissan au sein de l’Alliance et principal actionnaire, a un fort intérêt à voir Nissan redresser sa performance le plus rapidement possible. » Et de poursuivre que « dans un esprit pragmatique et orienté vers le business, nous avons discuté des solutions les plus efficaces pour soutenir son plan de redressement et développer des opportunités créatrices de valeur pour Renault Group. Cet accord-cadre, bénéfique pour les deux parties, démontre l’état d’esprit agile et efficient de la nouvelle Alliance. Il confirme l’attractivité de nos produits avec Twingo ainsi que notre volonté de faire croître notre activité sur les marchés internationaux. L’Inde est un marché clé pour l’automobile et Renault Group va y déployer un écosystème et une organisation industrielle efficaces. »

Pour sa part, Ivan Espinosa, Président et CEO de Nissan, souligne que la marque Nissan s’engage à préserver la valeur et les bénéfices du partenariat stratégique au sein de l’Alliance tout en mettant en œuvre des mesures de redressement pour améliorer son efficacité : « Notre but est de créer un modèle économique plus agile et efficace qui nous permettra de réagir rapidement à l’évolution des conditions de marché et de conserver les liquidités pour nos investissements futurs. Nous restons engagés sur le marché indien, avec des véhicules adaptés aux besoins des consommateurs locaux tout en garantissant des ventes et un service de premier plan pour nos clients actuels et futurs. » Et de préciser que « l’Inde restera une plaque tournante pour nos équipes de recherche et de développement, nos services digitaux et autres entités d’experts. Nos projets de nouveaux SUV pour le marché indien sont toujours d’actualité et nous poursuivrons nos exportations de véhicules vers d’autres marchés dans le cadre de la stratégie opérationnelle “One Car, One World” pour l’Inde. »

H.Z

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Ce produit se distingue par sa taille généreuse et sa recette adaptée aux préférences locales. Initialement proposé en phase de lancement progressif, le Mighty Royal est désormais intégré à l’offre permanente de KFC Maroc. Ce burger s’ajoute à un menu existant, avec une recette qui mise sur des saveurs marquées et une qualité d’ingrédients. Le Mighty Royal a été créé spécifiquement pour le public marocain, en tenant compte des goûts, des portions et des attentes en matière d’expérience culinaire. Il est proposé en deux versions : Original, pour ceux qui préfèrent le goût classique du poulet KFC, et Spicy, pour ceux qui recherchent des saveurs plus relevées. Le burger se compose de quatre strips de poulet pané, de fromage fondu, de laitue, et est accompagné d’une sauce onctueuse ou épicée, selon la version choisie, dans un pain de 4 pouces. Différentes options sont proposées pour répondre aux besoins variés des consommateurs : Mighty Royal Sandwich (45 Dirhams), Mighty Royal Combo avec frites et boisson (55 Dirhams), Mighty Royal Box avec coleslaw et une pièce de poulet (70 Dirhams), Mighty Royal Twist, disponible uniquement via l’application KFC, avec Twister (70 Dirhams), et Mighty Royal Duo, pour deux personnes, disponible sur l’application KFC et via Glovo (90 Dirhams).

Ces différentes formules visent à s’adapter aux préférences des clients, que ce soit pour un repas en restaurant ou à emporter, en tenant compte des canaux physiques et numériques.

Le lancement du Mighty Royal coïncide avec l’ouverture d’un nouveau restaurant à Derb Sultan, un quartier populaire de Casablanca. Ce nouvel établissement représente le 42ᵉ restaurant de la marque au Maroc.

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Au cours de l’année 2024, TAMWILCOM a accompagné un volume global de financements de plus de 47,5 milliards de dirhams (DH), correspondant à plus de 82.200 opérations. Les engagements de l’institution sur cette période se sont élevés à 28 milliards de dirhams. Hors dispositif de garantie destiné aux entreprises et établissements publics, cette activité a enregistré une croissance de 6 % par rapport à 2023. Elle dépasse également les prévisions budgétaires initiales, avec un taux de réalisation de 109 %, selon les données présentées au Conseil.

La majorité des interventions a concerné les entreprises privées, qui ont représenté 94 % du volume total. L’orientation en faveur des Très Petites, Petites et Moyennes Entreprises (TPME) demeure centrale dans l’action de TAMWILCOM. La garantie générique, principal levier de l’établissement, a permis la mobilisation de 41,3 milliards de dirhams de crédits en faveur de ce segment, pour un engagement total de 23,4 milliards de dirhams, traduisant une progression de 8 % par rapport à l’exercice précédent.

Par ailleurs, les micros et très petites entreprises (TPE) ont concentré 89 % de l’activité de garantie, confirmant le rôle prioritaire de ce segment dans la stratégie de TAMWILCOM. Cette orientation s’inscrit dans les objectifs de renforcement de l’inclusion financière et de facilitation de l’accès au crédit pour les structures économiques les plus modestes.

La fenêtre participative de TAMWILCOM, opérant sous l’appellation DAAMA TAMWIL, a poursuivi son développement en 2024. Cette activité a affiché une croissance annuelle de 15 %, avec une couverture de financements participatifs bancaires atteignant 681 millions de dirhams, pour un volume d’engagements de 379 millions de dirhams. Cette progression traduit une demande croissante pour des solutions de financement conformes aux principes de la finance participative.

Lors de cette même réunion, le Conseil d’administration a validé les états financiers arrêtés au 31 décembre 2024. Le produit net bancaire (PNB) de TAMWILCOM s’est élevé à 807 millions de dirhams, tandis que le résultat net a atteint 386 millions de dirhams sur l’exercice.

Les résultats présentés confirment la dynamique d’accompagnement de l’institution publique en matière de financement, en particulier en direction des TPME et des TPE. Le Conseil a souligné la nécessité de poursuivre les efforts pour adapter les mécanismes de garantie aux besoins des différents segments économiques, dans un contexte où la consolidation de la reprise économique reste une priorité.

LNT

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Le jeudi 10 avril 2025, la marque danoise d’ameublement et de décoration ouvrira ses deux premiers magasins à Casablanca, marquant ainsi sa première implantation en Afrique. Ces magasins seront situés dans les centres commerciaux Viva Park et Aeria Mall, deux emplacements stratégiques de la capitale économique du Maroc, et la plateforme de vente en ligne JYSK.ma sera également accessible aux consommateurs marocains. Par ailleurs, un entrepôt logistique, appelé « dark store », a été mis en place à Casablanca pour assurer la livraison dans tout le pays.

« L’expansion est inscrite dans l’ADN de notre entreprise. Nous sommes impatients de faire découvrir JYSK et l’ensemble de nos offres aux clients marocains, et de voir comment notre concept sera accueilli sur ce nouveau continent », confie Rami Jensen, président-directeur général du groupe.

Fondée en 1979 au Danemark, JYSK est aujourd’hui présente dans plus de 50 pays, avec plus de 3 500 magasins à travers le monde. Avec cette ouverture au Maroc, l’entreprise franchit un nouveau cap, affirmant son objectif de rendre le design scandinave et la qualité nordique accessibles à un large public.

Ce lancement marque une première étape pour l’enseigne, qui prévoit d’ouvrir trois à quatre autres magasins au Maroc d’ici la fin de l’année, en poursuivant son développement en Afrique.

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Selon le communiqué publié sur le site de l’Autorité marocaine du marché des capitaux (AMMC), le résultat net social de BMCI a, lui aussi, connu une croissance significative. Il s’est établi à 292 MDH, enregistrant une hausse de 50,5 % par rapport à 2023. Corrigée des éléments exceptionnels, cette progression ressort à +25 %. Ces résultats traduisent une amélioration sensible des fondamentaux de la banque, malgré un contexte économique encore marqué par des incertitudes.

La performance du groupe s’inscrit dans un environnement de hausse modérée de l’activité de crédit et d’optimisation des ressources. Le produit net bancaire (PNB) consolidé a atteint 3,79 milliards de dirhams (MMDH) à fin décembre 2024, soit une progression annuelle de 10,2 %. Cette croissance a été portée par l’ensemble des composantes de l’activité, notamment la marge nette d’intérêt, en hausse de 9,1 % à 2,65 MMDH, le résultat des opérations de marché, en progression de 3,6 % à 626 MDH, ainsi que les commissions, qui ont crû de 13,8 % pour atteindre 528 MDH.

Sur base sociale, le PNB a enregistré une évolution encore plus marquée, atteignant 3,56 MMDH, soit une hausse de 11,3 % en glissement annuel. Cette performance confirme la résilience du modèle économique de BMCI, ainsi que sa capacité à capter les opportunités dans un environnement de taux encore élevé.

Toutefois, cette amélioration s’accompagne d’une augmentation du coût du risque consolidé, qui a progressé de 27,9 % sur l’année. Le groupe explique cette hausse par un effort renouvelé de provisionnement visant à renforcer la solidité de son bilan. Cette politique prudente se traduit notamment par une amélioration du taux de couverture des créances par les provisions dans les comptes sociaux, qui s’élève désormais à 80,1 %.

Côté bilan, les crédits par caisse à la clientèle consolidés se sont légèrement accrus, atteignant 59,19 MMDH contre 58,85 MMDH un an auparavant. Cette évolution est principalement tirée par le segment « Corporate », traduisant une demande soutenue des entreprises malgré un contexte de financement plus sélectif. Les dépôts de la clientèle consolidés ont, quant à eux, progressé de 2 %, pour s’établir à 48,39 MMDH. Cette hausse s’est accompagnée d’une amélioration notable de la structure des ressources : les dépôts non rémunérés représentent désormais 77 % de l’ensemble, contre 75,7 % en 2023, contribuant ainsi à une meilleure marge d’intermédiation.

Les engagements par signature consolidés ont connu une augmentation notable de 22,3 %, atteignant 19,27 MMDH à fin décembre 2024. Cette dynamique témoigne de la confiance accordée à la banque par les entreprises clientes et de son rôle actif dans l’accompagnement des opérations commerciales.

Le Directoire de BMCI a annoncé qu’il proposera à la prochaine Assemblée Générale Ordinaire, sous réserve de l’aval du régulateur, la distribution d’un dividende ordinaire de 18 dirhams par action. Cette proposition marque le retour à une politique de rémunération attractive des actionnaires, soutenue par l’amélioration des résultats et la solidité des fonds propres.

LNT

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Ce projet s’inscrit dans le cadre du programme SP2M qui vise à augmenter significativement les capacités de production du Groupe tout en renforçant sa compétitivité et son engagement en faveur de la neutralité carbone à horizon 2040.

Les pôles Mzinda et Meskala incarnent une nouvelle génération de sites industriels, combinant les technologies avancées de l’industrie 5.0, l’intelligence artificielle et l’automatisation des processus de production, dit-on auprès d’OCP, tout en notant que ‘‘ Conçus pour fonctionner exclusivement grâce aux énergies renouvelables (solaire et éolien), et exploitant des eaux non conventionnelles via le dessalement et le traitement des eaux usées (STEP), ces complexes illustrent l’engagement de OCP Nutricrops en faveur d’une production durable et efficiente. Leur conception modulaire et évolutive leur permet de s’adapter aux fluctuations du marché et d’optimiser en continu la chaîne de valeur, garantissant ainsi une offre flexible et adaptée aux besoins des agriculteurs du monde entier’’.

Ces deux futurs pôles se distinguent par leur conception visant à répondre à la demande mondiale croissante en engrais durables. Ils symbolisent la vision de OCP Nutricrops et son ambition de renforcer son leadership et son rôle de pionnier industriel dans la production d’engrais customisés, notamment le TSP et le TSP+, tout en intégrant des principes de durabilité et d’efficacité opérationnelle à chaque étape de la chaîne de valeur. Grâce à une expertise opérationnelle et technologique de pointe, ces complexes ouvrent également de nouvelles perspectives de développement dans les domaines minier, chimique, industriel et logistique, mais aussi dans les énergies renouvelables, un axe central de la transition énergétique du Groupe OCP.

« Ces nouveaux actifs industriels deviendront une référence mondiale dans le secteur des engrais customisés et reflèteront notre engagement à relever les défis agricoles mondiaux tout en offrant à nos partenaires des opportunités de croissance durable. », souligne Youssef El Bari, CEO de OCP Nutricrops.

Au-delà de leur dimension industrielle, ces nouveaux pôles participent à la structuration d’un écosystème économique régional intégré, à fort impact pour les communautés locales. En collaboration avec des partenaires tels que l’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P), INNOVX et JESA, le programme SP2M favorise : La dynamisation d’un nouvel écosystème industriel local à travers des partenariats nationaux et internationaux, dans des secteurs diversifiés comme les énergies vertes, l’économie circulaire et l’industrie 5.0.

Au menu aussi, la création d’un impact socio-économique concret en soutenant le développement des compétences des populations locales et la promotion de pratiques durables pour renforcer la résilience des tissus socio-économiques au niveau des territoires : « Avec un impact économique et social significatif, les projets Mzinda et Meskala incarnent la vision ambitieuse du programme SP2M et de OCP Nutricrops : transformer ces régions en hubs de compétitivité mondiale tout en créant des opportunités durables pour les communautés locales. Cette ambition est ancrée dans l’ADN de ces projets et intégrée dès la phase de construction des complexes minier et industriel » explique Abdelghani Filali, Managing Director de SP2M.

H.Z

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Maroc Telecom et Inwi ont donc officialisé la signature d’un partenariat visant à accélérer le déploiement des réseaux de fibre optique et de 5G sur l’ensemble du territoire national. Cette initiative a été approuvée par le conseil de surveillance de Maroc Telecom et le conseil d’administration d’Inwi.

Ce partenariat s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale de transformation numérique et répond aux ambitions du Maroc en matière de connectivité à très haut débit. Il prévoit la mutualisation des infrastructures passives des deux opérateurs à travers la création de deux joint-ventures détenues à parts égales.

La première entité, baptisée « FiberCo », aura pour mission de déployer et exploiter les infrastructures passives nécessaires au raccordement en fibre optique des abonnés. Elle vise l’installation d’un million de prises dans un délai de deux ans, avec un objectif de trois millions de prises à l’horizon de cinq ans.

La seconde structure, « TowerCo », sera dédiée au développement du réseau 5G. Elle investira dans la construction de nouvelles tours télécoms ou dans la rénovation de tours existantes. Les objectifs fixés prévoient 2.000 tours dans les trois prochaines années et 6.000 à l’échéance de dix ans.

Le montant de l’investissement pour la première phase de ce partenariat, d’une durée de trois ans, est estimé à 4,4 milliards de dirhams. Les infrastructures créées seront accessibles à tout opérateur titulaire d’une licence, conformément à la réglementation en vigueur sur le partage des infrastructures passives.

La mise en œuvre de ce partenariat reste soumise à l’approbation de l’Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT), au titre du contrôle des opérations de concentration.

Ce projet intervient également dans un contexte de résolution d’un différend juridique antérieur entre les deux opérateurs. Dans le cadre de ce partenariat, Maroc Telecom et Inwi ont convenu de renoncer aux recours encore en cours devant la Cour de cassation, et de réduire à 4,38 milliards de dirhams le montant de l’indemnisation précédemment fixée à 6,38 milliards, sous réserve de la signature de la documentation définitive liée aux joint-ventures.

Selon les deux parties, cet accord vise à contribuer à la consolidation des infrastructures numériques du Royaume, à améliorer l’accès aux services à très haut débit et à accompagner les projets stratégiques à venir, notamment dans la perspective de la Coupe du Monde 2030.

Maroc Telecom et Inwi ont exprimé leur volonté de poursuivre leur coopération avec l’ensemble des parties prenantes et les autorités concernées, dans le cadre d’un engagement commun en faveur du développement technologique au Maroc.

LNT avec CdP

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L’opérateur historique des télécommunications au Maroc voit ainsi ses titres de capital temporairement retirés du marché, sans qu’aucune précision officielle n’ait encore été communiquée quant à la nature des éléments à venir. Cette mesure intervient en conformité avec la réglementation en vigueur, qui permet à l’AMMC de suspendre la cotation d’un émetteur lorsque des informations susceptibles d’avoir un impact significatif sur le cours sont sur le point d’être rendues publiques.

À l’heure actuelle, aucun détail n’a été fourni par les autorités de marché ni par l’entreprise concernée, malgré les sollicitations des médias spécialisés. La suspension, bien que non exceptionnelle dans les pratiques boursières, suscite néanmoins une attention particulière en raison de la taille et de l’importance stratégique de Maroc Telecom, dont les performances financières et les orientations opérationnelles ont un impact direct sur l’indice MASI.

LNT

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S’exprimant en marge d’une cérémonie organisée à l’aéroport de Madrid-Barajas à l’occasion du franchissement du cap des 200 millions de passagers transportés à Madrid, Mme Cabrera a souligné que cette ambition s’inscrit dans une stratégie d’expansion régionale soutenue, portée notamment par les perspectives offertes par la Coupe du Monde 2030, que le Maroc coorganisera avec l’Espagne et le Portugal.

Actuellement, Ryanair transporte environ 15 millions de passagers au départ et à destination du Maroc. La compagnie entend désormais accélérer son développement sur le marché marocain, en misant sur le renforcement de ses capacités, l’ouverture de nouvelles routes et l’élargissement de son réseau, notamment dans les régions encore peu desservies.

Selon Mme Cabrera, Ryanair est désormais la première compagnie européenne à opérer des vols domestiques dans le Royaume, ce qui marque une étape importante dans sa stratégie de positionnement. Elle a indiqué que l’entreprise prévoit, en coordination avec l’Office national marocain du tourisme (ONMT), l’ouverture prochaine de nouvelles liaisons vers les provinces du Sud, dans une logique de soutien à la mobilité intérieure et de promotion des destinations émergentes.

« Le bon déroulement de nos opérations domestiques nous encourage à poursuivre nos investissements au Maroc. C’est l’un des marchés où Ryanair connaît actuellement la plus forte croissance », a-t-elle affirmé, mettant en avant la stabilité opérationnelle et les perspectives prometteuses du marché marocain.

Cette dynamique intervient dans un contexte de relance post-pandémique du transport aérien, marqué par une intensification des flux touristiques et une demande croissante pour des liaisons à bas coût. En renforçant sa présence au Maroc, Ryanair espère capter une part importante de la croissance attendue dans la région euro-méditerranéenne, particulièrement à l’approche de la Coupe du Monde 2030.

Pour la compagnie, la position géographique du Royaume constitue un levier stratégique. « Ryanair bénéficie d’un positionnement unique qui lui permet de connecter efficacement le triangle Maroc-Espagne-Portugal. C’est un atout majeur pour assurer la mobilité régionale dans les années à venir », a conclu Mme Cabrera.

Ce projet d’expansion illustre l’évolution du rôle du Maroc dans les réseaux de transport aérien en Méditerranée occidentale. Il confirme également la volonté des autorités marocaines de renforcer l’attractivité du pays en tant que hub touristique et logistique, notamment à travers des partenariats renforcés avec les compagnies à bas coût.

LNT avec MAP

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Le partenariat repose sur une collaboration initiée dès 2013 entre les deux structures, et entend passer à une nouvelle phase opérationnelle. L’objectif est d’accompagner les entreprises marocaines dans l’élaboration de politiques d’inclusion structurées, en leur fournissant des outils concrets pour intégrer efficacement les PSH au sein de leurs effectifs.

Lors de la cérémonie de signature, Mme Saadia Slaoui Bennani, présidente de la Commission RSE et Diversité de la CGEM, a souligné que « l’inclusion des personnes en situation de handicap ne relève pas uniquement d’un engagement social, mais constitue un véritable levier de transformation pour l’entreprise ». Elle a également rappelé que la diversité représente un atout stratégique, renforçant l’agilité, la créativité et la performance des organisations.

Dans cette optique, la CGEM et le Groupe AMH s’engagent à promouvoir les bonnes pratiques en matière d’inclusion, à développer des dispositifs adaptés à différents secteurs d’activité et à sensibiliser les acteurs économiques sur les bénéfices d’un environnement de travail plus équitable. Le partenariat prévoit aussi un accompagnement personnalisé des entreprises dans la mise en œuvre de ces politiques, avec une attention particulière portée à la pérennité et à l’impact des actions menées.

L’AMH, de son côté, poursuivra son rôle d’appui technique et stratégique, en proposant aux entreprises des solutions adaptées favorisant l’intégration professionnelle durable des PSH. L’association se positionne depuis plusieurs années comme un acteur clé dans la promotion d’une approche inclusive de l’emploi, en lien avec les évolutions sociales et économiques du pays.

Ce partenariat s’inscrit dans un contexte national où la question de l’inclusion professionnelle des personnes en situation de handicap gagne en visibilité. Il répond à la nécessité pour les entreprises marocaines d’adopter des démarches responsables, intégrant pleinement les dimensions sociales de la performance.

Au-delà de la dimension sociale, cette collaboration vise également à démontrer que l’inclusion peut générer de la valeur, en renforçant la compétitivité des entreprises et en contribuant à une croissance économique plus équitable.

LNT avec CdP

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Grâce à ce partenariat, Granal prévoit d’étendre sa présence sur le territoire national et à l’international, afin de mieux répondre aux besoins du marché des matériaux de construction. L’entreprise envisage également l’ouverture de nouveaux sites et la diversification de ses activités pour renforcer l’intégration verticale de ses opérations.

Omar Lahlou, Président de Granal, souligne l’importance de cette opération pour la poursuite de l’expansion de l’entreprise et sa capacité à soutenir les projets d’infrastructures au Maroc. De son côté, Jaafar Harti, CEO d’Africorp Consortium, rappelle que ce partenariat s’inscrit dans la stratégie du groupe de structurer des pôles d’excellence et d’accompagner le développement du pays. « Ce partenariat avec Red Med Private Equity (RMPE) permet à Granal de consolider sa position et de continuer à se déployer sur l’ensemble du territoire, en anticipant les besoins du secteur des infrastructures et du BTP », affirme M. Harti.

Mohamed Nasset, Managing Partner de Red Med Private Equity, indique que cet investissement s’inscrit dans la stratégie du fonds de soutenir les PME nationales dans la mise en œuvre de projets stratégiques et industriels, et de renforcer la position de Granal sur le marché des matériaux de construction.

Depuis sa création, Granal a élargi son réseau d’exploitation, passant d’un seul site à neuf sites, avec une couverture notamment dans les régions de Benslimane, Tanger et Khemisset, et prévoit l’ouverture de nouveaux sites.

Granal intègre également une démarche responsable dans ses activités, en mettant l’accent sur la protection de l’environnement, le développement sociétal et l’emploi local.

AL

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Dans le cadre de ce protocole d’accord, China Southern et Royal Air Maroc élargiront leur coopération interligne et établiront un partenariat de partage de codes pour améliorer la connectivité de leurs réseaux aériens respectifs. L’objectif est d’offrir aux voyageurs une plus grande variété d’options de voyage aussi bien sur les différentes destinations chinoises et asiatiques à travers le réseau dense de la compagnie chinoise qu’en Afrique par le biais du réseau étoffé de la compagnie marocaine dans le continent. Par ailleurs, les deux transporteurs aériens examineront des opportunités de coopération dans les domaines du transport de passagers et de fret, ainsi que dans les activités liées au secteur, permettant d’offrir des services plus fluides, plus simplifiés et de qualité supérieure aux voyageurs.

« La signature de ce protocole d’accord est une étape importante pour China Southern Airlines en réponse à l’Initiative de « la Ceinture et de la Route », et marque un nouveau point de départ pour la coopération entre China Southern Airlines et Royal Air Maroc. Nous sommes honorés de travailler conjointement avec Royal Air Maroc pour tirer pleinement parti de nos forces respectives, tout en explorant continuellement de nouvelles possibilités de coopération afin d’offrir aux passagers des expériences de voyage fluides et exceptionnelles. », indique M. Qu Guangji, Vice-Président Exécutif de China Southern Airlines.

De son côté, M. Hamid ADDOU, Président Directeur Général de Royal Air Maroc, affirme que: «ce partenariat avec China Southern Airlines représente une étape majeure dans le renforcement de la connectivité aérienne entre l’Afrique et la Chine. Cette collaboration permettra d’élargir les options de voyage pour nos passagers tout en renforçant le tourisme et les relations économiques et commerciales entre nos deux pays. En consolidant nos forces mutuelles, nous nous engageons à offrir des expériences de voyage favorisant des liens plus étroits entre l’Afrique et la Chine, d’une part, tout en facilitant l’accès à la destination Maroc des touristes chinois, venant des différentes régions du pays».

Pour rappel, Royal Air Maroc a repris la première liaison directe reliant le Maroc à la Chine depuis le 20 janvier 2025. La ligne directe Casablanca-Pékin est désormais opérée par la compagnie nationale trois fois par semaine.

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Le Produit Net Bancaire (PNB) s’établit à 3.303 millions de dirhams (MDH), en hausse de 12,9 % par rapport à 2023, et dépasse légèrement les estimations de 3.224 MDH. Cette performance est notamment portée par les activités de marché, dont les résultats atteignent 415 MDH, bien au-dessus des 353 MDH anticipés.

La dynamique des crédits constitue également un moteur majeur de croissance, enregistrant leur plus forte progression de la décennie (+10,9 % à 56,6 MMDH). Les crédits à l’équipement, à la promotion immobilière et le leasing affichent respectivement +25,1 %, +32,5 % et +64,4 %.

Le coefficient d’exploitation (COEX) s’améliore à 48,6 %, conforme aux prévisions. Cette performance est en partie due à la non-récurrence de charges exceptionnelles de 2023, telles que le don au Fonds Spécial Séisme ou encore les frais liés à l’autonomisation.

Le coût du risque recule de 10,5 % à 398 MDH, s’inscrivant également dans les prévisions. Le Résultat Net Part du Groupe (RNPG) progresse de manière significative de 47,3 % pour s’élever à 741 MDH, dépassant les 704 MDH attendus.

Côté boursier, le cours cible a été revu à la hausse à 1.253 DH avec un potentiel d’appréciation de +12 % à horizon de 9 mois. AGR confirme sa recommandation « Acheter », citant une dynamique positive qui pourrait conduire à une révision des prévisions à court terme.

LNT avec CdP

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Selon les résultats financiers publiés sur le site de l’Autorité marocaine du marché des capitaux (AMMC), le RNPG se répartit entre les différentes zones d’activité : 49% des bénéfices ont été générés au Maroc, 45% en Afrique subsaharienne et 6% en Europe.

Le produit net bancaire (PNB) consolidé s’est, pour sa part, inscrit en hausse de 10%, franchissant le seuil des 18,7 milliards de dirhams. Cette croissance a été portée par l’évolution favorable du Core Business, avec une progression de la marge d’intérêt de 6% et une hausse de 4% de la marge sur commissions. Les activités de marché au Maroc ont également connu une accélération significative, contribuant à cette performance globale.

Du côté de l’activité clientèle, les crédits consolidés, hors opérations de cession (Resales), ont atteint 223,25 milliards de dirhams, en progression de 2% par rapport à 2023. Les dépôts consolidés, hors pensions livrées (Repos), se sont établis à plus de 256,44 milliards de dirhams, soit une hausse de 8%. Ces indicateurs illustrent une croissance modérée mais continue de l’intermédiation bancaire, dans un contexte économique toujours marqué par des incertitudes à l’échelle internationale.

L’amélioration du coefficient d’exploitation consolidé constitue l’un des faits marquants de l’exercice 2024. Celui-ci s’est établi à 46%, contre 52% un an plus tôt, traduisant une meilleure maîtrise des charges d’exploitation. BOA indique, à ce titre, une baisse globale de 1% des charges, conjuguée à l’accroissement du PNB, ce qui a permis de renforcer l’efficience opérationnelle du groupe.

Le coût du risque, en revanche, a enregistré une hausse de 15% en 2024, atteignant 3,2 milliards de dirhams. Cette évolution traduit un renforcement des efforts de couverture des risques dans un environnement bancaire où la vigilance reste de mise, notamment dans certaines zones géographiques d’activité. BOA a par ailleurs consolidé ses fonds propres part du groupe de 9%, pour les porter à 29,1 milliards de dirhams, un niveau jugé conforme aux exigences réglementaires et à la politique prudente du groupe en matière de solvabilité.

Sur le plan du renforcement de sa base financière, Bank of Africa a procédé en 2024 à l’émission d’un emprunt obligataire subordonné d’un milliard de dirhams, structuré selon un mécanisme d’absorption des pertes et de suspension du paiement des coupons. Cette opération s’inscrit dans une logique de consolidation de l’assise financière du groupe, en adéquation avec les recommandations prudentielles nationales et internationales.

LNT

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Des rénovations majeures pour une nouvelle expérience hôtelière

Dans le cadre de son engagement à offrir un service haut de gamme, le groupe Pickalbatros a investi dans une transformation complète des infrastructures et des espaces de vie des deux hôtels.

• À Marrakech, le Sangho bénéficiera d’une rénovation intégrale de ses chambres, de ses espaces communs et de ses installations de loisirs, avec une attention particulière portée aux jardins et aux piscines, afin d’offrir un cadre paisible et raffiné aux futurs clients.
• À Agadir, le Palais des Roses connaît une modernisation de ses chambres et de son spa emblématique, ainsi que l’amélioration de ses restaurants et espaces de détente pour répondre aux standards internationaux de luxe et de bien-être.

Une ouverture imminente

Grâce à l’avancement rapide des travaux, ces deux établissements emblématiques du groupe Pickalbatros seront bientôt prêts à accueillir leurs premiers visiteurs. Les dates officielles d’ouverture seront communiquées sous peu, marquant ainsi une étape clé dans l’expansion du groupe au Maroc.

« Nous sommes impatients d’ouvrir ces hôtels et d’offrir à nos clients une expérience inédite dans ces lieux mythiques du tourisme marocain », a déclaré Kamel Abou Aly, président de Pickalbatros Hotels. « Nous avons hâte d’accueillir nos premiers visiteurs et de leur faire découvrir le renouveau du Sangho et du Palais des Roses. »

Avec ces ouvertures, Pickalbatros Hotels and Resorts confirme son ambition de devenir un acteur majeur du secteur hôtelier au Maroc, en combinant luxe, authenticité et excellence du service.

Cdp

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Le groupe Pickalbatros, qui gère l’hôtel, a toujours mis un point d’honneur à offrir une hospitalité de qualité supérieure. Dans le cadre de sa vision 2025, le groupe s’engage à investir dans des projets ambitieux pour moderniser et diversifier ses établissements, tout en renforçant son rôle de leader dans le secteur du tourisme de luxe. Cette rénovation fait partie intégrante de cette stratégie de développement, visant à offrir des services haut de gamme et à positionner ses hôtels parmi les meilleures destinations du Maroc et au-delà.

À travers cette rénovation, l’hôtel s’efforce également de renforcer son attractivité auprès des voyageurs en quête d’un séjour haut de gamme, tout en préservant l’authenticité marocaine dans chaque détail de la décoration.

Le Savoy Le Grand Hôtel Marrakech continue de renforcer son statut de destination de luxe incontournable, en alliant modernité et tradition, confort et élégance. Cette rénovation est un témoignage de l’engagement du groupe Pickalbatros à offrir des expériences inoubliables à ses clients, tout en s’inscrivant pleinement dans sa vision 2025 de développement durable et de raffinement.

Cdp

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À cette occasion, le président du GAM, M. Youssef Cheikhi, a présenté un bilan des activités réalisées en 2024 et les grandes lignes du plan d’action pour 2025. Il a mis en avant les principales initiatives menées par le Groupement au cours de l’année écoulée, notamment l’organisation de l’African Digital Summit 2024. Placé sous le Haut Patronage du Roi Mohammed VI, cet événement a réuni plus de 3 400 participants issus de 37 pays, dont 28 pays africains, et 80 intervenants internationaux. Le GAM a annoncé que le sommet adoptera désormais une fréquence biennale afin d’optimiser son organisation et d’en renforcer l’impact.

Parmi les autres actions entreprises en 2024, le GAM a poursuivi ses activités de diffusion de connaissances à travers les « GAM Talks » et les Afterworks, destinés à favoriser le dialogue entre professionnels. La formation a constitué un axe prioritaire, avec la consolidation de la GAM Academy. Celle-ci propose deux masterclasses mensuelles et a noué plusieurs partenariats avec des institutions telles qu’Africa Business School, Aleph, Amise et l’Union des Agences Conseil en Communication (UACC). Ces programmes sont complétés par l’initiative Digital Ad Expert et une plateforme e-learning.

Dans le domaine de la recherche, le Groupement a poursuivi la production d’études sectorielles. Dix publications ont été réalisées sur les trois dernières années, en partenariat avec des organismes nationaux et internationaux, couvrant des thèmes tels que les tendances digitales, la transformation du secteur ou encore la relation entre agences et annonceurs. Pour 2025, trois nouvelles études sont prévues, notamment sur le marketing durable, la place des femmes dans l’industrie et l’évolution des pratiques digitales au Maroc.

La production de contenu a également été renforcée. Le GAM a lancé le GAM Cast, une série de podcasts valorisant des parcours professionnels, ainsi que la capsule « One minute to explain your job », visant à faire découvrir les différents métiers du secteur.

Le Groupement a poursuivi l’élargissement de son réseau de membres et de partenaires. Selon son président, le nombre d’adhérents a doublé en cinq ans. Le GAM entend poursuivre cette dynamique en 2025, avec un engagement accru dans plusieurs chantiers structurants, dont la mise en œuvre d’une charte de confiance, la participation aux Assises nationales de la publicité, la définition d’indicateurs pour la mesure d’audience, ainsi que le déploiement de démarches en lien avec la durabilité et la protection des données personnelles, en concertation avec la CNDP.

L’organisation prévoit également d’intensifier l’animation de ses communautés, notamment à travers l’initiative « Femmes du GAM », tout en maintenant sa participation aux discussions sur les enjeux liés à l’intelligence artificielle et à l’évolution des pratiques numériques dans le secteur.

LNT

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Ce programme est ouvert aux startups innovantes développant des solutions basées sur l’IA, et aux talents individuels ou en équipe (maximum 3 membres), qu’ils soient étudiants, professionnels ou passionnés, marocains ou internationaux, avec des compétences avancées en IA, indique BMCE Capital dans un communiqué.

S’inscrivant dans le cadre de sa stratégie de transformation digitale et de son engagement continu en faveur de l’innovation, cette initiative capitalise sur la réussite des précédentes éditions « Cap’Tech », « Cap’INov » et « Cap’Women », et marque une étape clé dans l’intégration de l’IA au sein de l’organisation, précise la même source.

En outre, le programme vise à exploiter le potentiel de l’IA pour accélérer la transformation digitale du groupe et du secteur financier dans son ensemble.

Pour ce faire, il ambitionne de créer un écosystème dynamique rassemblant startups, chercheurs, partenaires technologiques et experts du secteur et de l’entreprenariat afin de collaborer sur des projets innovants qui répondent aux défis actuels du secteur financier et des métiers de la banque d’affaires.

Plus précisément, « Cap’AI by BK » se concentre sur trois axes prioritaires, à savoir l’optimisation de la prise de décision et du trading, l’amélioration de l’expérience client grâce à l’hyperpersonnalisation ainsi que l’automatisation des processus pour renforcer l’efficacité opérationnelle.

Dans ce sillage, il vise à stimuler l’innovation avec des solutions basées sur l’IA et adaptées aux enjeux du secteur financier, encourager l’esprit entrepreneurial à travers une plateforme collaborative, et favoriser l’adoption de l’IA et son intégration dans les services financiers.

Pour participer, les intéressés ont jusqu’au 30 avril 2025 pour s’inscrire sur le site www.capai.ma, en remplissant le formulaire d’inscription et en soumettant une idée de projet en lien avec l’une des thématiques du programme, fait savoir le communiqué.

LNT avec CdP

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Pour ce qui est des résultats opérationnels et financiers, l’année 2024 a été marquée par des prix stables reflétant une reprise de la demande. Les prix sont restés stables durant la majeure partie de l’année, y compris au second semestre (après une légère correction en fin de premier semestre).

Cette stabilité a été soutenue par une forte demande dans les principales régions agricoles, notamment en Océanie, Europe, en Amérique du Nord et dans certains pays d’Afrique et d’Asie, compensant ainsi une activité d’achat plus modérée en Inde et au Brésil. En Inde, les importations ont été freinées en début d’année par des subventions gouvernementales limitées et des niveaux de stocks relativement élevés, entraînant une approche plus prudente des achats. Toutefois, au troisième trimestre, les acheteurs indiens sont revenus sur le marché. Au Brésil, la demande est restée faible au premier semestre, en grande partie en raison d’un report important des stocks de 2023. Cependant, le second semestre a connu une forte reprise à quelques mois de la principale saison d’application agricole. Ces deux pays ont également été acheteurs de Triple Super Phosphate (TSP), avec une première acquisition historique de ce produit par l’Inde, faisant du TSP un levier clé de la croissance des ventes d’engrais d’OCP en 2024.

Le chiffre d’affaires d’OCP a atteint 96 989 MDH, en hausse par rapport aux 91 277 MDH enregistrés en 2023. Cette progression a été soutenue par une augmentation des volumes d’exportation et des prix stables.

Le chiffre d’affaires des engrais phosphatés a progressé de 11% en monnaie locale sur l’ensemble de l’année, porté par des volumes d’exportation en hausse, notamment vers l’Europe, l’Amérique du Nord et l’Inde. Les volumes de Triple Super Phosphate (TSP) ont enregistré une croissance de 48% en glissement annuel, représentant 21% des exportations d’engrais, contre 15% en 2023. Cette performance témoigne de l’engagement du Groupe à fournir des engrais adaptés, favorisant la productivité agricole et préservant la santé des sols.

Le chiffre d’affaires de l’acide phosphorique a affiché une forte progression, en hausse de 28% en monnaie locale par rapport à 2023, principalement grâce à une augmentation des volumes d’exportation. Cette croissance a été portée par une demande soutenue en Europe et en Amérique latine, où OCP a su capter de nouvelles opportunités de marché.

Le chiffre d’affaires de la roche a, quant à lui, reculé de 35% en monnaie locale sur un an, en raison d’une baisse des volumes de vente par rapport à 2023. Ce repli s’explique principalement par une demande plus faible en Inde en raison des stocks élevés accumulés en 2023.

La marge brute s’est élevée à 62 683 MDH, contre 50 534 MDH en 2023. Cette hausse reflète la croissance du chiffre d’affaires ainsi que la baisse des coûts des matières premières, notamment l’ammoniac.

L’EBITDA s’est établi à 39 068 MDH, en hausse par rapport aux 29 396 MDH de l’année précédente. La marge EBITDA s’est élargie à 40%, reflétant la croissance soutenue du Groupe, l’optimisation des coûts et les gains d’efficacité dans la production.

La dette financière nette a atteint 98 685 MDH à fin décembre 2024, avec un ratio de levier financier de 2,53x, qui se compare à 2,32x, affiché à fin décembre 2023, en ligne avec l’évolution de notre programme d’investissement.

Une baisse au T4

Au quatrième trimestre 2024, le chiffre d’affaires s’est élevé à 27 943 MDH contre 30 242 MDH enregistrés à la même période de l’exercice précédent. Cette baisse s’explique principalement par des achats exceptionnels en fin d’année 2023, qui avaient soutenu les ventes, tandis que la demande au quatrième trimestre 2024 s’est normalisée.

La marge brute s’est établie à 18 193 MDH, un niveau quasi stable par rapport aux 18 348 MDH enregistrés au cours du même trimestre en 2023.

L’EBITDA s’est établi à 12 063 MDH, en légère baisse par rapport aux 12 217 MDH du quatrième trimestre 2023. La marge EBITDA est restée solide à 43%, témoignant de la résilience du modèle opérationnel du Groupe.

Pour le management du groupe, ‘‘la solide performance d’OCP en 2024 reflète notre capacité à nous adapter efficacement à l’évolution des conditions du marché et à améliorer notre efficacité en matière de production et d’exploitation, tout en atteignant plusieurs jalons clés en matière de développement durable’’.

Et d’expliquer que ‘‘les conditions de marché ont été globalement conformes à nos attentes, avec une demande soutenue dans la plupart des régions clés. Les investissements passés et en cours d’OCP dans l’expansion des capacités et l’innovation ont renforcé notre flexibilité industrielle et notre agilité commerciale, permettant ainsi au Groupe de capter de manière constante et efficace une demande mondiale supplémentaire. Les engrais ont représenté 69% des revenus totaux d’OCP en 2024, contre 66% l’année précédente, avec une augmentation de 48% des volumes d’exportation du Triple Super Phosphate (TSP), qui a représenté 21% des ventes d’engrais, reflétant une forte demande des principales régions importatrices, notamment le Brésil et l’Inde’’.

Pour Mostafa Terrab, PDG du Groupe, OCP a réalisé ces excellents résultats financiers tout en avançant considérablement dans son programme de développement durable, notamment en matière de gestion de l’eau et d’énergie renouvelable : ‘‘ En 2024, nous avons dessalé 63 millions de mètres cubes d’eau pour approvisionner nos installations de production, nous permettant ainsi de maintenir des opérations stables malgré la sécheresse, tout en réduisant notre consommation de ressources naturelles. Nous avons également fait des progrès significatifs dans notre programme d’énergie solaire, avec la quasi- finalisation de la première phase, exploitant les excellentes conditions climatiques du Maroc pour décarboner progressivement nos opérations’’.

Pour rappel, en février 2025, OCP a levé avec succès 300 millions de dollars supplémentaires à travers une émission obligataire complémentaire («bond tap issue»), rattachée à son émission obligataire internationale de mai 2024, qui s’élevait à 2 milliards de dollars. Ces nouvelles obligations présentent les mêmes caractéristiques que l’émission initiale et sont totalement fongibles avec les obligations émises en mai 2024. Les fonds levés serviront à financer le programme d’investissement d’OCP ainsi qu’à répondre aux besoins généraux de l’entreprise.

En décembre 2024, le groupe a réalisé une émission obligataire nationale de 5 MMDH, destinée à soutenir le financement de son programme d’investissement. Cette émission est structurée en cinq tranches, avec des maturités de 10, 15, 20 et 30 ans.

H.Z

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Une intelligence artificielle orientée vers l’utilisateur

Lors du Consumer Electronics Show (CES) 2025, LG a exposé sa conception de l’intelligence artificielle, qu’elle qualifie d’« Affectionate Intelligence ». Cette approche vise à placer l’humain au centre des technologies, avec l’objectif de proposer des produits capables non seulement d’exécuter des tâches, mais également d’apprendre des habitudes et de s’adapter aux préférences des utilisateurs. Selon LG, cette orientation permettrait d’offrir une interaction plus intuitive et personnalisée, contribuant à améliorer le quotidien des consommateurs.

Nouvelles solutions technologiques pour le marché marocain

Dans le prolongement de cette stratégie, LG envisage d’élargir sa gamme de produits disponibles au Maroc. Parmi les innovations prévues figurent notamment des aspirateurs intelligents, conçus pour allier autonomie et efficacité, ainsi que des climatiseurs de dernière génération, développés pour optimiser à la fois le confort intérieur et la consommation énergétique. L’entreprise prévoit également d’enrichir son offre en électroménager, en proposant des appareils intégrant des fonctionnalités avancées et répondant aux exigences actuelles en matière de design et de performance.

Renforcement de l’activité e-commerce

Dans le cadre de son approche centrée sur le consommateur, LG a également annoncé le renforcement de son dispositif digital. Depuis novembre 2024, la marque a mis en service sa boutique en ligne officielle accessible via www.lg.com/ma. Cette plateforme permet aux clients d’accéder à l’ensemble de l’offre de LG Maroc, avec une navigation simplifiée et des services spécifiques visant à améliorer l’expérience d’achat.

LNT

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Les vols seront opérés par des Airbus A320, offrant une durée de trajet optimisée et un confort adapté aux passagers. Cette nouvelle liaison s’inscrit dans l’élargissement du réseau national d’Air Arabia Maroc, qui relie déjà Rabat à d’autres destinations comme Agadir, Oujda et Nador. Cette ouverture vise à améliorer la connectivité à travers le pays, favoriser le tourisme domestique et soutenir l’économie locale, explique la compagnie aérienne.

Les billets pour la nouvelle liaison Rabat–Essaouira sont disponibles sur le site internet d’Air Arabia, son application mobile, ainsi qu’auprès des agences de voyage partenaires.

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Une transformation visant à structurer la croissance

Présent depuis plus de trois décennies, le Groupe Best Health, désormais Vicenne, a développé une offre complète d’équipements et de solutions innovantes pour les professionnels de santé. Cette transformation intervient dans un contexte d’évolution du groupe, marqué par des ambitions renforcées sur plusieurs axes.

Adil Bennani, Président du Conseil d’Administration de Vicenne, a précisé : « Ce changement de nom va bien au-delà d’un simple rebranding. Il marque une transformation stratégique et incarne notre ambition de faire de Vicenne un acteur incontournable de la santé en Afrique, en accélérant notre développement et en structurant notre croissance. »

Trois objectifs stratégiques majeurs sont identifiés à travers cette démarche :

• Optimiser la synergie entre les filiales pour offrir une expérience plus intégrée ;
• Renforcer l’accompagnement des professionnels de santé avec des solutions innovantes ;
• Consolider la présence du groupe sur les différents marchés africains.

Des filiales spécialisées regroupées sous une marque unique

Le groupe s’appuie sur plusieurs filiales spécialisées, couvrant divers métiers du secteur médical :

• SCRIM (Équipements hospitaliers – imagerie médicale, radiothérapie, Maroc),
• Soma Medical (Dispositifs médicaux implantables, Maroc),
• Mabiotech (Diagnostic in vitro et solutions pour laboratoires, Maroc),
• Saiss Environnement (Gestion et traitement des déchets médicaux, Maroc),
• TMS (Équipements hospitaliers, Tunisie),
• MTS (Équipements hospitaliers, Sénégal),
• Ivocare (Équipements hospitaliers, Côte d’Ivoire).

Ces entités conservent leurs expertises respectives, tout en étant désormais rassemblées sous la marque Vicenne. « Vicenne incarne notre engagement à accompagner les professionnels de santé en Afrique avec des solutions innovantes, une approche intégrée et une expertise alignée sur les plus hauts standards », a indiqué Adnane Zerhouni, Directeur Général de Vicenne.

Depuis sa création, le groupe a accompagné de nombreux établissements de santé, affichant les indicateurs suivants :

• Plus de 1 000 établissements de santé équipés,
• 12 200 références produits commercialisées,
• 300 laboratoires équipés,
• 10 000 heures de formation dispensées,
• 30 000 accompagnements en bloc opératoire.

Cette expérience acquise sur plusieurs décennies constitue un socle sur lequel le groupe entend continuer à bâtir.

Le passage à l’identité Vicenne est conçu pour se faire sans impact sur les relations avec les partenaires et les clients. Les interlocuteurs habituels, les produits et services proposés restent inchangés. En revanche, cette évolution devrait permettre, selon le groupe, une meilleure coordination entre les filiales et une offre plus harmonisée.

Le déploiement de la nouvelle identité inclura notamment la mise en ligne d’un nouveau site internet ainsi que l’adaptation des supports de communication dans les différents pays où le groupe est implanté.

LNT

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Une performance financière tirée par la croissance des volumes

Sonasid a réalisé un chiffre d’affaires social de 5 375 millions de dirhams (MDH) à fin 2024, en hausse de +10 % par rapport à l’exercice précédent, une évolution due à la progression de +15 % des volumes de vente. « Cette croissance traduit notre capacité à capter la dynamique du marché de la construction et à répondre à une demande soutenue grâce à un maillage commercial renforcé », a souligné Mme Assia Baraka, directrice commerciale, marketing et communication du groupe, lors de la conférence de presse.

Le résultat d’exploitation a atteint 221 MDH, en forte hausse de +86 %, soutenu par l’amélioration des performances opérationnelles et la réduction des coûts. Le résultat net social s’élève à 151 MDH (+91 %), tandis que le résultat net part du groupe, au niveau consolidé, s’établit à 141 MDH, soit une hausse spectaculaire de +117 % par rapport à 2023, atteignant son plus haut niveau depuis 2009.

Des investissements stratégiques et un nouveau produit lancé

En 2024, Sonasid a investi 197 MDH, principalement pour soutenir l’excellence opérationnelle, valoriser les coproduits et développer de nouveaux produits à haute valeur ajoutée. Parmi les faits marquants figure le démarrage, en décembre, de la commercialisation du fil précontraint, un produit innovant destiné au secteur de la construction. « Ce produit était entièrement importé auparavant. Nous sommes désormais les seuls producteurs au Maroc, et il répond à des besoins locaux croissants, notamment pour les grands chantiers d’infrastructures », a précisé M. Ismail Akalay, PDG.

Mme Houda Lazreq, directrice des achats, a souligné l’impact positif de cette innovation : « Le fil précontraint nous permet d’améliorer la compétitivité de nos clients marocains tout en réduisant la dépendance aux importations. Nous visons à moyen terme une production annuelle de plusieurs milliers de tonnes. »

Le groupe conserve une structure financière robuste avec un excédent de trésorerie de 722 MDH. Cette position lui permet de financer ses projets de développement tout en maintenant une politique de distribution généreuse. À ce titre, le Conseil d’Administration proposera à l’Assemblée Générale la distribution d’un dividende de 39 dirhams par action, soit une hausse notable par rapport à 2023.

M. Youssef Hbabi, directeur financier, a souligné que « cette capacité à distribuer 100 % du résultat net social, année après année, témoigne de la résilience de notre modèle économique et de la confiance que nous accordons à nos perspectives à moyen terme ».

Des perspectives prometteuses dans un contexte international complexe

L’exercice 2024 s’est déroulé dans un contexte mondial marqué par une surcapacité de production d’acier, notamment en Chine, qui a intensifié ses exportations. M. Akalay a reconnu que « la pression sur les marges reste forte, mais notre stratégie basée sur la maîtrise des coûts, l’innovation produit et le développement durable nous permet de tirer notre épingle du jeu ».

Sur le plan local, Sonasid bénéficie de la relance du secteur de la construction. Mme Baraka précisé que « la consommation nationale de ciment a progressé de 1,8 % sur l’ensemble de l’année, mais de 18 % sur le second semestre, ce qui est un signal fort pour notre activité ».

Sonasid poursuit la mise en œuvre de son plan stratégique « Act For Impact », structuré autour de quatre piliers : excellence opérationnelle, innovation, décarbonation et inclusion. Le groupe affirme produire de l’acier avec 90 % d’énergie renouvelable, ce qui en fait l’un des sidérurgistes les plus performants en matière de réduction de CO2. « Nous avons réduit notre empreinte carbone à 36 kg de CO2 par tonne d’acier, contre une moyenne mondiale de 1 910 kg », a précisé M. Hmiddouch, ajoutant que « cette performance nous positionne favorablement face à la future taxe carbone européenne ».

Sur le volet social, Mme Amal Boukhriss, directrice RSE, a rappelé que « Sonasid a réalisé zéro accident de travail en 2024, renforcé la parité avec 43 % de femmes au Conseil d’Administration, et développé des actions concrètes en faveur de la santé, de l’éducation et de l’inclusion des enfants vulnérables, notamment les enfants nés en milieu carcéral ».

Priorités 2025 et au-delà

En 2025, Sonasid entend poursuivre ses investissements pour renforcer sa capacité de production, réduire ses coûts et commercialiser de nouveaux produits, notamment dans les alliages métalliques à base de cuivre et d’aluminium. « Le marché local est demandeur, notamment avec l’essor des batteries et de l’automobile électrique, et nous voulons répondre à cette demande avec des produits à forte valeur ajoutée », a indiqué M. Hmiddouch.

Le groupe prévoit également un ambitieux projet de modernisation de son aciérie, avec un investissement de 250 millions de dirhams d’ici 2030. « L’objectif est d’atteindre une capacité de production d’un million de tonnes et de réduire de 20 % notre consommation énergétique », a conclu M. Hbabi. En fin de conférence, M. Akalay a même lancé la promesse à la salle : « Jusqu’à 2030, une usine par an ! ». Le message est clair, la dynamique d’investissement du groupe devrait, au moins, se maintenir d’ici 2030.

Selim Benabdelkhalek

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Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’un partenariat stratégique avec l’association « Eau Vive », scellé en décembre 2023, visant à améliorer les infrastructures scolaires en milieu rural et à favoriser l’accès à une éducation de qualité pour les populations locales.

La cérémonie de remise tenue le 14 mars 2025, a réuni élèves, enseignants et parents, en présence de Madame Sonia KAM, représentant le Directeur Général de la banque, et de Monsieur Yongo NIGNAN, président de l’association « Eau Vive ». Cet événement, marqué par une forte mobilisation des communautés locales, a souligné l’importance de cette initiative pour l’avenir éducatif des jeunes et le développement de la région.

Construites selon des normes modernes et durables, ces deux nouvelles salles de classe répondent aux besoins croissants en matière d’éducation. Elles permettront de désengorger les anciennes infrastructures et d’offrir un cadre d’apprentissage plus sécurisé et adapté. Cet investissement vise à garantir un accès plus équitable à une éducation de qualité, tout en améliorant significativement les conditions d’enseignement.

« L’éducation est la clé de tout changement. Elle ouvre la voie à un avenir meilleur pour nos enfants et pour la société », a déclaré Madame Sonia KAM lors de la cérémonie. « Banque Atlantique est fière de soutenir ce projet et de contribuer à l’édification d’une société plus juste et plus inclusive en collaborant avec des partenaires locaux engagés comme Eau Vive », a-t-elle ajouté.

À travers cette initiative, Banque Atlantique réaffirme son engagement en faveur du développement social au Burkina Faso, en parfaite adéquation avec la vision du Groupe BCP, qui intègre la responsabilité sociétale d’entreprise comme un axe stratégique clé.

LNT avec CDP

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La labellisation est attribuée par l’Institut du Numérique Responsable (INR) en partenariat avec divers acteurs, dont le ministère français de la Transition écologique, l’ADEME (Agence de la transition écologique) et le WWF. Elle reconnaît les entreprises engagées dans des pratiques numériques éthiques, soucieuses de limiter leur empreinte environnementale et de favoriser un impact sociétal positif.

Après avoir obtenu le niveau 1 en 2022, CGI franchit une nouvelle étape dans sa démarche. L’obtention du label de niveau 2 intervient à la suite d’un audit approfondi réalisé par le cabinet indépendant Baker Tilly pour le compte de l’agence LUCIE. Cet audit a évalué l’entreprise selon 52 critères répartis autour de cinq axes principaux, incluant la gouvernance, la gestion responsable du cycle de vie des services numériques et l’intégration des principes du numérique responsable dans ses offres commerciales.

Parmi les initiatives mises en avant figurent la formation de 9 000 collaborateurs à l’écoconception, ainsi que la collaboration avec des clients, notamment EDF, pour développer des solutions respectueuses de l’environnement. CGI a également élaboré un plan d’action sur trois ans visant à renforcer l’intégration du numérique responsable dans ses prestations, notamment par la promotion de la conception responsable et l’adoption progressive de standards en matière d’intelligence artificielle éthique.

Les résultats de cette démarche seront suivis à travers une évaluation régulière de l’empreinte environnementale des projets menés par l’entreprise.

LNT

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L’inauguration a eu lieu mardi, en marge de la célébration du 22ᵉ anniversaire de l’Initiative Royale pour le Développement de la Région de l’Oriental. Plusieurs responsables étaient présents, notamment le Wali de la région, le président du Conseil régional, le Ministre délégué chargé de l’Investissement, de la Convergence et de l’Évaluation des politiques publiques, le Ministre de l’Inclusion économique, de la Petite entreprise, de l’Emploi et des Compétences, ainsi que le Secrétaire d’État chargé du Commerce extérieur. Des représentants du groupe SII, ainsi que des acteurs économiques et institutionnels, ont également pris part à l’événement.

L’installation de cette société intervient dans un contexte où la région de l’Oriental cherche à renforcer son attractivité économique. Ce projet s’inscrit notamment dans une stratégie visant à promouvoir la digitalisation, la formation de compétences locales et l’investissement privé.

Présent dans 21 pays et comptant 18.000 collaborateurs, le groupe SII est spécialisé dans le conseil en ingénierie et les services numériques. Ses activités couvrent plusieurs secteurs, dont l’industrie, l’énergie, l’automobile et les télécommunications. Le choix d’Oujda pour cette implantation s’explique par les opportunités économiques offertes par la région et les dispositifs d’accompagnement mis en place.

Le site SII Oujda Shore, qui s’étend sur 500 m², est conçu pour favoriser la montée en compétences des talents locaux. Selon les responsables du projet, il devrait permettre la création de 500 emplois directs, contribuant ainsi à l’offre d’emploi dans la région.

L’implantation bénéficie par ailleurs d’un accompagnement institutionnel, comprenant un appui administratif et réglementaire, ainsi que des incitations fiscales et financières prévues par la Nouvelle Charte de l’Investissement. Des partenariats avec des établissements de formation sont également envisagés pour assurer la disponibilité d’une main-d’œuvre qualifiée.

LNT 

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Cette initiative intervient dans un contexte marqué par l’accélération des efforts en matière de transition énergétique. Royal Air Maroc adopte ainsi une flotte exclusivement électrique pour les déplacements de ses collaborateurs, contribuant à la réduction de son empreinte carbone.

Leader Location accompagne cette transition en mettant à disposition des véhicules récents, répondant aux normes environnementales en vigueur. La flotte livrée est constituée de deux modèles de SUV de la marque SERES (le Seres 3 et le Seres 5), ainsi que du véhicule utilitaire DFSK EC35, combinant confort, performance et adaptabilité aux besoins de Royal Air Maroc.

Avec cette opération, Leader Location devient le premier acteur du secteur de la location longue durée au Maroc à fournir une flotte 100% électrique. L’entreprise, qui gère actuellement une flotte multimarques de plus de 2 200 véhicules, confirme ainsi son engagement en faveur d’une mobilité plus respectueuse de l’environnement.

La signature de cette convention avec Royal Air Maroc représente également une étape importante pour le développement de la mobilité électrique au Maroc, dit-on auprès du groupe Auto Hall. Leader Location entend poursuivre ses efforts en proposant des solutions adaptées aux entreprises souhaitant intégrer des véhicules électriques dans leur flotte, contribuant ainsi à la dynamique nationale en matière de développement durable.

LNT avec CdP

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Cette citadine offre une panoplie de technologies avancées, telles que la la E-Plateforme 3.0 et la Blade Battery innovante de BYD, un écran rotatif électriquement de 10,1 pouces compatible avec Android Auto et Apple CarPlay, et des fonctions de commande vocale.

Côté autonomie, la BYD Seagull offre une autonomie urbaine de 445Km, avec une capacité de batterie de 38.88 kWh, et une compatibilité de charge AC de 7kW et de 40kW  en DC, et grâce à cette dernière, on peut recharger de 30 % à 80 % de batterie en seulement 30 minutes. Une motorisation EV de 55kW (77Ch) qui permet de développer un couple maximale jusqu’à 135Nm et une vitesse maximale de 130km/h.

Au menu, trois coloris à savoir le noir, le blanc et le vert. La voiture sera commercialisée au Maroc en une seule version «full option» au prix de 209.900 Dhs TTC et ceci depuis le 15 mars 2025 au niveau de l’ensemble des succursales AutoNejma sur Casablanca, Rabat, Marrakech, Agadir et Tanger.

Pour rappel, depuis son entrée sur le marché marocain en juillet 2023, BYD a introduit six modèles de véhicules, notamment les HAN, TANG, ATTO 3, SEAL, SEAL U PHEV et maintenant la BYD SEAGULL : ‘‘ Avec cette gamme en constante expansion, BYD consolide son engagement à proposer des solutions de mobilité innovantes et durables’’, dit-on auprès d’Auto Nejma pour qui cette citadine est en mesure d’offrir une solution de transport durable et accessible, idéale pour les gens qui sont à la recherche d’une alternative technologique et performante : ‘‘ La voiture se distingue par sa structure de carrosserie haute résistance et offre six airbags, garantissant des normes de sécurité élevées. Ce modèle combine robustesse, sécurité et technologies de pointe, répondant aux attentes des consommateurs soucieux de leur confort et de leur sécurité, tout en renforçant l’engagement de BYD à promouvoir une mobilité propre et innovante au Maroc’’.

H.Z

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Jusqu’à présent, les voyageurs étaient soumis à un double contrôle aux frontières, nécessitant la présentation du passeport à deux reprises, notamment après l’apposition du tampon d’entrée. Cette procédure a désormais été allégée grâce à l’automatisation du contrôle, permettant un passage plus fluide et sécurisé.

Cette avancée résulte d’une collaboration entre plusieurs institutions : la Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN), la Direction de l’Immigration et de la Surveillance des Frontières relevant du Ministère de l’Intérieur, ainsi que l’Office National Des Aéroports (ONDA), explique un communiqué de l’ONDA.

La mise en place des portillons automatiques vise à améliorer l’expérience des passagers en réduisant le temps d’attente aux points de contrôle, tout en maintenant un haut niveau de sécurité. Cette démarche s’inscrit dans une volonté plus large d’adaptation face à l’augmentation du trafic aérien international.

Selon l’ONDA, cette mesure sera généralisée à l’ensemble des aéroports du Royaume avant le début de la saison estivale, soit d’ici juin 2025. Chaque infrastructure sera progressivement équipée pour intégrer ces dispositifs automatisés.

LNT

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« Le souci du détail et la passion pour l’excellence, telles sont les ingrédients derrière le succès de l’artisanat Marocain. IQOS partage les mêmes valeurs.  Afin de célébrer la richesse du patrimoine culturel Marocain, IQOS a voulu cette initiative comme une occasion unique permettant également d’offrir aux utilisateurs des expériences immersives et créatives », a déclaré Anna Quintanilla, Directrice des produits sans fumée à PMI Maghreb.

Ces ateliers permettent aux participants de découvrir des savoir-faire ancestraux tout en créant des objets personnalisés, au croisement de la tradition et de la modernité. Parmi les activités proposées, on retrouve la personnalisation de tuniques, l’art de la babouche, la calligraphie et l’art du zellige Marocain.

PMI, la société mère d’IQOS, poursuit sa transition en investissant dans des produits sans tabac et nicotine, avec pour objectif de remplacer complètement les cigarettes traditionnelles. En 2022, PMI a acquis Swedish Match, un leader dans le domaine de la nicotine orale. Ses produits, comme IQOS et ZYN, ont été approuvés par la FDA. Aujourd’hui, PMI propose ses produits sans fumée dans 95 marchés à travers le monde.

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Le prix d’acquisition proposé dans le cadre de l’Offre s’élève à 50 livres égyptiennes par action de Delta Insurance S.A.E, soit 5 milliards de livres égyptiennes pour l’ensemble de ses actions. Déterminé sur la base de plusieurs hypothèses, le prix d’acquisition envisagé pour l’Offre est une estimation susceptible d’être ajustée.

L’Offre ne constitue en aucun cas un engagement ou une obligation à la charge de Wafa Assurance de déposer un projet d’offre publique d’acquisition visant les actions de Delta Insurance S.A.E. Elle reste soumise à la réalisation d’un audit, à l’obtention des autorisations nécessaires, ainsi qu’à l’approbation des autorités réglementaires compétentes en Égypte et au Maroc.

Approbation des autorités financières égyptiennes

À cet effet, l’Autorité des marchés financiers égyptienne a autorisé Wafa Assurance, le 13 février 2025, à conduire un audit sur Delta Insurance S.A.E. Elle a également approuvé, le 6 mars 2025, l’extension du délai réglementaire de soixante jours ouvrés pour le dépôt d’un éventuel projet d’offre publique d’acquisition visant les actions de Delta Insurance S.A.E.

Delta Insurance S.A.E : un acteur clé du marché égyptien

Delta Insurance S.A.E est un acteur majeur du marché égyptien de l’assurance, opérant sur les segments Vie et Non-Vie, avec une offre de produits diversifiée, distribuée à travers des canaux adaptés.

Déjà présente sur le marché égyptien de l’assurance de personnes via sa filiale Wafa Life Insurance Egypt, Wafa Assurance ambitionne, à travers l’opération envisagée dans le cadre de l’Offre, de renforcer sa présence et de compléter son dispositif sur un marché dynamique offrant des perspectives de croissance attrayantes.

Une stratégie d’expansion en Afrique

Wafa Assurance confirme ainsi sa volonté de poursuivre son développement sur le continent africain, en s’appuyant sur :

• Les synergies développées avec le groupe Attijariwafa Bank

• Son expertise

• Sa position de leader sur le marché marocain de l’assurance

L’objectif du groupe est de couvrir, dans plusieurs pays du continent, l’ensemble des besoins des particuliers et acteurs économiques en assurance Vie et Non-Vie.

Cdp

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Convaincue que l’avenir du travail repose sur l’agilité et l’expertise, elle partage avec nous sa vision du freelance premium, et plus généralement des mutations du marché du travail.

La Nouvelle Tribune : Qu’est-ce qui vous a personnellement attirée dans l’univers du freelancing premium ? En quoi se différencie-t-il du freelancing classique ?

Siham Sentissi : Plusieurs raisons m’ont menée vers BlueBirds et le freelancing premium.

D’abord, le goût pour l’entrepreneuriat. J’ai toujours cherché à évoluer dans des environnements où mon impact est direct et ma contribution tangible. BlueBirds cochait toutes les cases : une entreprise en structuration, un marché en mutation, et la possibilité d’apporter ma pierre à l’édifice.

Ensuite, mon attachement au secteur du conseil a fortement influencé cet attrait. Après mon retour au Maroc, intégrer BlueBirds m’a permis de renouer avec un domaine que j’adorais et qui correspondait à mon mode de fonctionnement : la diversité des sujets, des secteurs, des enjeux clients, et surtout cette boucle d’apprentissage continue qui me stimule au quotidien.

Enfin, et surtout, j’ai compris très vite que je mettais un pied dans une véritable transformation du monde du travail. Le freelancing premium n’est pas juste une tendance, c’est une nouvelle façon d’organiser les compétences et les expertises au sein des entreprises. Et moi qui ai toujours aimé les missions où l’on “disrupte” le statu quo, c’était une évidence : je voulais être actrice de cette révolution du marché du travail, de ce changement de paradigme ! Ici, j’avais l’opportunité d’accompagner la mutation même du marché de l’emploi en introduisant plus de flexibilité et d’agilité dans les modèles d’organisation traditionnels.

Freelancing premium vs freelancing Classique : une question de positionnement

La différence fondamentale réside dans le positionnement et la typologie des profils.

Quand on parle de freelancing, l’image qui vient immédiatement en tête, c’est celle des profils digitaux et tech (développeurs, designers, consultants SEO, etc.), et c’est normal : ce sont eux qui ont historiquement adopté ce mode de travail en premier.

Le freelancing premium, lui, concerne des profils à plus forte valeur ajoutée, ayant une expertise stratégique ou opérationnelle poussée. Il s’agit principalement :

• D’anciens consultants en management, stratégie, finance ou digital, qui mettent leur expertise au service des entreprises sur des problématiques stratégiques ou organisationnelles.
• D’anciens cadres dirigeants et managers de transition, qui apportent une vision et une expérience éprouvée sur des enjeux fonctionnels et/ou sectoriels spécifiques.

En somme, la dénomination « premium » ou « à forte valeur ajoutée » ne fait pas référence à un statut particulier, mais bien au niveau d’expertise et aux enjeux des missions confiées à ces indépendants. Il ne signifie rien d’autre qu’un positionnement différent, plus proche des directions générales et des enjeux business.

Quel rôle joue une plateforme comme BlueBirds dans la mise en relation entre entreprises et talents féminins ?

BlueBirds joue avant tout un rôle d’intermédiaire de confiance, à la fois pour les entreprises et pour les indépendants.

Du côté des entreprises, notre mission est d’identifier les talents les plus pertinents pour répondre à leurs enjeux spécifiques. Trouver un consultant, ce n’est pas juste cocher des cases sur un CV. Notre sélection des indépendants repose non seulement sur leurs compétences mais aussi sur leur adéquation avec la culture et les attentes du client pour que la collaboration fasse sens dans son contexte. Notre valeur ajoutée repose sur un processus de sélection sur-mesure, qui garantit aux entreprises un haut niveau de qualité dans l’exécution des missions confiées.

Du côté des indépendants, nous les accompagnons pour défendre leurs intérêts et notre rôle est double :

• Une sélection sans discrimination : Nous mettons un point d’honneur à ne faire parler que la compétence et la valeur ajoutée, indépendamment du genre. Le choix final d’un consultant repose uniquement sur le rapport qualité/prix et la pertinence du profil pour la mission.
• Un accompagnement au bon positionnement : et c’est là où, spécifiquement pour les femmes, notre rôle prend une autre dimension. Les femmes ont tendance à sous-évaluer leurs honoraires et à vouloir être parfaitement préparées avant de se positionner sur une mission. Contrairement aux hommes, qui vont plus souvent “y aller d’abord et réfléchir ensuite”, elles cherchent d’abord à réduire les risques avant de se lancer. Nous travaillons donc à déconstruire, gommer ces biais sociétaux et à valoriser justement leur expertise auprès des clients.

Ce travail d’accompagnement est clé pour garantir un accès équitable aux opportunités et permettre aux talents féminins d’exprimer pleinement leur potentiel dans un marché encore marqué par certaines inégalités.

Comment jugez-vous l’importance de la flexibilité dans la vie professionnelle ? Le choix de la flexibilité implique-t-il des sacrifices ?

L’essor du freelancing est en soi la meilleure démonstration que la flexibilité est devenue un critère clé dans le choix d’un modèle de travail. De plus en plus de professionnels, hommes comme femmes, cherchent à s’émanciper du cadre rigide du CDI et à opter pour des modalités de travail plus adaptées à leurs aspirations personnelles et professionnelles.

Cela dit, la flexibilité a un prix. Aujourd’hui, accéder à un mode de travail flexible signifie sortir du cadre salarié et faire le choix du freelancing, avec les risques et l’incertitude que ce modèle implique. Le principal sacrifice, c’est le confort de la stabilité. L’indépendant doit accepter un niveau de risque plus élevé qu’un salarié, en échange d’une plus grande liberté dans la gestion de son activité et de son emploi du temps.

C’est pourquoi je suis convaincue que nous nous dirigeons vers un modèle hybride, où les entreprises intégreront de manière plus fluide les indépendants dans leur stratégie RH, aux côtés des talents permanents.

Quelles évolutions réglementaires ou sociétales sont nécessaires pour pleinement libérer le potentiel du freelancing premium ?

Le sujet doit être pris de manière systémique. Ce n’est pas seulement une question de cadre légal, mais bien une transformation globale qui touche les institutions, les entreprises, et la perception même du freelancing. Pour structurer ce marché et permettre à davantage de talents d’opter pour ce modèle en toute sérénité, plusieurs évolutions sont nécessaires :

1. Adapter le cadre juridique et fiscal : Aujourd’hui, les statuts existants sont encore peu adaptés aux indépendants à haute valeur ajoutée. Il est essentiel de simplifier les démarches administratives et fiscales, notamment pour la déclaration des revenus. Un régime fiscal plus clair et incitatif permettrait de sécuriser et d’encourager les talents à se lancer.
2. Développer une protection sociale adaptée : L’AMO pour les indépendants est un premier pas, mais reste encore partielle. Aujourd’hui, tout repose sur l’indépendant : retraite, chômage, assurance santé. Il est donc crucial de développer des solutions spécifiques pour ces profils afin de sécuriser ce modèle de travail, sans pour autant le rigidifier.
3. Faire évoluer la perception du freelancing dans la société et les entreprises : d’un côté, les banques et institutions financières perçoivent encore le freelancing comme une activité instable. L’accès au crédit ou au financement est souvent compliqué pour un indépendant. De l’autre, les entreprises doivent également maturer dans leur gestion des talents externes. La tarification des prestations intellectuelles, par exemple, doit mieux prendre en compte le risque et la flexibilité qu’un indépendant apporte.

Au-delà des aspects réglementaires et culturels, il est essentiel de structurer ce marché pour le rendre plus lisible et accessible. C’est ce que nous faisons au quotidien chez BlueBirds, en créant un cadre structuré où les entreprises peuvent trouver les meilleurs talents indépendants et où les freelances peuvent accéder à des missions adaptées à leur expertise.

L’enjeu est donc double : faire évoluer les mentalités et les cadres institutionnels, mais aussi construire des réseaux et des plateformes solides qui professionnalisent et fluidifient l’accès au freelancing premium.

À travers votre podcast « Histoires d’Entreprises Maroc », vous mettez en lumière des parcours inspirants. Y a-t-il une histoire qui vous a particulièrement marquée et qui illustre l’évolution du travail féminin ?

L’histoire de Zineb Bouayad, General Manager de Mubawab m’a particulièrement marquée. Elle illustre bien les défis auxquels les femmes sont confrontées dans le monde professionnel lorsqu’elles veulent concilier ambition et maternité.

Je me suis reconnue dans son parcours : jeune maman, ayant travaillé à travers ses grossesses et ses congés maternité, elle incarne la réalité de nombreuses femmes qui jonglent entre carrière et vie personnelle.

Aujourd’hui, nous sommes nombreuses à refuser de sacrifier nos ambitions professionnelles au profit de notre vie familiale, et inversement. Mais la réalité, c’est que l’équilibre est précaire et que nous faisons face à des injonctions contradictoires.

C’est aussi ce qui me motive chez BlueBirds. Si, à travers mon action, je peux offrir aux talents féminins un cadre plus souple, où elles n’ont pas à choisir entre carrière et vie personnelle, alors je considère que je contribue à mon échelle à rendre le monde du travail plus inclusif et adapté aux réalités d’aujourd’hui. Mais la vraie transformation viendra aussi des entreprises elles-mêmes, qui doivent repenser leurs modèles pour inclure plus de flexibilité, en interne comme en externe.

https://www.histoiresentreprises.com/

Propos recueillis par Selim Benabdelkhalek

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Ce séminaire a permis d’aborder des sujets stratégiques dans un cadre favorisant l’échange et la réflexion. Les discussions ont notamment porté sur l’optimisation des besoins en fonds de roulement des entreprises marocaines à travers la Supply Chain Finance en tant que nouvelle source de financement. Une masterclass a également été organisée pour explorer les outils technologiques à disposition des trésoriers, tels que les ERP, les API, le format XML, l’intelligence artificielle, ainsi que les solutions low-code et no-code.

BANK OF AFRICA a profité de cette occasion pour réaffirmer son rôle en tant qu’acteur majeur de l’innovation financière et de l’évolution des pratiques en gestion de trésorerie. La banque a notamment rappelé son engagement en faveur de la transformation digitale à travers le lancement de sa plateforme collaborative « SCF BY BANK OF AFRICA », première solution 100 % digitale de Supply Chain Finance au Maroc.

Cette plateforme, accessible en selfcare aussi bien aux donneurs d’ordres qu’aux fournisseurs, vise à simplifier la gestion des échéanciers de paiement. Elle constitue une alternative de financement permettant aux fournisseurs d’accéder à des liquidités immédiates à un coût compétitif. En facilitant le paiement rapide des factures, cette solution contribue à accélérer les flux de trésorerie, à renforcer les relations commerciales entre entreprises et à réduire les risques de rupture d’approvisionnement. En complément, elle propose un accompagnement et des formations pour une gestion financière optimisée.

LNT 

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Kamal El Maataoui, Directeur Général Délégué de la Laitière Invest déclare : « Avec cette nouvelle identité visuelle, Albane réaffirme son engagement à offrir aux consommateurs marocains des produits laitiers de qualité, tout en renforçant son ancrage dans les traditions du Royaume. Ce renouvellement s’inscrit dans une dynamique de proximité et d’authenticité, en phase avec les attentes du marché».

Albane fait partie de Medmilk, une filiale du groupe Anouar Invest, et bénéficie de l’expertise d’un acteur clé dans l’industrie agroalimentaire au Maroc. L’entreprise, qui travaille avec 14 000 éleveurs et 223 points de collecte, veille à maintenir des standards de qualité élevés pour garantir des produits locaux, nutritifs et accessibles.

Dans le cadre de cette transformation, plusieurs gammes phares d’Albane, telles que le lait frais, le lait UHT, les yaourts et le Lben, ont été repensées pour adopter une esthétique plus moderne et épurée. Ce changement vise à améliorer la visibilité des produits en rayon et à renforcer l’image de marque en mettant l’accent sur la fraîcheur et l’authenticité des ingrédients, souligne la même source.

Ce renouvellement d’identité s’inscrit dans une stratégie de long terme, visant à maintenir la position d’Albane en tant que marque de confiance et à répondre aux besoins des consommateurs, précise-t-on auprès de la marque.

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Dans ce cadre, un événement d’envergure sera organisé, comprenant notamment un match gala réunissant des jeunes talents venus de différentes régions du pays. L’objectif est de créer un moment de partage exceptionnel où ces jeunes auront la chance de découvrir le parcours de Brahim Diaz, d’échanger avec lui et de s’inspirer de son expérience.

Afin de participer à cet événement, un concours digital et sur le terrain sera organisé pour identifier les jeunes les plus talentueux et passionnés, leur offrant ainsi l’opportunité de rencontrer leur idole.

S’exprimant lors d’une conférence de presse organisée lundi 10 mars à Casablanca, Noël Château, Chief Consumer Officer d’Orange, a exprimé l’enthousiasme de l’entreprise pour le lancement du programme Orange Koora Talents, en partenariat avec Brahim Diaz. Il a souligné que le Maroc est une terre de football, avec une passion profonde pour ce sport qui fait partie de l’ADN du pays, comme en témoignent les performances des équipes nationales, l’engouement des fans et les investissements croissants dans l’infrastructure sportive, en particulier en vue de la Coupe du Monde 2030.

En tant qu’ambassadeur de l’initiative, Diaz souhaite transmettre des valeurs telles que le travail, la persévérance et la solidarité, tout en encourageant la jeunesse marocaine à croire en son potentiel et à se dépasser pour atteindre ses rêves.

L’initiative se distingue également par son engagement en faveur de l’inclusion et de l’égalité des chances. Ainsi, elle est ouverte à tous les jeunes de 13 à 14 ans, sans distinction de sexe ou de région, dans un souci de valoriser la diversité et de promouvoir des équipes mixtes.

Bien que le joueur n’ait pas pu être présent en raison de son emploi du temps chargé avec le Real Madrid et la Ligue des champions, il a enregistré un message pour l’événement. Il a exprimé son honneur d’être l’ambassadeur de ce programme et a assuré qu’il viendrait bientôt au Maroc pour rencontrer les jeunes talents.

A. Loudni

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Le président de Baleària, Adolfo Utor, a souligné que les liaisons avec le Royaume du Maroc représentent 18 % du total des clients qui voyagent avec la compagnie maritime : « Le pays sera renforcé par la future ligne Tanger Ville-Tarifa, avec laquelle nous mettrons en place le premier corridor vert entre l’Europe et l’Afrique ». M. Utor a également expliqué que le Maroc est de plus en plus important pour le transport de marchandises de Baleària, car « il représente 30 % du total et constitue un axe de développement majeur pour l’avenir ».

Baleària opère au Maroc depuis 2003, date à laquelle la compagnie maritime a commencé à relier Tanger à Algésiras. Plus tard, en 2017, le groupe a ouvert une ligne maritime dans la mer d’Alboran entre Nador et Almería. Au début de l’année 2023, Baleària a lancé un service quotidien entre Tanger Med et Motril. À noter que la compagnie maritime espagnole a remporté l’appel d’offres pour l’exploitation de la liaison entre Tanger Ville et Tarifa à partir de cette année. Pour cette route maritime, Baleària prévoit la création du premier corridor vert entre le Maroc et l’Espagne grâce à la construction des deux premiers fast ferries 100 % électriques et zéro émission, ainsi qu’à l’électrification des deux ports.

Au niveau mondial, Baleària a généré en 2024 un résultat brut d’exploitation (EBITDA) de 130 millions d’euros, soit une augmentation de 11 % par rapport à l’exercice précédent, grâce à une hausse de 6 % du chiffre d’affaires, qui s’est élevé à 691 millions d’euros : ‘‘Ces chiffres montrent la solidité et la solvabilité de notre modèle d’entreprise’’, explique le président de Baleària, Adolfo Utor, qui a également mis en avant « la crédibilité et la confiance acquises par l’entreprise » comme signe d’identité. Le résultat de l’exercice s’est élevé à 25 millions d’euros (soit une baisse de 36 %), en raison de « l’augmentation des amortissements et des frais financiers découlant de la hausse de la dette, de l’évolution des taux d’intérêt et du coût élevé des réglementations environnementales ».

Aujourd’hui, Baleària exploite 28 lignes dans cinq pays, grâce à une vaste flotte d’environ 40 navires, dont la plupart sont détenus par l’entreprise. Par secteur d’activité, le transport de passagers représente 61 % du chiffre d’affaires et le transport de marchandises 35 % ; tandis que, en termes de chiffre d’affaires par zone géographique, les lignes maritimes exploitées en Espagne continuent de représenter 75 %.

Il convient enfin de souligner qu’en 2024, la compagnie maritime espagnole Baleària a atteint une moyenne annuelle de 2 200 employés, issus de plus de 60 nationalités, la nationalité marocaine étant la troisième la plus représentée, représentant 9 % du total.

H.Z

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Une offre d’assistance adaptée aux véhicules électrifiés

Dans un contexte où la mobilité durable prend de l’ampleur, RMA ASSISTANCE franchit une nouvelle étape en proposant une assistance spécialement pensée pour les véhicules hybrides et électriques. Cette approche proactive garantit une prise en charge rapide, sécurisée et adaptée aux spécificités techniques des véhicules électrifiés, toutes marques confondues.

Un partenariat stratégique avec Renault pour une expertise de pointe

Conscient des enjeux techniques liés à cette transformation du parc automobile, RMA ASSISTANCE s’est associé au groupe Renault, pionnier de l’électrification automobile, afin d’offrir une formation spécialisée à ses prestataires. Cette initiative vise à garantir un niveau d’intervention optimal sur les véhicules hybrides et électriques, en respectant les protocoles de sécurité et d’entretien spécifiques.

Former pour mieux assister : un enjeu clé

Contrairement aux véhicules thermiques, les modèles électrifiés intègrent des systèmes haute tension nécessitant des interventions spécifiques pour éviter tout risque électrique ou mécanique. Grâce à la formation dispensée par Renault, les équipes de RMA ASSISTANCE ont pu :

✔️ Acquérir une expertise approfondie sur les technologies hybrides et électriques.

✔️ Se perfectionner à travers des mises en situation réelles.

✔️ Échanger avec des experts du secteur et intégrer les meilleures pratiques.

RMASSIST’ECO DRIVE : un engagement fort pour l’avenir de la mobilité

Avec RMASSIST’ECO DRIVE, RMA ASSISTANCE réaffirme son rôle de leader et d’acteur engagé dans l’accompagnement de la transition énergétique. Cette nouvelle offre s’inscrit dans une démarche d’innovation continue, avec une ambition claire : assurer aux automobilistes une assistance à la hauteur des évolutions du marché et des nouvelles exigences de la mobilité durable.

Cdp

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Créé en 2016, le « MIGA Gender Leadership Award »récompense des femmes dirigeantes de haut niveau pour leur engagement en faveur de l’égalité des genres au sein des entreprises.

À l’occasion de cet événement, Mme Loubna GHALEB a été récompensée pour son leadership et son impact dans le développement d’un environnement de travail inclusif et durable. Cette distinction est également le reflet des efforts collectifs et de la détermination des équipes du Groupe Tanger Med pour promouvoir le rôle des femmes dans le secteur portuaire et maritime.

Ingénieur de formation, Mme Ghaleb a démarré sa carrière à Tanger Med en 2005 après un bref passage au ministère de l’équipement. Elle a joué un rôle clé dans le développement du complexe portuaire, désormais premier port à conteneurs en Afrique et en Méditerranée.

Occupant successivement des postes stratégiques, de responsable des concessions et partenariats à directrice de la stratégie et du développement, elle est membre du Directoire du Groupe depuis 2020. Son expertise a été déterminante dans plusieurs projets tels que la mise en concession des terminaux portuaires avec des acteurs majeurs comme APM Terminals & Maersk, CMA CGM et Hapag Lloyd, ainsi que dans l’implantation de l’usine Renault à Tanger. Elle a également orchestré d’importantes opérations financières et stratégiques, notamment la prise de contrôle de Marsa Maroc.

LNT avec CdP

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Que ce soit pour le streaming en ultra-haute définition, le gaming en ligne sans interruption ou le télétravail en toute fluidité, le WiFi 7 redéfinit la manière dont les foyers marocains se connectent et interagissent avec le numérique, affirme la même source.

Cette technologie permet une navigation Max Débit, sans compromis, même dans les environnements les plus exigeants.

Avec cette innovation, inwi améliore l’expérience de connectivité en offrant une connexion jusqu’à 4 fois plus rapide, une couverture stable dans toute la maison, une latence réduite pour des usages intensifs, et une gestion optimale des appareils connectés simultanément.

Inwi souligne que cette avancée témoigne de son engagement continu à placer ses clients au cœur de ses priorités et confirme son expertise sur le marché de la fibre optique au Maroc, en proposant une connectivité aux standards internationaux. Et de préciser que son offre fibre, disponible à partir de 249 DH, permet d’accéder à l’Internet très haut débit pour les foyers marocains.

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Selon une communication financière du Groupe, cette performance est portée par la dynamique positive de la marge d’intérêts (+4,3%) et de la marge sur commissions (+4,1%), ainsi que par la bonne performance des activités de marché.

Le Groupe BCP a également enregistré une collecte supplémentaire de 17,3 MMDH au niveau des ressources consolidées, portant leur total à 389 MMDH, soit une croissance de 4,7%.

Les créances brutes sur la clientèle ont augmenté de 674 millions de dirhams (MDH), atteignant 320,1 MMDH, dans un contexte marqué par la baisse continue des crédits de trésorerie, en raison du recul des prix des matières premières à l’international.

Parallèlement, le Groupe a poursuivi la maîtrise de ses frais généraux, qui ont progressé de 3% pour atteindre 11,6 MMDH. Ainsi, le coefficient d’exploitation s’est allégé de 4,1 points pour s’établir à 45,1%, reflet d’une gestion optimisée des charges et de la croissance du PNB.

Le Résultat Net consolidé du Groupe a progressé de 20,2%, s’élevant à 5 MMDH, tandis que le Résultat Net Part du Groupe a augmenté de 19,3% pour atteindre 4,1 MMDH.

Ces résultats traduisent l’engagement de BCP envers sa clientèle au Maroc, où son portefeuille clients a atteint 6,7 millions, incluant 1,1 million de clients équipés en produits digitaux.

Les filiales du Groupe BCP, tant au Maroc qu’à l’international, ont continué à jouer un rôle important dans la génération du PNB consolidé. La contribution des filiales à l’international est restée stable à 25% du PNB consolidé, avec une amélioration de 2,1% de leur PNB agrégée, tandis que les filiales métiers au Maroc ont contribué à hauteur de 23%.

Par ailleurs, le coût du risque du Groupe a progressé de 15,6%, atteignant 6,2 MMDH à fin 2024.

En outre, le fonds de soutien, mécanisme propre au modèle coopératif de BCP, a été renforcé de 7%, atteignant près de 4 MMDH. La Provision pour Risques Généraux (PRG) s’établit quant à elle à 6 MMDH, renforçant ainsi la solidité financière du Groupe.

LNT avec CdP

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Selon une communication financière du Groupe, le chiffre d’affaires du quatrième trimestre 2024 s’est établi à 508 millions de dirhams (MDH), soit une augmentation de 11% par rapport aux 460 MDH enregistrés sur la même période de l’année précédente.

Dans le cadre de sa stratégie financière, Alliances a poursuivi ses efforts de désendettement. Son endettement net a ainsi été réduit de manière significative, passant de 640 MDH au 31 décembre 2023 à 94 MDH un an plus tard, soit une baisse de 85%.

Les préventes du Groupe ont connu une croissance soutenue, atteignant 1.700 unités au quatrième trimestre 2024, contre 1.050 unités au cours de la même période en 2023, soit une progression de 62%. Par ailleurs, le carnet de commandes d’Alliances s’établit à 7.400 unités, représentant une valeur sécurisée de 3,5 MMDH.

Concernant la production, le nombre total d’unités en cours de réalisation s’élevait à 5.561 au 31 décembre 2024, un niveau stable par rapport aux 5.582 unités enregistrées un an auparavant.

Par ailleurs, le Groupe indique que l’entrée en vigueur du nouveau Plan Comptable du Secteur Immobilier (PCSI), prévue pour le 1er janvier 2025, aura un impact sur la reconnaissance du chiffre d’affaires ainsi que sur l’évaluation des stocks et des provisions pour risques.

LNT avec CdP

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Déjà partenaire d’entreprises locales telles que le Groupe Marjane et Lesieur Cristal, Equancy entend, grâce à ce nouveau bureau, consolider ses relations à long terme avec ses clients actuels et attirer de nouvelles collaborations avec les grandes entreprises marocaines et les multinationales implantées dans la région ainsi qu’avec les organismes du secteur public en pleine transformation digitale, data et IA.

Pour piloter cette nouvelle antenne, Equancy a nommé Yassine Chahbi comme Directeur Associé et Daniel Snook, Directeur Data Technologies du bureau Français. Avec plus de 20 ans d’expérience dans le domaine de la data et de l’IA, Yassine Chahbi aura pour mission de développer l’activité d’Equancy au Maroc. Daniel Snook accompagnera, pour sa part, le déploiement de la nouvelle entité en assurant le partage des connaissances et des bonnes pratiques entre les équipes françaises et marocaines et l’accélération des projets à l’international.

Le bureau de Casablanca travaillera en étroite collaboration avec les équipes parisiennes d’Equancy, garantissant un partage fluide des connaissances, des formations et des technologies de pointe, affirme-t-on auprès d’Equancy.

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