Cette route aérienne inédite, première connexion directe (en 12 heures) entre l’Afrique et la côte Pacifique des États-Unis, constitue une avancée majeure dans le développement du réseau long-courrier de la compagnie nationale, précise RAM dans un communiqué.

Opérée à raison de trois fréquences par semaine, cette nouvelle ligne répond à une demande croissante de mobilité intercontinentale, à la veille de la Coupe du Monde de la FIFA 2026, fait savoir la même source.

Elle s’adresse aux diasporas marocaine et africaine, aux touristes américains ainsi qu’aux voyageurs d’affaires et aux supporters marocains, africains et européens souhaitant se rendre aux États-Unis pour cet événement planétaire.

« Cette ligne directe vers Los Angeles est bien plus qu’une nouvelle destination. C’est un jalon historique pour la compagnie et pour la connectivité aérienne du continent africain. Elle illustre notre ambition de rapprocher le Maroc des grands pôles économiques, touristiques et culturels mondiaux, tout en soutenant la dynamique d’ouverture internationale du Royaume », a déclaré le Président-Directeur Général de RAM, Hamid Addou, cité dans le communiqué.

Et de poursuivre : » En tant qu’acteur clé du tourisme national, Royal Air Maroc contribue ainsi à renforcer la visibilité de la destination Maroc sur le marché américain, l’un des plus importants émetteurs de voyageurs ».

Avec cette nouvelle liaison, Casablanca consolide son rôle de hub aérien majeur, reliant efficacement l’Afrique, l’Europe et l’Amérique. Ce lancement s’inscrit dans le cadre du plan stratégique de développement de RAM axé sur le renforcement de la flotte, l’ouverture de nouvelles lignes et la densification des dessertes internationales et domestiques.

Les vols seront ainsi opérés à bord des Boeing 787 Dreamliner, appareils modernes reconnus pour leur confort, leur performance et leur technologie de pointe. Les passagers bénéficieront d’un service à bord de qualité, d’un divertissement individuel varié et d’un excellent niveau de confort idéal pour les trajets long-courriers. Ainsi, la compagnie confirme son ancrage en Amérique du Nord, où elle dessert déjà New York, Washington, Miami, Montréal et Toronto. Cette nouvelle liaison s’accompagne également d’une augmentation des fréquences sur d’autres routes long-courrier stratégiques, telles que São Paulo, Miami, Washington et Dubaï.

Avec cette ouverture, Royal Air Maroc réaffirme son rôle de compagnie de référence en Afrique et consolide la position du Maroc comme carrefour aérien mondial, en perspective notamment de la Coupe du Monde de la FIFA 2030, coorganisée par le Maroc, l’Espagne et le Portugal. Le programme des vols prévoit des départs de Casablanca les mardis, vendredis et dimanches, avec un décollage à 04h00 et une arrivée à Los Angeles à 08h20. Depuis Los Angeles, les vols décollent à 10h20 pour une arrivée à Casablanca à 05h25 le lendemain.

Les billets seront disponibles à la vente à partir du jeudi 04 décembre 2025, sur le site internet de Royal Air Maroc, via les centres d’appel et les agences commerciales de la Compagnie, ainsi que dans l’ensemble du réseau des agences de voyages partenaires, conclut le communiqué.

LNT avec Map

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Il s’agit là d’un premier partenaire certifié, marquant ainsi une étape majeure dans le développement des activités d’ALUPLAC et dans la consolidation de sa présence sur le marché marocain. Et à travers le lancement de la gamme ORIENTA, ce partenariat dans son ensemble vient illustrer ce savoir-faire et s’inscrira prochainement dans un projet d’industrialisation locale au Maroc.

Pour les signataires, cette initiative s’inscrit dans la vision portée par M. Amine Nihrane, entrepreneur marocain établi en Belgique, qui souhaite investir dans son pays d’origine et contribuer au développement industriel, à la création d’emplois qualifiés et à l’introduction de solutions innovantes dans le secteur du bâtiment.

Concrètement, TALORA introduit au Maroc la gamme ORIENTA, une solution brevetée, innovante et unique sur le marché national. Fabriqués en Italie en aluminium extrudé pur à 99 %, les volets ORIENTA offrent des fonctionnalités inédites grâce à leurs lames orientables, tout en répondant aux standards européens de performance et d’efficacité énergétique, explique-t-on auprès des signataires.

Et de poursuivre que TALORA déploiera progressivement un réseau de partenaires certifiés dans toutes les grandes régions du Maroc afin de garantir une qualité d’installation homogène et conforme aux standards internationaux. Cette stratégie accompagne les orientations nationales en matière de construction durable et d’amélioration de la performance énergétique du bâtiment. D’autres partenaires rejoindront prochainement cette dynamique.

Dans une déclaration, M. Amine Nihrane, DG de TALORA a dit : ‘‘ Nous sommes fiers de concrétiser ce premier partenariat avec M. Ali Makhoud, Directeur Général d’ALUPLAC. En tant que Marocain de la diaspora, investir au Maroc représente un engagement fort. Ce partenariat constitue la première étape d’un projet plus large visant l’innovation, la création d’emplois et le renforcement du secteur à travers des solutions modernes et durables ’’.

Et de préciser : ‘‘Nos équipes sont pleinement engagées pour garantir un déploiement efficace et durable de cette collaboration’’.

H.Z

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Le volume des crédits à la clientèle a atteint 58,07 milliards de dirhams (MDH), en hausse de 5,2 % sur un an. Cette performance est portée principalement par une forte dynamique du marché des entreprises, où les crédits ont progressé de 8 %, notamment au profit des PME. Les crédits d’équipement ont enregistré une croissance significative de 21,2 %, le crédit-bail s’est accru de 44,4 %, tandis que les prêts aux promoteurs immobiliers ont augmenté de 18,4 %. Sur le segment des particuliers, la banque a renforcé son soutien aux ménages, avec une progression de 9,6 % des crédits à la consommation et de 2,5 % des crédits à l’habitat.

Les ressources consolidées ont atteint 58,47 MMDH, en hausse de 6,8 % sur douze mois. Cette évolution provient essentiellement de la dynamique des dépôts à vue, dont les encours ont augmenté de 10,7 % pour s’établir à 42,14 MMDH. Les dépôts d’épargne se sont stabilisés à 10,08 MMDH, tandis que les ressources à terme se sont chiffrées à 4,80 MMDH.

Le produit net bancaire (PNB) consolidé a progressé de 9,8 % pour atteindre 2,68 MMDH. La marge nette d’intérêt a augmenté de 10,9 % à 1,99 MMDH, grâce à la hausse des encours de crédit et au renforcement de la collecte. La marge sur commissions s’est établie à 379 MDH (+8 %), tirée par les performances des filiales spécialisées, notamment en leasing, factoring, marché des capitaux et commerce international. Le résultat des opérations de marché s’est inscrit en hausse de 6,3 % pour atteindre 385 MDH.

Cette dynamique s’est traduite par une amélioration notable du résultat brut d’exploitation, en hausse de 13,1 % à 1,47 MMDH, portée par la progression du PNB et la maîtrise continue des charges générales d’exploitation. Le coefficient d’exploitation s’est amélioré de 162 points de base pour s’établir à 45,2 %, selon les données figurant dans le communiqué.

La banque a également renforcé la qualité de son portefeuille grâce à une baisse marquée du coût du risque, qui s’est établi à 228 MDH, en recul de 21 %. Les créances en souffrance ont diminué de 5,9 % pour se situer à 4,31 MMDH, contribuant à l’amélioration du taux de créances douteuses et litigieuses à 7,4 %, contre 8,3 % un an plus tôt. Le taux de couverture des créances douteuses a progressé pour atteindre 88,7 %, confirmant une politique de provisionnement prudente.

Au total, le résultat net consolidé part du groupe s’est établi à 690 MDH, en hausse de 19,9 % par rapport à la même période de 2024, traduisant la capacité de Crédit du Maroc à renforcer durablement sa rentabilité dans un environnement économique en transformation. Le ratio de solvabilité s’est inscrit à 13,86 %, supérieur au minimum réglementaire, selon le tableau présenté dans le document.

Enfin, les investissements engagés par la banque ont atteint 200 MDH sur l’année, principalement orientés vers la transformation digitale et technologique

LNT

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Cette opération permet au management d’Intelcia de contrôler désormais 100 % des parts, ouvrant « un nouveau cycle de croissance ».

Ce changement d’actionnariat intervient après une décennie de transformation qui a fait basculer Intelcia d’un acteur régional à un groupe multiservices mondial de 40 000 collaborateurs, présent dans 19 pays et figurant parmi les leaders internationaux de l’expérience client. En dix ans, le groupe a « multiplié son chiffre d’affaires par dix au global », consolidé sa place dans le Top 15 mondial, le Top 5 en Espagne et le Top 3 en France et au Portugal, tout en renforçant sa présence dans les marchés anglophones. Intelcia a également réussi sa diversification avec le lancement d’Intelcia IT Solutions, qui rassemble aujourd’hui près de 1000 ingénieurs.

Karim Bernoussi, CEO et cofondateur, souligne : « Nous tenons à exprimer notre gratitude à Altice pour l’accompagnement constant durant ces années… Aujourd’hui, nous abordons cette nouvelle étape avec confiance, enthousiasme et détermination pour poursuivre notre chemin vers le top 10 mondial».

Le groupe réaffirme ainsi son ambition d’intégrer le top 10 mondial d’ici 2030, en misant sur une accélération de la croissance dans l’expérience client, notamment via une stratégie de croissance externe ciblée en Europe et en Amérique latine.

L’innovation technologique constitue également un axe central pour le groupe, avec des investissements soutenus dans l’intelligence artificielle. Comme l’explique Youssef El Aoufir, Deputy CEO : « À travers Evoluciona, notre hub d’innovation dédié à l’expérience client, nous accélérons le déploiement de l’Intelligence Artificielle dans toutes nos activités… En 2025, nos solutions ont été intégrées dans plus de 180 projets. »

Parallèlement, le développement d’Intelcia IT Solutions s’intensifie pour faire du groupe un acteur de référence de la transformation digitale, couvrant infrastructure, applications, cybersécurité, données et cloud.

La finalisation de l’opération est prévue au premier trimestre 2026, sous réserve des autorisations réglementaires. Elle doit permettre à Intelcia d’amplifier sa dynamique : croissance accélérée, diversification renforcée et consolidation de sa position de leader marocain à portée mondiale, souligne le groupe.

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Le déploiement se fait en partenariat avec des véhicules de transport agréés, avec une extension prévue à d’autres villes, souligne l’entreprise.

Cette arrivée intervient alors que le Maroc renforce ses infrastructures de mobilité et se prépare à accueillir plusieurs événements internationaux. Uber souhaite s’inscrire dans cette dynamique en apportant son expertise technologique, déjà éprouvée sur de grands rendez-vous mondiaux comme la Coupe du Monde 2022 au Qatar, souligne la même source.

Les utilisateurs peuvent choisir entre UberX et UberXL, avec plusieurs fonctionnalités destinées à faciliter les déplacements : trajets multi-destinations, réservations programmées, paiement dématérialisé et assistance disponible 24h/24 et 7j/7.

L’entreprise affirme vouloir contribuer durablement à l’écosystème marocain de mobilité, en complément de l’offre existante. À l’occasion du lancement, un code promotionnel (GOMOROCCO) offre une réduction sur trois courses jusqu’au 15 décembre 2025.

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Selon Younes El Aouad, directeur général de Tractafric Motors Maroc, le 7X vient compléter une gamme qui a rapidement gagné en visibilité depuis l’arrivée de Zeekr en avril dernier. La marque occupe désormais la 5e place du marché national du véhicule électrique et se classe première des marques premium 100% électriques.

Hicham Hasnaoui, directeur véhicules particuliers, a souligné que le segment visé représente 38% du marché marocain, faisant du 7X un modèle clé pour la croissance de Zeekr.

À l’international, le véhicule affiche déjà une forte dynamique, avec plus de 61.000 unités livrées en 2025 et une montée en puissance sur le marché européen.

Présenté comme un SUV familial premium, le 7X mise sur un design futuriste, une qualité perçue haut de gamme et des technologies embarquées de dernière génération. Le modèle intègre une motorisation 100% électrique, un intérieur épuré conforme à la « Human Design Philosophy », et des équipements avancés, dont des systèmes de sécurité renforcés et une batterie certifiée sans risque de combustion spontanée.

Côté prix, le 7X est proposé à partir de 575 000 MAD pour la version Core RWD, 625 000 MAD pour la version Long Range RWD, et 675 000 MAD pour la version Privilege AWD.

AL

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Fort de plus de vingt ans d’expérience au sein du groupe BNP Paribas, en France et à l’international, Sébastien Rollet a occupé plusieurs fonctions de direction dans des environnements de transformation bancaire. Il a notamment exercé en tant que Chief Operating Officer pour les opérations à distance de BNP Paribas Bank Polska, où il a piloté l’évolution du modèle opératoire, contribué à des gains d’efficacité opérationnelle et participé à la mise en œuvre d’une stratégie omnicanale récompensée.

Il a également dirigé des programmes de transformation au sein d’Ukrsibbank, filiale ukrainienne de BNP Paribas, ainsi que des projets stratégiques pour BNP Paribas en Égypte. Ces expériences l’ont amené à intervenir sur des chantiers structurants liés à l’organisation, au digital et à la conduite du changement.

Avant cette nomination, Sébastien Rollet était déjà engagé dans la transformation de la BMCI, en charge des programmes d’efficacité opérationnelle ainsi que des stratégies digitale et data. Dans ses nouvelles fonctions, il supervisera désormais l’ensemble des activités opérationnelles, avec pour objectif d’assurer une gestion intégrée entre transformation et fonctionnement quotidien des fonctions clés de la Banque.

LNT

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Placé sous le thème « Beyond Digital, Resilience Empowers AI-Infused Finance », l’événement a réuni dirigeants et experts autour des enjeux de la transformation numérique.

Dans son allocution d’ouverture, David Li, CEO de Huawei Maroc, a souligné que l’IA ne peut produire de valeur que si trois fondations sont réunies : une ingénierie rigoureuse garantissant la fiabilité des modèles, des infrastructures capables d’absorber des volumes massifs de données, et des compétences humaines capables d’exploiter ces technologies. Il a cité l’exemple de banques chinoises où les agents virtuels gèrent désormais des millions d’interactions quotidiennes, permettant aux clients d’effectuer des opérations courantes par simple commande vocale.

Le sommet a également présenté des usages concrets de l’IA dans les services financiers. Alvin Feng, en charge du marketing et des solutions globales chez Huawei Digital Finance, a détaillé les avancées du nouveau centre de contact intelligent AICC. Disponible 24 heures sur 24, ce système identifie les intentions des clients, génère des réponses, assiste les conseillers et accélère considérablement le traitement des requêtes. Alvin Feng a également présenté un cas d’usage mené avec la plus grande banque islamique mondiale, en Arabie Saoudite.

Grâce à un système combinant OCR et LLM, l’analyse des demandes de cartes de crédit est passée de 10 minutes à 20 secondes, avec 95 % des dossiers traités automatiquement, réduisant considérablement les coûts et les risques d’erreurs liés à l’expertise humaine.

L’expert rappelle que la transformation digitale durable repose sur cinq piliers : disponibilité permanente, centrage sur les données, pertinence, plateformes robustes et intégration dans un écosystème.

Il a cité les exemples de China Merchants Bank et de KPZ Bank, deux institutions ayant adopté des stratégies différentes mais efficaces pour moderniser leurs infrastructures, migrer vers le cloud et construire de nouveaux “cores digitaux” permettant une innovation rapide.

Enfin, l’expert a insisté sur l’importance de la résilience et de la sécurité. Huawei défend un modèle « 4.0 » fondé sur le « zero trust », la haute disponibilité et des datacenters capables de traiter l’information en quelques minutes pour accompagner une finance où l’IA s’impose désormais comme un standard.

La Chine, laboratoire de la finance digitale

Lors  de son intervention consacrée aux pratiques chinoises en matière de transformation digitale financière, Frank Lu, expert chez Huawei Digital Finance BU, a décrit un secteur bancaire chinois entièrement remodelé par l’innovation. Un contraste qui, selon lui, peut éclairer l’évolution en cours au Maroc.

Il rappelle d’abord l’essor fulgurant des usages digitaux en Chine : généralisation du live-streaming commercial, avatars numériques utilisés par les banques, paiements automatisés via monnaie digitale de banque centrale (CBDC) ou encore intégration croissante de services financiers dans les plateformes de e-commerce, de jeux ou de mobilité.

Le basculement vers le « tout-digital » a été accéléré par l’adoption massive du paiement mobile : aujourd’hui, la quasi-totalité des transactions quotidiennes s’effectue via QR code, notamment via WeChat Pay, explique-t-il. Ce modèle a poussé les banques traditionnelles à repenser leurs services, passant d’une logique de guichet à des plateformes digitales offrant contenus financiers, personnalisation, conseil automatisé et parcours simplifiés.

Frank Lu souligne également l’importance stratégique de l’expérience utilisateur, devenue un critère majeur de compétitivité. « Les banques chinoises mesurent en continu les retours clients et adaptent leurs services en temps réel ».

Huawei accompagne plusieurs grandes banques chinoises dans ce virage, notamment via l’intelligence artificielle, la migration vers des infrastructures plus agiles et l’utilisation de technologies open-source. Selon l’expert, ces approches ont permis de réduire les coûts, d’améliorer la performance opérationnelle et d’offrir une continuité de service quasi totale.

Dans une seconde intervention, Ali Laghrissi, Storage CTO de Huawei Morocco, a insisté sur un enjeu devenu critique : la résilience des systèmes financiers. Face aux incidents majeurs observés dans le monde, il plaide pour des infrastructures IT plus robustes, capables d’assurer une continuité sans interruption, notamment via des technologies de stockage tolérant la défaillance de plusieurs composants. L’objectif selon lui : garantir la disponibilité des services bancaires même en cas de cyberattaque ou panne majeure.

Les deux experts concluent avec la la même idée celle que la transformation de la finance passe autant par l’innovation que par la fiabilité technologique, et les expériences asiatiques offrent un cap utile pour les systèmes bancaires en transition, comme ceux du Maroc.

Asmaa Loudni 

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La rencontre s’ouvrira par une séance plénière en présence de Younes Sekkouri, ministre de l’Inclusion économique, de la Petite Entreprise, de l’Emploi et des Compétences, de Claudia Gaudiau-Francisco, présidente de la CFCIM, ainsi que de Tarik El Malki, directeur général du Groupe ISCAE. Plusieurs dirigeants et experts engagés dans les domaines de la formation, de l’entrepreneuriat et du développement des compétences prendront également part aux discussions. La matinée sera marquée par la remise des Trophées “Startup Avenue”, avant l’ouverture officielle de l’espace d’exposition.

Cette édition réunira plus de 60 entreprises, couvrant une large diversité de secteurs. Elles viendront à la rencontre des étudiants de l’ISCAE, mais aussi de ceux des grandes écoles de commerce, de gestion et d’ingénierie, afin de présenter les métiers émergents, les compétences recherchées et les besoins concrets du marché du travail.

Durant deux jours, trois ateliers thématiques permettront d’approfondir les enjeux prioritaires des directions RH :
– Boîte à outils RH 2030 : anticipation des besoins, formation continue et fidélisation des talents ;
– Marque employeur et attractivité : stratégies pour bâtir une marque employeur solide au Maroc ;
– Innovations technologiques dans les RH : opportunités offertes par les nouvelles technologies et limites à prendre en compte.

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A l’occasion de son lancement au Maroc, un test-drive Casa-Rabat nous a été proposé. En ville comme sur autoroute, la voiture ne passe pas inaperçue. Son design avec des phares à la signature lumineuse expressive, feux arrière verticaux, ailes sculptées, couleurs pop exclusives… chaque détail rend hommage à la R5 originelle tout en adoptant les codes du XXIe siècle. Au volant et à l’intérieur, ce fut un véritable voyage dans le temps. Un pur moment de nostalgie pour ceux qui gardent toujours de bons souvenirs à bord de la R5.

Première Renault développée sur la nouvelle plateforme AmpR Small, entièrement dédiée aux véhicules électriques du segment B, Renault 5 E-Tech électrique R5 repose sur la stratégie de transformation du groupe, la Renaulution, et incarne le renouveau industriel et électrique de la marque.

Développée en seulement trois ans, la plateforme AmpR Small garantit également les technologies les plus récentes, notamment le chargeur AC 11 kW bidirectionnel compatible V2L (vehicle-to-load).

Au Maroc, Renault 5 E-Tech électrique est équipée d’un moteur 122 ch (90 kW) compact et sans terres rares, fidèle à la technologie à rotor bobiné de Renault. La batterie 40 kWh offre une autonomie allant jusqu’à 312 km WLTP, parfaitement adaptée aux usages urbains et périurbains.

Proposé en finition Equilibre, Renault 5 E-Tech électrique sera disponible dans l’ensemble du réseau Renault Maroc à partir du 03 décembre prochain.

Pour son lancement au Maroc, une borne de recharge sera offerte, ainsi qu’un financement proposé par Mobilize Financial Services, incluant un taux à 0%, zéro frais de dossier et un apport réduit. Renault 5 E-Tech électrique sera disponible dans quatre teintes : Jaune Pop, Vert Pop, Blanc Nacré et Noir Étoilé.

La R5 E-Tech Équilibre, 40 kWh-122 ch, d’une autonomie de 312 km WLTP est commercialisé au prix de 290 000 Dhs TTC. Au 2ème trimestre 2026, la gamme s’élargira avec l’arrivée de la version Techno connectée.

H.Z

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« Ce nouvel espace illustre la volonté de la marque de se rapprocher davantage de ses clients en s’implantant au cœur d’un quartier à la fois moderne et résidentiel » explique-t-on auprès ed l’enseigne.

Présente au Maroc depuis 2001, KFC y compte désormais 47 établissements et emploie plus de 850 collaborateurs.

L’entreprise, classée numéro 2 en part de marché, s’appuie sur la stratégie lancée par sa nouvelle équipe managériale marocaine. Cette démarche vise à accompagner le développement de la marque dans le pays tout en contribuant à l’économie locale.

Le nouvel établissement propose plusieurs modes de commande Drive-Thru, restauration sur place et livraison pour s’adapter aux besoins des clients. Cette ouverture s’inscrit dans le plan d’expansion de KFC Maroc, qui prévoit l’inauguration de cinq nouveaux restaurants d’ici la fin de l’année, consolidant l’ancrage de l’enseigne dans le paysage urbain marocain, précise le management.

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Selon les responsables du CTPC, la labellisation représente une reconnaissance de son expertise et de son rôle en tant que référence nationale dans le secteur du plastique. Elle marque également une étape importante dans la consolidation des outils de contrôle et de certification appliqués aux produits destinés au contact alimentaire. Le centre avait déjà obtenu plusieurs agréments institutionnels au cours des dernières années, notamment celui du ministère de l’Industrie en 2009 pour le contrôle des produits industriels, puis celui de l’ONSSA en 2018 en tant que premier laboratoire chargé du contrôle des emballages alimentaires. Son laboratoire est en outre accrédité ISO/IEC 17025 par SEMAC et COFRAC, attestant de la fiabilité et de la conformité internationale de ses essais.

Lors de cette rencontre, le directeur général d’IMANOR, Abderrahim Taïbi, a officialisé la délégation du label « Usage Alimentaire » au CTPC, qui a démontré sa conformité aux exigences techniques en vigueur, notamment en matière d’absence de substances nocives dans les produits plastiques destinés à l’alimentation. Il a rappelé que l’institut, en tant qu’organisme national de normalisation et de certification, œuvre à promouvoir la conformité comme un outil essentiel pour la protection des consommateurs et la compétitivité des produits marocains. Il a souligné que les emballages alimentaires constituent un maillon critique souvent ignoré par les consommateurs, qui se concentrent davantage sur le contenu que sur le contenant, alors que les exigences liées aux matériaux d’emballage sont particulièrement strictes dans les chaînes de valeur mondiales.

De son côté, le directeur du CTPC, Nasserdine Al Anssari, a indiqué que la labellisation constitue « une locomotive pour le développement du plastique alimentaire au Maroc ». Il a mis en avant la confiance accordée aux compétences techniques du centre et son engagement en faveur de la qualité et de la sécurité alimentaire. L’obtention du label a nécessité près d’une année de travail, fondée sur un processus intégrant l’étude des normes applicables, l’harmonisation des procédures avec celles d’IMANOR, le renforcement des capacités techniques et la mise en place d’un système de gestion conforme aux standards internationaux.

LNT

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Cette rencontre a été l’occasion de souligner l’engagement du Maroc dans le développement du sport en entreprise et de renforcer ses liens avec les acteurs internationaux du secteur. Parmi les temps forts de l’Assemblée, un hommage a été rendu à Velizar Deric, président de la fédération serbe récemment décédé, pour son engagement envers le sport en entreprise dans le monde. Les participants ont également fait le point sur la préparation des World Company Sport Games 2026 au Danemark et sur l’organisation des European Company Winter Sport Games 2026 à Jaca, tandis que Málaga a été désignée ville hôte des Jeux mondiaux du sport d’entreprise 2030.

Un projet innovant, Move At Work, cofinancé par Erasmus+ Sport et porté par la European Federation for Company Sport, a été présenté pour promouvoir l’activité physique en milieu professionnel.

À l’issue de l’Assemblée, un accord de partenariat a été signé entre M. El Mechrafi et Didier Besseyre, président de la WFCS, marquant une nouvelle étape dans le renforcement de la coopération et le développement du sport en entreprise au Maroc.

Créée en 2019, l’APSEM rassemble des acteurs majeurs du secteur privé marocain et s’engage à favoriser le bien-être des salariés, l’inclusion et la performance collective grâce au sport. Cette participation à l’Assemblée générale de la WFCS illustre la volonté du Maroc de s’imposer comme un acteur clé du sport en entreprise à l’échelle internationale.

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La désignation de Jameel Motors comme distributeur officiel résulte d’un processus compétitif impliquant plusieurs entreprises locales et internationales. Cet accord ouvre une perspective de croissance importante pour les deux parties, dans un contexte où le marché automobile marocain connaît une dynamique soutenue, avec une progression de plus de 35 % des ventes de véhicules neufs à fin septembre 2025.

À partir du printemps 2026, Jameel Motors entamera la distribution de l’ensemble de la gamme de véhicules utilitaires légers de JMC. Celle-ci comprend des pickups, des fourgons de transport, des camions légers ainsi que des vans destinés aux passagers. L’introduction de cette offre permettra au distributeur d’élargir son positionnement sur le segment utilitaire, en s’appuyant sur plus de trente ans d’expérience locale et sur une connaissance approfondie des besoins du marché national.

Selon Hasan Al-Alami, Directeur Général Senior pour le Moyen-Orient et l’Afrique chez Jameel Motors, cet accord illustre la volonté du groupe d’élargir les options de mobilité proposées au Maroc. Il souligne que l’association de l’expertise historique de JMC dans les utilitaires légers et de la présence consolidée de Jameel Motors dans le Royaume devrait contribuer à renforcer la dynamique du secteur automobile national.

Du côté de JMC, cette entrée sur le marché marocain s’inscrit dans une stratégie d’expansion internationale. Hu Yong, Directeur Général MEA du constructeur chinois, estime que le Maroc constitue une étape importante pour la marque, compte tenu de la croissance de son marché et de sa position stratégique en Afrique du Nord. Il met en avant la volonté de JMC d’introduire des véhicules fiables et performants, adaptés aux besoins des entreprises et des professionnels marocains.

Fondée en 1947, Jiangling Motors Corporation figure parmi les principaux fabricants chinois de véhicules utilitaires légers. Présente dans plus de 110 pays, elle bénéficie d’un réseau d’importateurs étendu et d’un historique de partenariats industriels avec des groupes internationaux tels qu’Isuzu et Ford. En 2024, JMC a enregistré une hausse notable de 33,4 % de ses ventes de pickups, confirmant la solidité de sa trajectoire de croissance.

Jameel Motors, pour sa part, représente plusieurs marques automobiles mondiales dans plus de dix pays répartis sur quatre continents. Ce nouveau partenariat au Maroc s’inscrit dans la continuité de sa stratégie d’expansion et de son engagement à soutenir l’évolution des solutions de mobilité.

LNT

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Le Seaglider développé par REGENT combine la vitesse d’un avion et la maniabilité d’un bateau, tout en garantissant un transport sans émissions. À partir de janvier 2026, DHL analysera les possibilités de déploiement de cette technologie afin de renforcer ses capacités régionales et d’accompagner la transition vers des solutions logistiques décarbonées.

REGENT prévoit également de lancer la fabrication de ses Seagliders aux Émirats arabes unis d’ici la fin de la décennie, grâce à un partenariat avec le Strategic Development Fund, en complément d’un site de production prévu à Rhode Island dès 2026. Cette implantation permettra de développer des services après-vente locaux et de soutenir la chaîne industrielle de la région.

Cette initiative s’inscrit dans le contexte d’une croissance soutenue du secteur logistique au Moyen-Orient et illustre la volonté de DHL d’investir dans des technologies innovantes pour répondre aux besoins d’un marché en pleine expansion.

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La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence du wali de la région, du président du Conseil régional, du président du Conseil provincial, du président de la commune de Dakhla, du président de la Chambre de Commerce, ainsi que du président-directeur général du groupe Attijariwafa bank. Plusieurs institutions partenaires ont également participé, notamment l’ANAPEC, l’OFPPT, l’ODCO, le CRI et l’AMCI.

Créé en 2016, le dispositif Dar Al Moukawil constitue un réseau d’appui dédié aux entrepreneurs. Il compte aujourd’hui 25 centres répartis dans plusieurs villes du Royaume. Depuis son lancement, il a accompagné plus de 900 000 porteurs de projets et 7 000 coopératives. Sa plateforme numérique a enregistré 6,2 millions de visiteurs et 34 millions de vues sur ses supports en ligne.

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L’attribution de cette distinction repose sur les résultats de la HR Best Practices Survey, un référentiel qui met l’accent sur la preuve, la comparabilité internationale et l’amélioration continue. La BMCI a mis en place des parcours d’intégration structurés, des programmes de formation continue, des dispositifs de mobilité interne et des initiatives en faveur de la flexibilité, de la diversité et de l’inclusion.

Cette année, la BMCI figure parmi les 17 organisations certifiées au Maroc, soulignant les efforts de ses équipes RH et sa politique en matière de développement professionnel et de qualité de vie au travail.

LNT avec CdP

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Ce projet porte sur la construction de dix ateliers industriels modulaires et flexibles, d’une superficie bâtie totale de 6 325 m² sur un terrain de 9 690 m². Chaque atelier proposera une surface modulable comprise entre 300 et 650 m², permettant à des petites et moyennes entreprises industrielles de s’installer rapidement et de démarrer leur production, tout en réduisant leurs coûts initiaux d’investissement. Cette configuration vise à faciliter l’accès au foncier industriel aménagé et à offrir un cadre opérationnel aux entreprises dès les premières phases de leur développement.

Une partie des ateliers sera destinée aux entreprises nouvellement créées ou en phase de lancement. Celles-ci pourront y recruter leur personnel, tester leurs équipements et préparer, le cas échéant, la construction de leurs unités industrielles permanentes. Ce dispositif temporaire, inspiré d’un modèle revolving, a pour objectif de favoriser une utilisation optimisée des espaces disponibles et de soutenir la mise en place progressive d’un écosystème industriel actif au sein de la zone.

Le projet est conçu pour contribuer à la création d’environ 1 200 emplois et s’inscrit dans le prolongement du Plan d’Accélération Industrielle et de la Stratégie Nationale d’Investissement, qui visent la mobilisation de 550 milliards de dirhams d’investissements privés et la création de 500 000 emplois à l’horizon 2026. Il accompagne également la stratégie nationale de valorisation des opportunités liées aux relocalisations industrielles et à la réorganisation des chaînes de valeur mondiales.

La cérémonie de signature a réuni des représentants du ministère de l’Industrie et du Commerce, de l’Ambassade d’Allemagne à Rabat, de la KfW Banque de Développement, de la Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG), de MEDZ, ainsi que plusieurs acteurs économiques et institutions publiques. Cette rencontre a permis de rappeler le rôle de l’AFZ et des zones d’accélération industrielle dans le dispositif national d’appui à l’investissement productif.

La Facilité Investissements pour l’Emploi (IFE) est un mécanisme de financement mis en place par la KfW Banque de Développement dans le cadre de l’initiative « Invest for Jobs ». Elle a pour mission de soutenir, dans huit pays partenaires dont le Maroc, des projets privés ou public-privé visant à lever des obstacles à l’investissement et à favoriser la création d’emplois durables.

MEDZ, filiale de CDG Développement, est spécialisée dans la conception, l’aménagement et la gestion de zones d’activités économiques. Depuis 2002, elle accompagne la mise en œuvre de plusieurs stratégies sectorielles nationales, notamment dans l’industrie, l’agro-industrie, le numérique et les énergies renouvelables, en proposant des infrastructures répondant aux standards requis par les investisseurs.

LNT

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Signée par le président de la CGEM, Chakib Alj, et le président de la CNDP, Omar seghrouchni, cette convention de partenariat a pour objectif d’accompagner les entreprises marocaines dans leur mise en conformité avec la loi 09-08, indique un communiqué conjoint.

A travers cette convention, la CGEM adhère au programme « DATA-TIKA » lancé par la CNDP, qui a pour objectif de renforcer les capacités des entreprises en matière de gouvernance et de sécurisation des données, précise le communiqué.

Ce partenariat prévoit notamment la mise en place d’un corridor CGEM–CNDP, un dispositif d’accompagnement régional dédié aux entreprises membres de la CGEM pour faciliter leur conformité réglementaire, ainsi que l’organisation d’ateliers de sensibilisation sur les usages responsables des données à caractère personnel, ajoute la même source.

Ce partenariat s’inscrit dans la continuité des efforts de la CGEM pour favoriser une transformation numérique responsable, éthique et sécurisée, en phase avec les meilleures pratiques internationales et les priorités nationales en matière de souveraineté digitale, conclut le communiqué.

LNT avec Map

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Spécialisée dans l’intelligence artificielle appliquée à la mobilité urbaine et à l’analyse des flux commerciaux, Mobilitics conçoit des solutions développées au Maroc par des ingénieurs marocains, destinées à répondre aux besoins spécifiques du pays et de ses territoires.

«Mobilitics illustre parfaitement l’innovation marocaine dans des secteurs stratégiques comme l’intelligence artificielle et les villes intelligentes. Ce label récompense non seulement une technologie, mais une vision: celle d’un Maroc capable de concevoir, inventer et exporter ses solutions. Nous sommes fiers d’accompagner ces champions nationaux», souligne Adil Lamnini, Président de l’APMM.

Pour ce dernier, cette distinction traduit la montée en puissance du Royaume en tant que hub technologique régional, maîtrisant une IA locale et éthique, alignée sur les priorités nationales : sécurité, efficacité urbaine, attractivité économique et durabilité.

De son côté, Yassir Chakib, co-fondateur de Mobilitics, a affirmé : « Notre ambition est claire : mettre la technologie et la donnée au service du progrès collectif et de l’attractivité du Maroc. L’IA ne doit pas être importée, mais pensée et développée localement, par des talents marocains ».

Grâce à ses technologies propriétaires Smart Measure et Smart Vision, Mobilitics permet d’analyser et d’anticiper en temps réel les flux urbains, qu’ils concernent les piétons, les cyclistes, les véhicules ou les espaces commerciaux. Ces solutions visent à fluidifier la mobilité, renforcer la sécurité et améliorer l’expérience citoyenne, tout en optimisant les investissements publics et privés.

L’obtention de ce label s’inscrit dans un contexte où le Maroc intensifie ses efforts de transformation digitale et urbaine, à l’approche d’échéances internationales telles que la CAN 2025 et la Coupe du Monde 2030.

AL

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Produit à Palencia (Espagne), il est disponible dans tout le réseau Renault Maroc depuis le 15 octobre 2025, proposé en finitions Techno et Esprit Alpine. La finition Techno mise sur l’élégance et la sécurité, tandis que la finition Esprit Alpine met en avant le design sportif exclusif, avec jantes 20 pouces, sellerie Alcantara et ambiance intérieure Alpine (finition Techno full hybrid E-Tech 200ch, à partir de 342 000 MAD TTC ; finition esprit Alpine full hybrid E-Tech 200 ch, à partir de 376 000 MAD TTC).

Sous le capot, un moteur essence 1,2 L turbocompressé associé à deux moteurs électriques forme un ensemble puissant et efficient. Avec seulement 4,7 l/100 km de consommation mixte et 106 g de CO2/km, Renault Austral se place parmi les SUV les plus sobres de sa catégorie. La boîte automatique multimode choisit le mode de conduite le plus adapté 100 % électrique, hybride ou thermique pour garantir un agrément constant. Résultat : un 0 à 100 km/h en 8,4 s et des reprises franches sans nuire au confort.

Concernant le plaisir de conduite, les amortisseurs revus, la nouvelle monte pneumatique et la boîte automatique optimisée assurent une conduite plus fluide, plus réactive et plus précise : « La motorisation E-Tech full hybrid 200 ch offre un excellent équilibre entre performance et sobriété, avec des reprises dynamiques et des passages de rapports plus fluides », dit-on auprès de Renault Maroc, ajoutant que « le confort acoustique progresse nettement grâce à une meilleure isolation et une réduction des vibrations. Sur la route, le silence à bord et la douceur de conduite signent l’expertise Renault en matière d’hybride ».

H.Z

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‘‘Ce projet n’est pas une simple évolution technologique, c’est une transformation de notre manière d’être au service de nos clients’’, a déclaré le DG d’Auto Hall M. Achraf Hajjaji, en notant qu’en ‘‘unifiant notre écosystème digital, nous faisons d’Auto Hall une entreprise plus connectée, plus agile et toujours fidèle à ses valeurs: la confiance, la transparence et l’innovation’’.

Le nouvel écosystème Auto Hall place le client au centre de chaque point de contact. Depuis un site web repensé ‘www.autohall.ma’ jusqu’à l’application mobile MyAutoHall, en passant par le portail atelier, l’expérience se veut désormais fluide, homogène et sans couture.

Chaque utilisateur peut s’informer, réserver un test-drive, planifier un rendez-vous atelier, suivre les travaux sur son véhicule ou encore déposer une réclamation en quelques clics. Une approche omnicanale et intégrée qui traduit la vision d’un Groupe en mouvement, attentif aux attentes d’une génération connectée.

Disponible sur mobile, MyAutoHall offre une interface intuitive et personnalisée pour planifier ses rendez-vous SAV, suivre son véhicule en temps réel, gérer ses réclamations et accéder à toutes les offres du moment.

Pensée dans une logique d’autonomie et de proximité, l’application regroupe les fonctionnalités essentielles : suivi atelier, prise de rendez-vous simplifiée, historique des interventions, accès à la carte du réseau et itinéraires, ainsi que le traitement des réclamations : « MyAutoHall traduit notre volonté de faire du digital un véritable le vier de proximité et d’efficacité », explique Fatine Kabbaj, responsable marketing et communication du Groupe. Et d’ajouter : « Cette plateforme a été conçue pour simplifier chaque étape du parcours client et renforcer le lien de confiance qui nous unit. Au-delà de la technologie, c’est une façon d’être à l’écoute et d’accompagner nos clients avec agilité et transparence ».

H.Z

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Cette distinction internationale met en lumière la transformation engagée par BANK OF AFRICA Academy, positionnée comme un pôle de leadership, d’innovation et d’apprentissage expérientiel au service de la performance et de la conduite du changement au sein du Groupe. Le jury a salué un modèle « Learning & Innovation » qui cible le développement des compétences d’avenir, l’agilité managériale et l’ancrage d’une culture d’innovation durable.

L’Académie présente cette reconnaissance comme un levier supplémentaire pour poursuivre ses programmes et renforcer l’accompagnement des équipes et des collaborateurs, considérés comme des acteurs centraux de la transformation quotidienne du Groupe. Selon l’institution, le prix valide l’orientation stratégique adoptée ces dernières années en matière de formation continue, de diffusion des pratiques innovantes et de mise à niveau des outils pédagogiques au service des métiers bancaires.

L’événement organisé par le GIMI réunit chaque année des organisations issues de divers secteurs autour des meilleures pratiques de management de l’innovation.

LNT

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Ce partenariat inclut également la représentation du festival Dubai Lynx, dédié à la créativité publicitaire dans la région MENA.

Grâce à cet accord, le Maroc rejoint le réseau mondial de représentants de Cannes Lions International Festival of Creativity, permettant aux agences et annonceurs marocains d’accéder plus facilement aux programmes, compétitions et opportunités du festival.

« Notre ambition est d’abord de contribuer, avec le soutien des agences membres, à hisser la créativité dans notre pays au plus haut niveau et de valoriser la publicité marocaine. Pour cela, les Cannes Lions sont un vecteur essentiel et nous sommes très fiers d’avoir été sélectionnés pour les représenter au Maroc », a déclaré Hassan Rouissi, Président de l’UACC.

L’UACC aura pour mission de promouvoir Cannes Lions au Maroc, d’encourager les inscriptions aux compétitions, d’organiser le concours Young Lions, Édition Maroc, et d’accompagner les talents locaux dans leur participation à l’édition 2026. Elle œuvrera aussi à renforcer la visibilité de la créativité marocaine à l’international, en facilitant la participation de jurés et intervenants marocains.
« Notre mission est de renforcer la présence marocaine à Cannes Lions avant, pendant et après le Festival, d’accompagner nos talents et de faciliter l’accès aux opportunités offertes par Cannes Lions à travers les différents programmes et opportunités que la marque propose ou organise » a affirmé pour sa part Samira Rafi, Directrice de création et membre de la commission relations internationales de l’UACC.

Un calendrier détaillé des actions et dispositifs d’accompagnement sera communiqué prochainement.

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Ces partenariats s’inscrivent dans la stratégie de la marque visant à consolider son ancrage dans le football marocain et à offrir aux supporters des expériences exclusives lors des matchs, notamment des activations, un accès privilégié à des billets et des rencontres avec les joueurs.

Le WAC, fondé en 1937 et détenteur de 22 titres de Botola et de trois Ligues des champions africaines, et le Raja, créé en 1949 et auteur d’un doublé Botola–Coupe du Trône en 2023-24, sont parmi les clubs les plus titrés du pays. Coca-Cola souligne, à travers ces partenariats, sa volonté de contribuer au développement du football local, dans un contexte marqué par l’accueil au Maroc de compétitions majeures notamment la Ligue des Nations Africaines et la préparation à la Coupe du Monde 2030.

« Ce partenariat soutiendra nos efforts en faveur de l’émergence de nouveaux talents et nous permettra de renforcer notre lien avec les fans à l’échelle nationale. Nous sommes impatients de voir les retombées positives qu’apportera cette collaboration », a ajouté Hicham Aït Menna, Président du WAC.

« Nous partageons la même passion pour la promotion du football et son pouvoir d’unir les individus. Ensemble, nous ferons vivre à nos supporters de grands moments » a de son côté affirmé Jawad Ziyat, Président du Raja Club Athletic Association.

Ces accords prolongent l’engagement historique de Coca-Cola dans le sport mondial, la marque étant déjà partenaire d’événements majeurs tels que la Coupe du Monde de la FIFA, les Jeux Olympiques et le Championnat d’Europe de l’UEFA.

AL

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Les cabinets accrédités sont Certi trust, Bureau Veritas, Targetup Consulting, KPMG et SGS Maroc, indique la CGEM dans un communiqué, rappelant que ledit label a été lancé en mai 2025 pour accompagner les petites et moyennes entreprises (PME) dans l’adoption et la structuration de leurs démarches RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises).

La sélection a été opérée sur la base de critères portant notamment sur l’expertise en matière de RSE, la maîtrise des référentiels RSE nationaux et internationaux, ainsi que l’indépendance et la rigueur méthodologique.

Cette accréditation s’inscrit dans la volonté de la Confédération d’assurer un processus d’évaluation transparent, fiable et aligné avec les meilleures pratiques internationales, souligne la même source.

Elle permettra de garantir la qualité et la crédibilité du Label PME Responsable, conçu pour renforcer la durabilité, la compétitivité et l’attractivité des PME marocaines, tout en valorisant leur contribution au développement économique et social du pays.

À travers ce dispositif, la CGEM confirme son engagement à soutenir les entreprises marocaines, en particulier les PME, dans la mise en place de pratiques responsables et créatrices de valeur partagée.

LNT avec Map

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S’exprimant dans une allocution prononcée à son arrivée à bord du premier vol, le ministre du Transport et de la Logistique, Abdessamad Kayouh, a souligné que la concrétisation de cette ligne dans un délai record de moins de six mois est le fruit d’un travail collectif et coordonné entre l’ensemble des institutions partenaires.

Selon le ministre, cette liaison contribuera à la réduction des distances, à la facilitation de la mobilité des citoyens, à la stimulation de l’investissement et au renforcement de l’attractivité économique de la ville d’Es-Smara comme « nouvelle plateforme logistique et d’investissement dans le Sud du Royaume ».

M. Kayouh a rappelé que cette initiative s’inscrit dans la Vision clairvoyante de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, qui accorde une attention particulière au développement intégré des provinces du Sud à travers de grands projets structurants visant à promouvoir l’intégration économique et sociale, et à renforcer la position stratégique du Sahara marocain comme porte du Maroc vers l’Afrique.

« La ville d’Es-Smara est appelée à jouer à l’avenir un rôle central et stratégique », a-t-il déclaré, évoquant les projets structurants en cours, notamment la route reliant Amgala à Tifariti et le lancement de l’étude d’une zone logistique dans cette région frontalière avec la Mauritanie.

Et d’ajouter qu’en coordination avec les Forces Armées Royales (FAR), il est prévu l’extension de l’aéroport d’Es-Smara afin d’accueillir des avions de plus grande capacité et son reclassement du niveau C au niveau B, permettant ainsi de recevoir des appareils de type Boeing et Airbus.

De son côté, le gouverneur de la province d’Es-Smara, Brahim Boutoumilate, a indiqué, dans une allocution similaire, que l’ouverture de l’aéroport d’Es-Smara aux vols civils constitue un événement majeur pour la province.

Il a souligné que cette réalisation ouvre de nouvelles perspectives prometteuses en matière de développement et d’intégration économique.

Pour sa part, le président du conseil de la région Laâyoune-Sakia El Hamra, Hamdi Ould Errachid, a souligné que la ville d’Es-Smara s’inscrit désormais dans la voie d’un programme de développement intégré, dans le cadre du renforcement du transport aérien.

Il a relevé, dans une déclaration à la MAP, que cette avancée s’inscrit dans la Vision Royale de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, en faveur du développement des provinces du Sud, soulignant que les habitants d’Es-Smara accueillent cette initiative avec une grande satisfaction.

Abordant la programmation aérienne, la directrice du pôle Exploitation de RAM, Naoual Aït Hammou, a fait savoir, dans une déclaration similaire, que la compagnie nationale œuvre à garantir un service de transport aérien accessible, plaçant les citoyens au cœur de ses missions et de sa stratégie de développement territorial.

La RAM a mis en place un programme aérien structuré reliant les villes de Laâyoune, Dakhla, Guelmim, Tan-Tan et désormais Es-Smara à Casablanca, Rabat, Marrakech et Agadir, à raison de 63 vols hebdomadaires, offrant une capacité annuelle d’un million de sièges, a-t-elle précisé.

Ce programme, a-t-elle poursuivi, contribuera directement à rapprocher les citoyens à travers tout le Royaume et à consolider la dynamique socio-économique des provinces du Sud.

Fruit d’une coordination entre le ministère du Transport et de la Logistique, le ministère de l’Intérieur, RAM, l’Office National des Aéroports (ONDA), le Conseil provincial et le Conseil régional, cette nouvelle desserte sera assurée à raison de deux vols par semaine.

L’inauguration de ce vol, marquée par la traditionnelle cérémonie de « water salute », s’est déroulée en présence notamment du Wali de la région Laâyoune-Sakia El Hamra, Abdeslam Bikrat, du Chef d’État-Major de la Zone Sud, le Général de Division Mohammed Benlouali, du directeur de l’Agence Nationale de la Sécurité Routière (NARSA), Nacer Boulaajoul, ainsi que de plusieurs personnalités civiles et militaires, des élus, des responsables régionaux et des acteurs économiques et institutionnels.

LNT avec Map

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Depuis près d’un siècle, le Groupe accompagne le développement du tissu productif marocain en plaçant la production locale et le savoir-faire national au cœur de son modèle. Avec un maillage industriel couvrant cinq grandes régions du Royaume, COSUMAR dispose de sept sucreries et de deux raffineries, dont celle de Sidi Bennour, entrée en service en 2024. L’ensemble représente une capacité annuelle de production de 2,5 millions de tonnes de sucre blanc, assurant ainsi un approvisionnement stable du marché marocain.

Au-delà de son rôle domestique, COSUMAR contribue au rayonnement international du Made in Morocco. L’entreprise exporte près d’un million de tonnes de sucre par an vers plus de 80 pays, en dehors de tout système de subvention. Ces performances positionnent le Maroc parmi les acteurs majeurs du sucre au niveau mondial. Parallèlement, COSUMAR approvisionne une large part de l’industrie agroalimentaire nationale, faisant du sucre un intrant stratégique pour de nombreuses filières locales et renforçant la compétitivité du tissu industriel marocain.

Le modèle de développement du Groupe repose sur une forte intégration du monde rural. COSUMAR fédère aujourd’hui quelque 80 000 agriculteurs partenaires à travers un dispositif d’agrégation agricole fondé sur des contrats pluriannuels, un accompagnement technique et un appui financier structuré. Ce modèle s’inscrit dans le cadre des contrats-programmes conclus entre la filière sucrière et l’État, et s’aligne sur les objectifs de durabilité et de souveraineté alimentaire fixés au niveau national.

L’entreprise a également entrepris une transformation digitale de la filière à travers la plateforme Attaissir, développée par des ingénieurs marocains. Ce système intégré permet de suivre les cultures en temps réel, de gérer les intrants agricoles et de coordonner les opérations de récolte et de transport. Grâce à la supervision de plus de 2 000 véhicules et équipements agricoles, Attaissir favorise la traçabilité, l’efficacité opérationnelle et la transparence sur l’ensemble de la chaîne de valeur.

Autour de COSUMAR gravite un écosystème composé de 374 PME spécialisées dans les intrants agricoles, les travaux mécanisés et la logistique de collecte. Cet environnement économique contribue au dynamisme territorial et à la création d’emplois stables dans les zones rurales. Chaque année, le Groupe injecte près de 3 milliards de dirhams dans les territoires, soutenant ainsi le développement local et la cohésion sociale.

En marge de la Journée nationale de l’industrie, COSUMAR a salué le lancement officiel du label Made in Morocco, initié par le ministère de l’Industrie et du Commerce. Ce label, qui valorise la production nationale et le savoir-faire marocain, rejoint les engagements portés de longue date par le Groupe. « Produire au Maroc, avec des ressources marocaines et pour les Marocains » constitue l’un des fondements de la stratégie de COSUMAR, fidèle à sa vocation d’entreprise citoyenne et à sa contribution à la souveraineté alimentaire du Royaume.

À travers cette démarche, le Groupe réaffirme son rôle structurant dans l’économie nationale : garantir l’approvisionnement continu du marché, soutenir la performance d’une filière agricole et industrielle intégrée, et promouvoir le Made in Morocco comme symbole de qualité, de durabilité et de développement territorial.

LNT avec CdP

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La cérémonie de signature s’est tenue en présence de la ministre du Tourisme, de l’Artisanat et de l’Économie sociale et solidaire, Fatim-Zahra Ammor, et du directeur général de la Société marocaine d’ingénierie touristique (SMIT), Imad Barrakad, signalant l’alignement du projet avec les priorités publiques en matière d’investissement et de diversification des marchés. Les partenaires mettent en avant la contribution attendue à l’attractivité du Maroc auprès de clientèles internationales, notamment en provenance de Turquie, de Russie, des pays du Golfe et d’Europe de l’Est, ainsi que la perspective des grands événements mondiaux, dont la Coupe du Monde 2030.

Le positionnement annoncé diffère des modèles “all inclusive” classiques en intégrant, au cœur de l’offre, une programmation quotidienne d’animations et de spectacles, des infrastructures sportives et de bien-être, ainsi qu’une restauration multi-enseignes portée par des chefs reconnus. L’ambition consiste à proposer des unités conçues comme des destinations intégrées, combinant hébergement haut de gamme, scénographie événementielle et services familiaux, avec une attention portée au design et aux standards de finition. Rixos, marque fondée en 2000 par Fettah Tamince et intégrée au groupe Accor, met en avant son expérience dans le “all-inclusive, all-exclusive”, avec un réseau international de plusieurs dizaines d’hôtels et un positionnement axé sur le luxe expérientiel.

La ministre du Tourisme a souligné que ce type d’investissement répond aux priorités de création d’emplois, de valorisation de nouveaux territoires et de renforcement de l’attractivité du Royaume. Dans cette perspective, le partenariat Alliances–Rixos prévoit une première vague de projets dans des destinations à fort potentiel. À Marrakech, un complexe “Rixos Marrakech” est envisagé sur 26 hectares, avec plus de 400 chambres et environ 60 villas brandées. Un second projet, “Aliée Marrakech”, couvrirait 14 hectares et comprendrait un hôtel lifestyle de 150 chambres et près de 50 villas. À Larache, “Rixos Lixus – Larache” viserait la relance de la station de Lixus, sur 7,5 hectares et 400 chambres. Selon les estimations communiquées, l’ensemble pourrait générer environ 2.500 emplois directs et plus de 3.000 emplois indirects, avec d’autres implantations à l’étude dans plusieurs régions.

Pour le Groupe Alliances, l’association avec un opérateur international spécialisé doit permettre d’accélérer l’émergence de produits touristiques intégrés et d’accompagner la montée en gamme des stations existantes. Pour Rixos, ce partenariat représente une opportunité d’entrer sur un marché en croissance, avec un cadre institutionnel orienté vers la qualité de service, l’expérience client et la diversification des segments. L’enjeu porte également sur la capacité à structurer des chaînes de valeur locales, à optimiser les retombées en matière d’emploi et de formation, et à assurer la soutenabilité opérationnelle des sites.

À ce stade, la signature d’une lettre d’intention ouvre une phase préparatoire portant sur les études techniques, urbanistiques et financières, les calendriers de réalisation, ainsi que les modalités de partenariat et d’exploitation. Les projets annoncés s’inscrivent dans une trajectoire d’investissement qui reste conditionnée par les autorisations requises, la conjoncture du marché, l’attractivité des destinations et l’articulation avec les infrastructures d’accès et de services.

LNT avec CdP

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Selon la banque, cette vidéo, présentée sous la forme d’un faux reportage imitant un média national, renvoie vers un lien frauduleux se présentant comme une plateforme d’investissement associée au groupe. Elle contient de fausses informations et promeut de prétendues opportunités de gains, sans aucun lien avec les activités réelles de l’établissement.

L’institution précise que cette utilisation non autorisée de l’image et des signes distinctifs du groupe constitue une atteinte à l’identité et à la réputation de son Président Directeur Général. Les auteurs de la publication ont, selon le communiqué, recours à des éléments visuels manipulés et générés par l’intelligence artificielle afin de tromper le public.

Attijariwafa bank dément formellement toute implication dans cette opération et rappelle qu’elle ne dispose d’aucune plateforme d’investissement ni d’initiative similaire à celle évoquée dans la vidéo. Le groupe annonce se réserver le droit d’entreprendre toute action légale nécessaire pour protéger son image, celle de son dirigeant et l’ensemble de ses droits.

Face à la multiplication de ce type de contenus trompeurs, la banque appelle le public à faire preuve de prudence et à vérifier l’authenticité des informations diffusées en ligne avant de procéder à toute démarche ou interaction numérique.

LNT

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Laâyoune, le 5 novembre 2025. En présence de M. Abdeslam Bekrate, Wali de la région de Laâyoune-Sakia El Hamra, Gouverneur de la province de Laâyoune, et de M. Mohammed Jifer, Directeur Général du Centre Régional d’Investissement (CRI) de Laâyoune-Sakia El Hamra, M. Amine Benkirane, Président-fondateur du groupe KITEA, et M. Othman Benkirane, Directeur général du groupe KITEA, ont procédé, aujourd’hui, à l’inauguration du tout nouveau magasin « KITEA Géant » à Laâyoune.

Inscrite dans le cadre des célébrations du 50e anniversaire de la glorieuse marche verte, cette inauguration vient souligner l’exception marocaine qu’incarne le groupe KITEA dans le secteur de l’ameublement, acteur incontournable de la distribution au Maroc. « Pour nous, c’est bien plus qu’une date symbolique, il s’agit de la consécration d’un savoir-faire marocain, que le groupe incarne depuis plus de 30 années. Grace à la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, les progrès du Maroc sont flagrants et structurants et c’est avec fierté que KITEA accompagne l’évolution de style de vie des Marocaines et des Marocains », souligne M. Amine Benkirane, Président-fondateur du groupe KITEA.

Marque engagée, KITEA, matérialise, à travers cette inauguration, en cette date symbolique, ses valeurs de proximité, de modernité et d’accessibilité, ayant fait d’elle la marque préférée des Marocains pour l’aménagement et l’équipement de leurs espaces. En faisant de son adresse à Laâyoune, un repère d’excellence de plus pour la région, KITEA souligne son ancrage et son attachement à servir l’ensemble du territoire marocain, selon les mêmes standards de qualité, de service et de disponibilité des produits. Ce magasin de nouvelle génération, implanté en centre-ville, sur l’avenue Mohammed VI, au sein du parc d’activité commerciale Mazeej Mall Laâyoune, marque ainsi une étape majeure dans l’expansion de la chaîne, offrant à la clientèle une expérience d’achat inédite et immersive.

« Nous sommes ravis de continuer à étendre notre présence à travers le Maroc avec l’ouverture de ce nouveau magasin à Laâyoune, qui symbolise notre vision d’offrir des solutions d’ameublement aspirationnelles, modernes et accessibles, tout en tenant compte des nouvelles tendances. Nous sommes convaincus que les clients de Laâyoune apprécieront l’expérience unique que ce magasin propose », déclare M. Othman Benkirane, Directeur général du groupe KITEA. Ajouta t’il

« Pour une entreprise marocaine née il y a 32 ans, ouvrir à Laâyoune était une évidence. Pour KITEA, il est essentiel d’offrir la même expérience, les mêmes prix et la même exigence à tous nos clients, partout au Maroc. »

Avec ses 4 300 m² de surface commerciale, « KITEA Géant Laâyoune » propose une expérience d’achat inégalée grâce à un agencement optimisé des espaces et des univers de produits, matérialisant ainsi le positionnement de la marque autour de son credo « l’aspirationnel accessible ». Signe que le groupe KITEA croit au développement de la région, le groupe n’a pas hésité à faire cet investissement global de plus de 60 millions de dirhams.

« Le concept de ce magasin, de 4e génération chez KITEA, repose sur un design épuré et minimaliste, mettant en avant les produits de manière optimale. Le parcours client bien défini à travers les différents univers d’ameublement pour la maison et les espaces professionnels permet une navigation agréable et intuitive, le tout, avec un rapport qualité-prix très avantageux », explique M.Yassine BOUMZOURR Directeur Marketing du groupe KITEA.

La construction de ce nouveau magasin a nécessité plus de six mois de gros œuvre et près de trois mois d’aménagement. Ce nouveau magasin de Laâyoune illustre l’engagement de KITEA à répondre aux besoins de ses clients tout en contribuant à l’économie locale. Le groupe KITEA a mené des centaines d’entretiens d’embauche exclusivement avec des candidats originaires  de Laâyoune, aboutissant au recrutement de plus de 60 collaborateurs. Formée à Laâyoune, Agadir, Marrakech et Casablanca, cette équipe a bénéficié de programmes complets couvrant les techniques de vente, la logistique, le management et la relation client, afin porter les standards d’excellence du groupe et de garantir la meilleure expérience possible à chaque client.

Dans la continuité de cette dynamique, KITEA prévoit l’ouverture prochaine de plusieurs nouveaux magasins de 4ᵉ génération, renforçant ainsi sa présence sur le marché marocain et son engagement à rapprocher le design de tous.

À l’international, après son implantation réussie au Ghana en 2024, l’enseigne ambitionne d’accélérer sa stratégie de développement en Afrique et au Moyen-Orient, auprès de marchés porteurs à fort potentiel de croissance.

Cdp

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Le financement accompagnera plusieurs projets prioritaires, dont l’extension des capacités de la mine de Phosboucraa, la construction d’un nouveau port phosphatier et le développement d’une unité de production d’engrais à plus forte valeur ajoutée (Triple Super Phosphate – TSP). L’objectif est de renforcer l’intégration industrielle de la filiale, d’améliorer la compétitivité de la chaîne de valeur et de soutenir l’activité économique régionale.

Selon les parties prenantes, l’opération s’inscrit dans une logique de financement de long terme orientée vers l’investissement productif. Elle vise à consolider l’ancrage territorial de Phosboucraa et à contribuer à la création d’emplois directs et indirects, en cohérence avec les priorités de développement des provinces du Sud.

Le dispositif retenu met l’accent sur la soutenabilité des investissements et l’accompagnement des projets structurants. Il traduit la convergence des orientations du Groupe OCP et de la CDG en matière de développement territorial, de valorisation des ressources et de modernisation des infrastructures industrielles et logistiques.

Phosboucraa place la performance industrielle et l’impact local au centre de sa stratégie. Les investissements programmés intègrent des composantes liées à la formation, à l’inclusion économique et à l’amélioration des infrastructures, avec pour finalité de soutenir un tissu économique plus diversifié et résilient dans la région.

Acteur institutionnel du financement de long terme, la CDG, via sa banque d’affaires CDG Capital, intervient dans la structuration et l’accompagnement de projets à fort impact. La coopération avec Phosboucraa s’inscrit dans cette démarche, en apportant des ressources et une ingénierie financière adaptées au calendrier et aux besoins industriels du programme.

LNT

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Dans un monde en pleine mutation digitale, cette transformation incarne une ambition claire : faire de Maroc Telecom un acteur audacieux, moderne et profondément ancré dans son identité nationale.

Un changement de couleur, un changement d’ère

Exit le bleu et l’orange, couleurs historiques du groupe. Place au rouge, celui du drapeau national, de la passion et de l’énergie. Ce choix graphique exprime un Maroc en mouvement, tourné vers l’avenir et fier de son héritage.

Le nouveau logo conserve les courbes emblématiques de la marque, tout en leur insufflant davantage de fluidité et de modernité. Ces lignes rouges symbolisent à la fois la circulation de l’énergie, le flux des données et la vitalité du lien humain.

La grande courbe, majestueuse, représente le réseau qui relie l’ensemble du territoire, de Tanger à Lagouira, d’Oujda à Dakhla. La courbe secondaire, plus légère et dynamique, évoque quant à elle la connexion, le signal qui s’allume et la promesse du changement. Ensemble, elles racontent l’histoire d’une connexion renforcée entre Maroc Telecom et le Maroc d’aujourd’hui.

Un symbole fort pour une marque en mouvement

Pour incarner cette transformation, Maroc Telecom s’est offert un ambassadeur à la hauteur de son image : Yassine Bounou, héros national et icône du football marocain. Symbole d’excellence et de détermination, il reflète l’esprit d’une marque fière, ambitieuse et connectée à la jeunesse.

Dans sa déclaration officielle, Mohamed Benchaaboun, Directeur Général du Groupe, souligne :

« Ce changement d’identité visuelle marque une nouvelle étape dans l’histoire de Maroc Telecom. Il illustre la continuité d’un parcours fondé sur la proximité, l’innovation et la confiance, tout en affirmant notre ouverture vers l’avenir. »

Cette nouvelle identité traduit ainsi la volonté de Maroc Telecom d’accompagner durablement la transformation numérique du Royaume, en restant fidèle à sa mission : connecter les territoires, rapprocher les personnes et contribuer à un Maroc toujours plus performant et inclusif.

Une marque tournée vers l’avenir

Avec cette refonte, Maroc Telecom ne se contente pas de changer de logo : elle affirme un nouveau souffle, un engagement renouvelé envers l’innovation, la proximité et la jeunesse.

Le groupe promet de rendre l’innovation plus visible, de renforcer le lien avec les nouvelles générations et de continuer à servir ses clients avec exigence et humanité.

Un rouge, donc, pour symboliser non pas la rupture, mais la continuité d’une histoire d’énergie, de confiance et de progrès.

LNT

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Ces panneaux ont suscité la curiosité du public : nouvelle marque sur le marché ou simple campagne publicitaire ?
Le mystère s’est partiellement éclairci ce lundi 3 novembre 2025, lorsqu’une agence Maroc Telecom rénovée a dévoilé un nouveau logo et des codes couleurs entièrement repensés, passant du bleu et orange historiques au rouge et blanc. Une évolution visuelle remarquée, bien que l’entreprise n’ait pas encore communiqué officiellement sur ce changement.

Ce virage intervient dans un contexte de transition interne marqué par la nomination de Mohamed Benchaâboun à la présidence du conseil d’administration début 2025. S’il ne s’agit pas encore d’une annonce officielle, cette initiative semble s’inscrire dans une volonté de modernisation et de renouvellement de l’image de l’opérateur historique, accompagnant les mutations du secteur des télécommunications.

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Cet appel d’offres ouvert intervient après le lancement en mai dernier d’un appel à manifestation d’intérêt international pour un constructeur ou un groupement d’entreprise, responsable de l’ingénierie détaillée et de la construction du nouveau terminal, incluant l’intégration des systèmes aéroportuaires produits par des tiers, fait savoir l’ONDA dans un communiqué.

Ce projet, d’un montant estimé à 10 milliards de dirhams (MMDH), marque une étape décisive dans le développement du principal aéroport du Royaume et dans le renforcement de son rôle de hub aérien international, précise la même source.

D’une capacité initiale de 20 millions de passagers par an, extensible à 30 millions, le futur terminal s’étendra sur 600.000 m². Conçu en forme de « H », il intégrera un processeur central et deux jetées, et intégrera des solutions optimales pour le traitement des bagages, la circulation des passagers et l’utilisation des passerelles.

Le nouveau terminal sera, en outre, reliés à la future ligne à grande vitesse Tanger–Marrakech. L’architecture, signée par le groupement Ala Concept, RSHP Architects et Egis Bâtiment International, privilégie l’innovation, l’ergonomie et l’efficacité opérationnelle. Les travaux de terrassement généraux, confiés à l’entreprise STAM, sont déjà réalisés à 40%.

L’appel d’offres, structuré en neuf sous-lots couvrant les principaux corps d’état, prévoit un délai d’exécution de 40 mois. Les infrastructures aéronautiques, aménagements extérieurs et équipements spécifiques feront l’objet d’appels d’offres distincts. Ce projet, qui comprend également la construction d’une nouvelle piste, et d’une tour de contrôle, adopte une approche modulaire et systématique. La préfabrication, la rapidité de montage, l’économie de moyens et la réduction des déchets figurent parmi les priorités de conception, traduisant la volonté de l’ONDA de conjuguer performance, sécurité et durabilité. Au-delà de sa portée technique, le projet du nouveau terminal HUB de Casablanca constitue un investissement stratégique pour le Maroc. Il viendra soutenir et accompagner la croissance de la compagnie nationale Royal Air Maroc.

Ledit projet générera aussi un impact significatif en matière d’emploi, de dynamisation des filières locales et de rayonnement économique et touristique. Par l’ampleur de son investissement, la rigueur de son approche et la vision qu’il traduit, ce projet s’inscrit dans la stratégie « Aéroports 2030 » de l’ONDA dont l’ambition est de hisser les aéroports marocains au plus haut niveau de performance, d’efficacité et de connectivité internationale.

LNT avec Map

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À l’issue de cette opération, et à la suite du règlement-livraison intervenu le 3 novembre 2025, Wafa Assurance détient 122 323 950 actions de Delta Insurance S.A.E, représentant 97,86 % du capital social et des droits de vote de la société.

Cette acquisition marque une étape stratégique clé dans le développement continental de Wafa Assurance, lui permettant de compléter son dispositif et de renforcer sa présence sur le marché égyptien, qui offre des perspectives de croissance attrayantes.

Wafa Assurance confirme ainsi sa volonté de poursuivre son développement sur le continent Africain en s’appuyant sur son expertise et sa position de leader sur le marché marocain de  l’assurance, avec comme projet de couvrir l’ensemble des besoins des particuliers et acteurs économiques en assurance Vie et NonVie.

Communiqué de presse

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Cette édition repose sur l’analyse des rapports publiés par 92 sociétés au titre de l’exercice 2024, à partir de plus de cent indicateurs par entreprise. Les résultats mettent en évidence une progression de la diversité et de l’indépendance au sein des organes de gouvernance, avec un taux de féminisation des conseils de 29%, en hausse de huit points depuis 2022, et une part d’administrateurs indépendants de 23%, en amélioration continue mais encore inférieure aux pratiques européennes. La structuration des conseils se renforce : la taille moyenne atteint 9,4 membres, la dissociation des fonctions de président et de directeur général progresse de neuf points depuis 2022, et les conseils se sont réunis en moyenne 4,6 fois en 2024, avec un taux d’assiduité de 94%. Les comités d’audit sont davantage encadrés par des profils indépendants, leur présidence étant assurée par un administrateur indépendant dans 76% des cas, un taux porté à 83% pour les sociétés cotées.

Le Baromètre souligne par ailleurs l’accélération des démarches environnementales, sociales et de gouvernance. Une majorité d’entreprises ancrent leur reporting dans des référentiels internationaux, 55% déclarant s’appuyer sur au moins un cadre reconnu. La transparence extra-financière progresse, 73% des sociétés publiant des informations RSE au niveau consolidé et communiquant des indicateurs quantitatifs sur la formation, la mixité, la santé-sécurité au travail et l’engagement sociétal.

La présentation a été suivie d’une table ronde consacrée au thème « La gouvernance responsable, affaire de tous : grandes entreprises cotées, établissements publics, investisseurs institutionnels et entreprises familiales ». Des représentants de l’Agence nationale de gestion stratégique des participations de l’État (ANGSPE), de l’AMMC, de l’APE ainsi que le témoignage d’une entreprise familiale, Locamed, ont illustré la diversité des approches. Les intervenants ont mis en avant la gouvernance comme levier de performance, de transparence et de confiance, plaidant pour une harmonisation progressive des référentiels afin de consolider la crédibilité et l’attractivité du marché marocain. Ils ont également souligné le rôle d’exemplarité attendu des entreprises publiques dans la diffusion des bonnes pratiques et rappelé que, pour les entreprises familiales, la gouvernance constitue un facteur clé de transmission et de pérennité.

LNT

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Avec plus de 169 millions de titulaires de cartes et un réseau d’environ 56 millions de commerçants dans plus de 160 pays, JCB figure parmi les réseaux internationaux de paiement de premier plan. Pour le CMI, l’extension d’acceptation consolide son positionnement de plateforme nationale d’interopérabilité et de sécurité des paiements et accompagne l’ouverture du marché monétique aux solutions internationales.

Le CMI rappelle avoir soutenu, en mai 2025, le lancement opérationnel de plusieurs acquéreurs agréés au Maroc, contribuant à la diversification de l’écosystème et à la concurrence sur le marché. L’accord avec JCB s’inscrit dans cette dynamique et vise une intégration technique permettant une acceptation fluide des cartes JCB sur l’ensemble du territoire ainsi que sur les sites d’e-commerce.

« Le partenariat avec le CMI nous permet d’accélérer et d’élargir l’acceptation des cartes JCB, tout en offrant une plus grande valeur à nos porteurs de cartes », indique Obaid Bawany, directeur général de JCB International Dubaï, soulignant l’intérêt croissant du marché marocain auprès de la clientèle asiatique et l’échéance de la Coupe du monde 2030. Pour sa part, Rachid Saihi, directeur général du CMI, estime que cette collaboration « s’inscrit dans la stratégie du CMI visant à accompagner l’ouverture du marché monétique marocain et à consolider son rôle de plateforme intégrant l’ensemble des moyens de paiement », en s’appuyant sur une infrastructure technologique de nouvelle génération.

Cette initiative s’aligne sur les orientations de Digital Morocco 2030, qui mettent l’accent sur l’inclusion, l’innovation et la digitalisation des services.

LNT avec CdP

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Le groupe poursuit la mise en œuvre de son plan d’investissement 2030 de 130 MMDH, destiné à transformer en profondeur son modèle industriel, énergétique et environnemental. Cette feuille de route prévoit l’augmentation de la capacité d’engrais de 12 à 20 millions de tonnes, l’atteinte de la neutralité carbone, une couverture à 100% des besoins en eau via des sources non conventionnelles dès 2025, ainsi que le déploiement de 5 GW d’énergies propres d’ici 2027 et de 560 millions de m³ de capacité de dessalement à la même échéance.

Sur le plan opérationnel, le chiffre d’affaires a dépassé 52,16 MMDH au premier semestre 2025, en hausse de 21% sur un an, tandis que les dépenses d’investissement se sont établies à 15,16 MMDH, en recul de 23%. Pour l’ensemble de l’exercice, OCP anticipe un chiffre d’affaires de plus de 105,33 MMDH, soit une progression d’environ 9% par rapport à 2024.

Le résultat net est attendu à près de 18,43 MMDH, en baisse de 10% sur un an. Cette évolution s’explique principalement par une diminution du résultat financier d’environ 2 MMDH, liée à une hausse des charges financières. Dans l’ensemble, les indicateurs confirment la poursuite d’un cycle d’investissement soutenu visant la montée en puissance industrielle et la sécurisation des facteurs clés de compétitivité, en particulier l’énergie et l’eau.

LNT

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L’investissement, estimé à 715 millions de dirhams, s’inscrit dans le cadre d’un plan d’investissement global de ECCBC au Maroc de près de 3,2 milliards de dirhams mis en œuvre entre 2020 et 2025. Ce programme a contribué au renforcement des infrastructures locales, de la capacité de production et du développement économique durable du pays.

L’expansion du site a permis la création de plus de 419 emplois directs, portant à environ 2 200 le nombre d’emplois générés par ECCBC à l’échelle nationale.

La cérémonie d’inauguration s’est déroulée en présence de M. Ryad Mezzour, Ministre de l’Industrie et du Commerce, M. Younes Sekkouri, Ministre de l’Inclusion Économique, de la Petite Entreprise, de l’Emploi et des Compétences, ainsi que de représentants institutionnels et diplomatiques.

Les nouvelles lignes, dédiées à la production de boissons gazeuses et d’eau, permettront d’augmenter la capacité annuelle de l’usine de 40 %. Équipées de technologies de pointe, elles visent à garantir des standards élevés en matière de qualité, d’efficacité et de sécurité, tout en réduisant la consommation énergétique.

L’usine fonctionnera prochainement à plus de 60 % grâce à des énergies renouvelables, combinant énergie solaire et éolienne. Des systèmes modernisés de traitement des eaux usées et d’optimisation des processus y seront également intégrés afin de limiter l’impact environnemental.

À cette occasion, M. Ryad Mezzour a déclaré : « Cette inauguration constitue une étape majeure dans le renforcement du développement industriel de notre pays, en particulier dans le secteur agroalimentaire, pilier stratégique de notre sécurité et de notre souveraineté alimentaire. Elle témoigne de la confiance renouvelée des grands groupes dans le potentiel industriel du Maroc et dans la vision éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu l’assiste, en faveur d’un développement intégré, durable et créateur d’emplois. Le choix d’ECCBC d’accroître la production locale en adoptant les standards les plus avancés en matière de qualité, d’innovation et de durabilité s’inscrit pleinement dans la dynamique nationale visant à bâtir une industrie moderne, à renforcer l’ancrage des chaînes de valeur au Maroc et à positionner notre pays comme une plateforme industrielle compétitive à l’échelle régionale et continentale. »

De son côté, Younes Sekkouri a rappelé que « ce projet confirme la solidité de l’économie nationale et la compétence de la main-d’œuvre marocaine ». Il a insisté sur la nécessité de transformer ce type d’investissement en emplois durables et de poursuivre les efforts en matière de formation et de qualification professionnelle.

Farid Benchekroun, Directeur Général d’Equatorial Coca-Cola Bottling Company Maroc, a ajouté : « Ce projet reflète et renforce l’engagement historique du système Coca-Cola au Maroc, un pays où nos équipes et notre avenir sont profondément enracinés. Avec ces nouvelles lignes, nous renforçons notre capacité locale, créons de nouveaux emplois et investissons dans les talents marocains tout en soutenant la vision du pays pour une industrie plus durable et innovante ».

L’investissement s’inscrit également dans la stratégie ESG Impact du groupe, qui met l’accent sur la gestion durable des ressources, la réduction de l’empreinte carbone et le soutien aux communautés locales.

Charbel Beyrouthy, directeur général de The Coca-Cola Company Maroc, a mis en avant la dimension durable du projet et son impact sur la formation du personnel, tandis qu’Alfonso Bosch, PDG du groupe ECCBC, a salué « la contribution du Maroc à la croissance régionale et la qualité du capital humain local ».

AL

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Selon inDrive, l’action répond aux préoccupations exprimées récemment sur le marché marocain et entend favoriser un dialogue transparent avec la communauté d’utilisateurs. L’événement a été mené en collaboration avec la Fédération Marocaine des Droits du Consommateur (FMDC), autour d’axes de prévention, formation et information.

Des démonstrations en direct ont présenté les fonctionnalités de sécurité intégrées à l’application : partage de trajet, boutons d’urgence et suivi en temps réel. Les équipes ont détaillé le processus de sélection des chauffeurs (vérifications d’antécédents et du casier judiciaire) et animé des stands interactifs et sessions de questions-réponses pour expliquer les procédures et répondre aux interrogations des utilisateurs.

Pour les conducteurs (automobiles et deux-roues), le programme a inclus des sessions pratiques de sécurité routière axées sur les bonnes pratiques de conduite, la communication avec les passagers et la prévention des incidents. Afin d’améliorer la visibilité et réduire le risque d’accident, 100 casques et 100 gilets réfléchissants ont été distribués aux motocyclistes. Des démonstrations de premiers secours et de produits anti-éclatement de pneus ont complété le dispositif.

Fatine Bennani Meziane, directrice nationale d’inDrive au Maroc et en Afrique du Nord, a déclaré : « Nous avons entendu les préoccupations soulevées et nous y répondons non pas par des paroles, mais par des actions concrètes. Cet événement va au-delà de l’image : il s’agit de mesures tangibles pour offrir une expérience de covoiturage plus sûre pour tous. »

Pour sa part, Pr. Jaouad Dabounou, membre de la FMDC, indique que « la FMDC collabore avec inDrive dans une logique constructive pour bâtir un écosystème de mobilité intelligente, moderne, innovant et protecteur. Cet écosystème repose sur trois piliers essentiels : un cadre juridique garantissant les droits des consommateurs, la professionnalisation des chauffeurs pour assurer la sécurité, et une approche dynamique, transparente et inclusive qui maintient la qualité du service. Le consommateur doit rester au cœur de toute transformation. »

LNT avec CdP

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L’attribution de ce label vient couronner l’engagement de ces entreprises en matière de RSE et la prise en compte, dans leur politique, des attentes de leurs parties prenantes internes et externes, indique la CGEM dans un communiqué.

Elle s’inscrit également dans un processus d’amélioration continue des pratiques pour la pérennisation et le renforcement des acquis, poursuit la même source.

Ce Label, octroyé pour une durée de trois ans, est attribué par la Présidence de la Confédération sur avis du Comité d’attribution à la suite d’une évaluation managériale menée par l’un des tiers experts indépendants accrédités par la CGEM.

Il a pour vocation d’encourager les entreprises marocaines à adopter une démarche globale en tenant compte des impératifs économiques, environnementaux et sociaux dans leur stratégie managériale.

Concernant le renouvellement, il se fait dans les mêmes conditions avec un niveau d’exigence supérieur à l’évaluation précédente.

LNT

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La compagnie assure quatre vols quotidiens vers Casablanca, trois vers Rabat, trois liaisons hebdomadaires directes vers Tanger et dix-huit vers Marrakech.

Depuis juillet 2025, la ligne Rabat–Paris-Charles de Gaulle est opérée par un Airbus A220, appareil de nouvelle génération destiné à améliorer le confort des passagers tout en réduisant l’impact environnemental, explique la compagnie aérienne.

Air France a également introduit dans ses cabines Business long-courrier un surmatelas développé avec Sofitel, dont la généralisation à l’ensemble du réseau est prévue pour le 5 novembre 2025. Par ailleurs, la compagnie a lancé un service de connexion Wi-Fi gratuit et à haut débit à bord, déjà disponible sur une partie de sa flotte, avec un déploiement complet prévu d’ici 2026.

Air France étend également son offre de salons au Maroc : un nouvel espace Aspire a ouvert à Casablanca en août 2025, venant s’ajouter à celui de Tanger, tandis que d’autres ouvertures sont envisagées à Rabat et Marrakech.

« Avec l’arrivée de l’A220 à Rabat, le confort inédit des surmatelas Sofitel en cabine Business et l’introduction du wifi haut débit gratuit, Air France poursuit son ambition de se démarquer par l’innovation et d’offrir à ses clients une expérience de voyage résolument haut de gamme » rapporte Nadia Azale, Directrice Générale Air France- Afrique du Nord, Sahel et Côte Ouest.

AL

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Les participants ont été répartis par zones d’activités et ont pris part à des ateliers de sport, musique, peinture murale, tri des déchets, jardinage, cuisine collective, ainsi qu’à des séances de coaching professionnel et de formation aux compétences de vie (life skills). L’initiative s’inscrit dans la continuité du programme interne « Changemakers ».

Dans une déclaration, Salma Louah, responsable des affaires institutionnelles et gouvernementales de Mondelez Maroc, a indiqué que la mobilisation du personnel « incarne l’engagement de l’entreprise au sein des communautés ». Elle a ajouté que l’implication auprès de L’Heure Joyeuse et de l’École de la 2ᵉ Chance – Nouvelle Génération relève d’une démarche visant le soutien à la jeunesse et la pérennisation des actions menées avec le partenaire associatif.

L’entreprise précise que cette édition s’aligne sur sa raison d’être « Snacking Made Right », et qu’elle entend maintenir des actions similaires, en lien avec ses programmes d’engagement des collaborateurs.

LNT

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Selon un communiqué conjoint, la société concessionnaire sera détenue à 51 % par Marsa Maroc et à 49 % par CMA Terminals. Cet accord s’inscrit dans le prolongement de la convention globale signée le 28 octobre 2024 entre le Groupe Tanger Med et CMA CGM.

Le terminal, dont la mise en service est prévue de manière progressive à partir de 2027, disposera de 900 mètres de quai, d’une profondeur de 18 mètres, de 37,5 hectares de terre-pleins et s’étendra au total sur 60 hectares. L’équipement final comprendra 8 portiques de quai (STS). À pleine capacité, l’infrastructure est dimensionnée pour traiter jusqu’à 1,8 million d’EVP par an.

Le partenariat associe l’ancrage local et l’expérience opérationnelle de Marsa Maroc à la couverture maritime de CMA CGM. Il prévoit l’exploitation d’un terminal conforme aux normes internationales en matière d’exploitation conteneurisée et d’intégration aux services de lignes régulières.

Le port de Nador West Med est situé dans la baie de Betoya, à proximité du détroit de Gibraltar, à l’embouchure de l’oued Kert. Son positionnement géographique est présenté comme complémentaire des terminaux exploités par CMA CGM en Méditerranée occidentale.

Marsa Maroc indique opérer 25 terminaux dans 11 ports pour un trafic annuel supérieur à 60 millions de tonnes, dans le cadre de son plan « Marsa 2030 ». Le Groupe CMA CGM est présent dans 177 pays et emploie environ 160 000 personnes, dont près de 6 000 à Marseille, siège du groupe.

LNT

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Il s’agit de nouvelles liaisons reliant Marrakech à Dakha et Laâyoune, d’une augmentation des fréquences depuis Rabat vers Laâyoune et Dakhla, d’une offre étoffée au départ de Casablanca vers Laâyoune, Guelmim et Tan-Tan, ainsi que du lancement prévu en novembre de la ligne directe Casablanca–Es-Smara, indique la compagnie aérienne dans un communiqué.

« En tant qu’acteur majeur du transport aérien national, RAM poursuit son engagement en faveur du désenclavement des régions, de la promotion du tourisme et du développement socio-économique des territoires », fait savoir la même source.

Ce plan stratégique, mis en place en partenariat avec les régions de Dakhla-Oued Eddahab, Laâyoune-Sakia El Hamra et Guelmim-Oued Noun, s’inscrit dans une stratégie globale d’interconnexion de toutes les régions du Royaume afin de mieux répondre aux attentes des citoyens tout en soutenant la croissance économique locale.

Depuis 2005, l’offre aérienne de la compagnie au départ des provinces du Sud est passée d’une moyenne de six vols par semaine (90.000 sièges) à 63 vols hebdomadaires, soit près d’un million de sièges proposés en 2025.

« Le développement des connexions aériennes domestiques, notamment au départ des provinces du Sud, s’inscrit pleinement dans le cadre de notre mission, en parfaite adéquation avec les Hautes Orientations de Sa Majesté le Roi Mohammed VI », a souligné le Président Directeur Général de RAM, Hamid Addou, cité par le communiqué.

En renforçant la présence dans le Sud du Royaume, l’objectif est de connecter efficacement les régions, de favoriser la mobilité et de soutenir le dynamisme des territoires, a poursuivi M. Addou.

Et de relever : « Le lancement de nouvelles liaisons, ainsi que l’enrichissement de nos programmes existants, témoignent de notre engagement constant à connecter toutes les régions du pays et à favoriser le dynamisme social, familial et économique de tout le territoire ».

Dans le détail, deux nouvelles liaisons aériennes stratégiques ont été inaugurées en octobre courant au départ de Marrakech, renforçant la connectivité entre la ville ocre et les provinces du Sud.

La première relie Marrakech à Laâyoune, à raison de deux vols par semaine, les mercredis et vendredis. Le départ de Laâyoune est prévu à 16h00 pour une arrivée à Marrakech à 17h20, tandis que le vol retour décolle à 18h10 pour atterrir à Laâyoune à 19h40. Le tarif fixe est de 750 DH TTC (aller simple, classe économique). La seconde liaison concerne la ligne Marrakech–Dakhla, opérée également à deux fréquences hebdomadaires, les lundis et jeudis. Le départ de Dakhla s’effectue à 15h05 pour une arrivée à Marrakech à 16h55, alors que le vol retour part à 17h45 pour atterrir à Dakhla à 19h55. Le tarif fixe est de 800 DH TTC (aller simple, classe économique).

En outre, la connectivité aérienne entre Rabat et les provinces du Sud a été étoffée à travers une montée en puissance des liaisons vers Laâyoune et Dakhla. La ligne Rabat–Laâyoune connaît désormais trois fréquences hebdomadaires, opérées les mercredis, vendredis et dimanches, offrant ainsi davantage de flexibilité aux voyageurs.

De son côté, la liaison Rabat–Dakhla est également portée à trois vols par semaine, les lundis, jeudis et samedis, avec des horaires optimisés afin d’améliorer le confort et l’expérience des passagers.

Au départ de Casablanca, l’offre aérienne vers les provinces du Sud s’enrichit et se diversifie.

La ligne Casablanca–Laâyoune enregistre une hausse à 15 fréquences hebdomadaires, grâce à l’ajout d’un vol supplémentaire le dimanche.

Pour sa part, la liaison Casablanca–Guelmim propose désormais cinq vols directs par semaine, les vols combinés avec Tan-Tan ayant été supprimés afin d’offrir davantage de flexibilité aux passagers. En outre, la ligne Casablanca–Tan-Tan est opérée de manière indépendante de la desserte de Guelmim, avec trois vols directs par semaine, garantissant une meilleure connectivité pour cette destination.

Parallèlement, et pour la première fois, une route aérienne directe entre Casablanca et Es-Smara sera lancée le 06 novembre 2025 qui coïncide avec le 50ème anniversaire de la Marche Verte.

La ligne sera opérée à raison de deux fréquences par semaine, tous les lundis et vendredis. Le vol au départ de Casablanca sera programmé à 16h50 pour une arrivée à Es-Smara à 19h20. Le vol retour au départ d’Es-Smara sera programmé à 20h00 pour une arrivée à Casablanca à 22h20.

Ces développements majeurs s’inscrivent dans la volonté de Royal Air Maroc de faciliter et fluidifier les déplacements des citoyens résidant dans les provinces du Sud du Maroc vers les autres villes du Royaume. Ils contribuent également au renforcement du tourisme interne en favorisant la mobilité entre les régions.

Ainsi, RAM facilite l’accès aux visiteurs internationaux vers les Provinces du Sud, au potentiel touristique riche et diversifié, via le hub de la compagnie à Casablanca en premier lieu, ainsi que l’aéroport de Marrakech dans une moindre mesure, conclut le communiqué.

LNT avec Map

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Une croissance tirée par les filiales africaines

Au Maroc, le chiffre d’affaires s’est établi à 13,95 MMDH, en repli de 3,3 %, une évolution attribuée à la persistance d’une forte concurrence sur le marché du mobile et à un cadre réglementaire jugé restrictif. Le groupe souligne que les écarts tarifaires entre ses offres et celles des autres opérateurs continuent de peser sur les revenus du segment mobile.

À l’international, les filiales Moov Africa affichent une croissance soutenue, avec un chiffre d’affaires de 14,19 MMDH, en progression de 5,7 % sur un an. Cette performance résulte principalement de la hausse de la Data Mobile (+15,1 %), des services Mobile Money (+23,2 %) et de l’internet fixe (+19,2 %). Hors impact de la baisse des tarifs d’interconnexion, les revenus des filiales enregistrent une croissance globale de 6 %.

Sur le seul troisième trimestre 2025, le chiffre d’affaires consolidé a progressé de 1,8 %, grâce à une hausse de 6,5 % des revenus des filiales africaines, confirmant la solidité du modèle de croissance géographique du groupe.

Le parc global de Maroc Telecom a atteint plus de 81 millions de clients à fin septembre 2025, en hausse de 1,8 % en glissement annuel. Cette progression est soutenue par la croissance des filiales africaines, dont les parcs ont augmenté de 3,3 %.

Au Maroc, le parc Mobile compte plus de 19,5 millions de clients, tandis que le Fixe s’établit à 1,6 million de lignes. À l’international, le parc Mobile dépasse 58 millions de clients, répartis principalement entre la Côte d’Ivoire (12,75 millions), le Burkina Faso (12,32 millions), le Mali (7,52 millions), le Tchad (7,36 millions), le Bénin (5,4 millions) et le Niger (4,35 millions). Le parc fixe à l’étranger atteint 294 000 abonnés, répartis notamment entre le Mali (144 000) et le Gabon (73 000).

Un résultat net consolidé supérieur à 5,5 milliards de dirhams

Le résultat net part du groupe (RNPG) s’élève à 5,52 MMDH à fin septembre 2025, intégrant les rétrocessions reçues dans le cadre des accords mettant fin aux litiges relatifs au dégroupage. Le résultat net ajusté ressort à 4,43 MMDH, en léger recul de 0,6 % sur un an.

Le résultat opérationnel avant amortissements (EBITDA) du groupe atteint 13,7 MMDH, en baisse de 2,2 %, impacté par la contraction des revenus au Maroc, partiellement compensée par la performance des filiales africaines. La marge d’EBITDA demeure stable à 50,2 %, confirmant la bonne maîtrise des coûts opérationnels.

Le résultat opérationnel (EBITA) s’établit à 10,63 MMDH, incluant les rétrocessions liées au dégroupage. L’EBITA ajusté, pour sa part, atteint 8,83 MMDH, en légère progression de 0,3 %, avec une marge quasi stable à 32,4 %.

Les investissements hors fréquences et licences du groupe s’élèvent à 23 % des revenus, en hausse de 23,1 % sur un an, conformément à la stratégie de déploiement du réseau 5G et de modernisation des infrastructures.

Les flux nets de trésorerie opérationnels (CFFO) atteignent 6,55 MMDH, en retrait de 14,6 %, du fait des paiements de licences dans certaines filiales. Hors ces effets exceptionnels, les CFFO ajustés progressent de 6,4 % pour atteindre 8,14 MMDH.

La dette nette consolidée du groupe s’établit à 17,98 MMDH, soit un niveau maîtrisé correspondant à 0,9 fois l’EBITDA annualisé, témoignant d’une structure financière solide.

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Cette étude doit mettre en lumière la contribution significative du système Coca-Cola à l’économie, à l’emploi et au développement communautaire du Maroc.

Selon les données recueillies, le système Coca-Cola, composé de The Coca-Cola Company, de ses embouteilleurs autorisés, ainsi que d’un réseau étendu de fournisseurs, distributeurs et détaillants locaux, a généré pas moins de 724 millions de dollars de valeur ajoutée à l’économie marocaine en 2024.

L’impact sur l’emploi est tout aussi impressionnant, avec plus de 37 000 emplois créés et maintenus grâce aux activités du système Coca-Cola au Maroc.

À travers sa chaîne de valeur, le système a contribué à la création et au maintien de plus de 37 000 emplois, dont 2 273 emplois directs au sein du système lui-même, et plus de 35 000 emplois supplémentaires soutenus via ses partenaires, fournisseurs et clients. Selon l’étude, chaque emploi direct créé par Coca-Cola entraîne quinze emplois supplémentaires dans l’économie marocaine.

Farid Benchekroun, Directeur Général d’ECCBC Maroc, a souligné : « Notre activité est intimement liée aux communautés locales, et nous restons pleinement engagés à créer des opportunités pour nos collaborateurs, nos partenaires et les citoyens que nous servons ».

En plus de son impact économique, le système Coca-Cola au Maroc a également renforcé son ancrage local en investissant 302 millions de dollars dans l’achat de biens et de services auprès d’entreprises marocaines en 2024.

« Le Maroc constitue l’un de nos marchés les plus stratégiques en Afrique, où nous sommes solidement implantés depuis plusieurs décennies », explique Charbel El-Beyrouthy, Directeur Général de The Coca-Cola Company, Maroc. « Notre vocation est d’apporter de la fraîcheur au monde tout en générant un impact positif. Cela passe par le soutien aux moyens de subsistance, la promotion de l’entrepreneuriat et l’investissement dans la résilience durable des communautés locales ».

En plus des retombées économiques, le système Coca-Cola au Maroc participe à l’initiative Africa Water Stewardship, un programme visant à renforcer la sécurité hydrique dans vingt pays africains, dont le Maroc. Un investissement de près de 25 millions de dollars est prévu pour améliorer l’accès à l’eau potable, protéger les ressources hydriques locales et renforcer la résilience climatique des communautés.

« Notre évaluation met en lumière l’étendue et la profondeur de l’empreinte économique du système Coca-Cola au Maroc », affirme Teodora Nenova, Directrice Associée chez Steward Redqueen. « Au-delà des contributions directes, c’est tout un écosystème de partenariats et de chaînes de valeur locales qui engendre un impact durable et à large portée » at-il précisé.

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Créée en 2020, ALH Hospitality se positionne comme un opérateur intégré combinant investissement, développement et gestion opérationnelle. Le modèle annoncé repose sur trois axes : sélection de marques internationales adaptées à la nature de chaque projet, gestion sur mesure des actifs, et recherche d’une création de valeur à long terme au bénéfice des investisseurs et partenaires.

Le plan de développement prévoit un portefeuille de dix établissements répartis entre Casablanca, Marrakech, Rabat, Tanger et Agadir, totalisant 1 500 chambres et environ 1 450 collaborateurs à terme. Les leviers de croissance mentionnés incluent le développement greenfield sur foncier détenu par ALH Holding, l’acquisition d’hôtels à potentiel, la rénovation et le repositionnement d’actifs existants, des co-investissements avec des partenaires institutionnels ou privés, ainsi que la location d’actifs hôteliers.

À ce jour, ALH Hospitality gère deux établissements : le Radisson Hotel Casablanca Gauthier La Citadelle (4 étoiles, ouvert en avril 2024) et le Be Live Collection Adults Only Marrakech (5 étoiles all inclusive, acquis en juillet 2025). Plusieurs projets sont annoncés : un hôtel urbain et lifestyle 4 étoiles à Casablanca (ouverture prévue en 2027), un 5 étoiles au centre-ville de Casablanca Port (2028), un 5 étoiles adults only à Marrakech (2028) et un 5 étoiles à Tanger (2030).

S’agissant des ressources humaines, l’entreprise indique s’appuyer sur des équipes couvrant les principaux métiers de l’hôtellerie (exploitation, gestion, restauration, marketing, maintenance et expérience client), avec un dispositif de formation continue destiné à accompagner les besoins opérationnels des actifs en portefeuille.

ALH Hospitality précise que l’objectif est de constituer un portefeuille d’actifs aligné sur les évolutions du marché touristique national, en termes de positionnement, de normes d’exploitation et d’indicateurs de performance.

À propos d’ALH Holding

Fondée en 1957, ALH Holding opère dans l’immobilier, l’hôtellerie, l’éducation et l’agriculture. À travers ALH Real Estate et AH Africa, le groupe indique totaliser plus de 30 000 unités immobilières réalisées et 7 000 en cours de développement au Maroc et en Afrique de l’Ouest. ALH Hospitality a été créée en 2020 pour structurer le pôle hôtellerie. La même année, ALH Education a été lancé, via Atlantic Education Groupe et ses établissements Atlantic Education Valériane (Deroua, 2018) et Atlantic Education Berrechid (2023). Dans l’agriculture, ALH Agriculture exploite environ 1 300 hectares répartis sur plusieurs régions du Royaume.

Le groupe présente sa stratégie comme fondée sur la diversification de ses activités et la complémentarité de ses pôles, avec un déploiement progressif des projets annoncés dans l’hôtellerie à l’horizon 2030.

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Les résultats de la précédente saison ont été obtenus grâce à la mobilisation conjointe des acteurs de la filière sucrière, notamment les agriculteurs, associations professionnelles, conseillers agricoles, Comités Techniques Régionaux, ainsi que les autorités locales et institutionnelles, se félicite le groupe. 

Bilan de la campagne 2024/2025

La campagne écoulée a confirmé la capacité de la filière sucrière nationale à maintenir un niveau de production satisfaisant malgré des conditions climatiques difficiles.

Pour la betterave à sucre, la production a atteint 2 005 380 tonnes contre 1 150 210 tonnes lors de la campagne précédente, soit une progression de 74 %. Les superficies récoltées sont passées de 21 313 à 34 150 hectares (+60 %).

La production de la canne à sucre s’est élevée à 278 141 tonnes récoltées sur 4 413 hectares.
Copncernant le sucre blanc, la production issue des plantes sucrières s’est élevée à 281 000 tonnes, en progression de 50 % par rapport à l’exercice précédent.

Ces résultats reflètent la capacité d’adaptation des producteurs et les efforts d’accompagnement technique déployés sur le terrain, affirme le groupe dans son communiqué.

L’introduction progressive de technologies agricoles telles que le suivi par drone, la plateforme numérique Attaissir, le pilotage de l’irrigation et la fertilisation via le Smart Blender a contribué à optimiser les rendements et à améliorer la gestion des ressources hydriques, souligne la même source.

La réussite de la campagne repose sur la coordination entre le Groupe COSUMAR, les associations d’agriculteurs, les Comités Techniques Régionaux du Sucre et les services concernés, contribuant ainsi au maintien de la filière sucrière comme composante importante du développement agricole et économique national.

Programme de la campagne 2025/2026

Pour la campagne en cours, les Comités Techniques Régionaux du Sucre ont arrêté un programme de 60 000 hectares de betterave et 8 000 hectares de canne à sucre, dont 3 000 hectares de nouvelles plantations, en tenant compte de la disponibilité en eau. Les semis ont débuté le 10 septembre 2025 dans les principaux périmètres sucriers.

Les superficies prévues pour la culture de la betterave se répartissent entre Doukkala (15 000 ha), Tadla (15 000 ha), Moulouya (6 000 ha), Gharb (15 000 ha) et Loukkos (9 000 ha).

Le dispositif mis en place pour accompagner la campagne comprend la sécurisation des intrants (semences, engrais, produits phytosanitaires), un préfinancement à hauteur de 500 millions de dirhams, la reconduction de l’appui financier aux agriculteurs et le renforcement de l’encadrement de proximité assuré par 120 conseillers agricoles.

AL

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