La parlementaire istiqlalienne a eu beaucoup de mal à poser sa question, que ce soit en arabe ou en darija. Au-delà du problème de maîtrise de la langue, qui est excusable, on s’interroge plutôt sur le manque de préparation, avant d’intervenir au parlement… Elle aurait pu écrire phonétiquement sa question ou l’apprendre par coeur, ou au pire des cas partager sa question avec un membre de son parti afin qu’il l’a lise dans l’Hémicycle.


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