En cette année 2019, Cosumar fête ses 90 ans. Pour accompagner son développement et renforcer son positionnement, Cosumar a conçu aujourd’hui une plate-forme de marque caractérisée par une signature renouvelée, Partageons le progrès, et une nouvelle identité visuelle : le logo du groupe mentionne désormais son année de création, 1929, confortant son positionnement historique et l’ancienneté de ses expertises.
« La conciliation entre une croissance rentable et un développement durable’’, dit-on auprès de Cosumar pour qui cette nouvelle signature traduit l’orientation renforcée de Cosumar, marque experte et historique, qui accompagne des générations de Marocains depuis 90 ans. Avec elle, le groupe réaffirme son identité autour de son positionnement : celui d’une entreprise citoyenne et créatrice de valeur qui met à la disposition de la filière et des citoyens des solutions et produits qui renforcent la compétitivité des cultures sucrières, améliorent les revenus des agriculteurs et respectent les obligations en termes de qualité, d’approvisionnement, de sécurité et de préservation des ressources naturelles.
La filière sucrière revêt une place stratégique au Maroc. Couvrant les domaines agricole et industriel, la filière génère à l’heure actuelle plus de 5 000 emplois permanents directs et indirects. Elle garantit en outre des revenus à 80 000 partenaires agriculteurs de betterave et canne à sucre. La filière sucrière nationale a conduit plusieurs programmes d’extension de ses capacités et performances, qui lui ont permis d’atteindre une capacité industrielle annuelle de 1,65 million de tonnes de sucre blanc. Assurant une disponibilité qui dépasse les besoins de marché, estimés à 1,2 million de tonnes de sucre par an, le secteur garantit une qualité qui répond aux standards les plus exigeants.
Il poursuit par ailleurs la modernisation de son amont agricole en vue d’atteindre, à l’horizon 2020, un rendement de 11,4 tonnes de sucre/ha pour la betterave à sucre et 8,8 tonnes de sucre/ha pour la canne à sucre et d’assurer 50% des besoins en sucre produit localement au Maroc. Depuis 2015, la culture de la canne à sucre fait également l’objet d’un programme de relance dont l’objectif est de redynamiser le secteur avec un objectif de 19 000 hectares de superficie dédiée en 2019.
H.Z