Placé sous le Haut Patronage du Roi Mohammed VI, le festival est organisé en partenariat avec la préfecture de Safi, l’Association « Les Amis de Thor Heyerdahl », ainsi qu’avec le soutien du Conseil provincial, du Conseil communal et de l’Office chérifien des phosphates (OCP).

Cette manifestation s’inscrit dans le cadre des festivals patrimoniaux mis en place par le ministère en vue de préserver et valoriser le patrimoine immatériel marocain, en particulier la Aita, forme musicale traditionnelle rattachée à différentes régions du pays, explique le communiqué.

Placée sous le thème « Patrimoine musical et industries culturelles », cette édition se penchera sur les spécificités rythmiques de la Aita, tout en mettant en perspective les enjeux liés à la transmission de ce genre à travers les dynamiques des industries culturelles.

Le festival verra la participation de groupes de musique issus de différentes régions du Maroc, représentant la diversité des styles rythmiques de la Aita. Des spectacles artistiques seront également animés par des artistes et des groupes ayant grandement contribué à la valorisation de la Aita aux niveaux local et national.

Parallèlement aux concerts, le programme comprend des spectacles destinés au jeune public, des ateliers de formation, ainsi qu’une exposition collective d’arts plastiques, organisée en collaboration avec des acteurs culturels régionaux. Un hommage sera également rendu à plusieurs figures emblématiques de la musique de la Aita.

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L’événement est organisé par l’Association Arts, Cultures & Créations, en collaboration avec la Faculté des Lettres Aïn Chock (Université Hassan II) et la Société Marocaine des Sciences Médicales.

Cette édition réunira des artistes du Maroc, ainsi que du Canada, de France et de Russie, autour d’une programmation axée sur l’humour sous différentes formes. Au programme figurent des spectacles de stand-up, des one-man shows, des performances de rue, des concerts mêlant humour et musique, ainsi que des projections de films comiques, précise le communiqué.

Le festival proposera également des expositions, des halqas, des masterclass et des ateliers d’initiation. Des activités destinées au jeune public, un concours national de jeunes talents de l’humour et des numéros de magie humoristique sont également prévus.

Le festival rendra également un vibrant hommage à l’ancien ministre Najib Zerouali Ouarti, en reconnaissance de son engagement en faveur de l’art et de la création.

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Pour Ali Boujena, directeur général de l’UACC, ces cent premiers jours témoignent de l’engagement d’un bureau « à l’écoute, proactif et mobilisé », avec pour ligne directrice de « consolider les acquis tout en élargissant les horizons » du secteur.

Dans un contexte de mutation rapide des métiers de la communication, cette nouvelle orientation s’appuie sur une stratégie structurée autour de sept priorités : fédérer l’ensemble des acteurs du marché, produire des données sectorielles fiables, promouvoir l’expertise marocaine à l’international, développer la formation continue, améliorer les conditions d’exercice, encourager l’innovation, notamment autour de l’intelligence artificielle, et inscrire l’action de l’UACC dans la Vision 2030 du Royaume.

Hassan Rouissi, président de l’UACC, a rappelé que cette approche s’inscrit « dans la continuité des précédents bureaux », tout en exprimant une volonté renforcée de positionner l’UACC comme un acteur central dans la transformation du secteur, au service « d’un écosystème transparent, innovant et tourné vers l’avenir ».

Parmi les évolutions marquantes depuis février 2025, l’élargissement de la base de membres : douze nouvelles agences ont rejoint l’Union, portant le total à 53. Une nouvelle campagne d’adhésion est d’ores et déjà prévue pour le dernier trimestre de l’année, avec un accompagnement personnalisé pour intégrer progressivement les nouveaux entrants aux travaux de l’association, a souligné l’UACC.

L’ouverture à l’international constitue un autre levier de développement majeur. L’UACC a intégré deux instances de référence : l’EACA (European Association of Communications Agencies) et VoxComm, réseau mondial des agences-conseils. Ces adhésions offrent un accès direct à des standards internationaux, favorisent une veille sectorielle enrichie et ouvrent des perspectives de collaboration à plus grande échelle.

Sur le plan national, l’UACC poursuit l’intensification de ses liens avec les institutions. Elle a participé aux travaux préparatoires des Assises de la Publicité, initiées par le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, et consolide ses alliances avec des acteurs tels que le Groupement des Annonceurs du Maroc (GAM), Les Impériales, la CGEM, ainsi qu’avec plusieurs établissements d’enseignement supérieur.

Trois enjeux ont particulièrement retenu l’attention lors de la conférence : d’abord la déontologie et la transparence, avec la volonté de renforcer les règles éthiques de la profession et de participer activement à la structuration du marché via les Assises de la Publicité ; ensuite la relation agences–médias, jugée cruciale et perfectible, avec un appel à davantage de concertation notamment par la création d’une commission dédiée ; enfin, l’intelligence artificielle, perçue comme un levier majeur de transformation, mais qui nécessite une montée en compétences des professionnels et une intégration responsable dans les pratiques métiers.

Pour mettre en œuvre ces orientations, l’UACC s’appuie sur un dispositif interne structuré : huit commissions thématiques, activées depuis mars, couvrent des sujets variés tels que le recrutement, les relations institutionnelles, la jeunesse ou encore la production de données. À cela s’ajoute le programme « UACC Level Up », qui propose des sessions de formation autour de thèmes clés comme l’IA, le positionnement de marque ou les enjeux du recrutement dans la filière.

A. Loudni

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Récemment, une vidéo devenue virale a provoqué un choc national : à Tanger, un homme sur une moto est filmé en train de poser la main sur les fesses d’une femme marchant dans la rue avant de prendre la fuite. Un acte aussi humiliant qu’impuni, qui a ravivé les souvenirs d’un autre épisode survenu dans la même ville, où quatre mineurs ont été condamnés à trois ans de prison pour harcèlement collectif.

L’incident d’Agadir en 2015, où deux jeunes femmes ont été harcelées puis arrêtées pour avoir porté une jupe jugée « trop courte », illustre à quel point le respect des libertés individuelles reste un défi majeur au Maroc.

Selon le Haut-Commissariat au Plan, 13 % des Marocaines ont déjà subi une forme de violence dans l’espace public, dont près de la moitié sont des agressions à caractère sexuel.

Une réalité qui persiste, malgré l’existence d’un cadre légal dédié. En effet la loi 103‑13, adoptée en 2018, prévoit des sanctions claires : jusqu’à six mois de prison et 10 000 dirhams d’amende, mais reste encore trop peu appliquée face à l’ampleur du phénomène.

Au-delà de l’indignation qu’ils suscitent, ces faits interrogent notre rapport à l’espace public, au respect de l’autre, et à l’autorité de la loi. Un déficit de civisme que l’on retrouve aussi sur nos routes, où les règles sont trop souvent ignorées : vitesse, non-respect des piétons, des priorités, et des distances de sécurité, usage du téléphone au volant, etc.

Il y a quelques semaines, une vidéo filmée par un touriste britannique de passage au Maroc a fait le buzz sur les réseaux sociaux. On y voit l’homme, visiblement surpris, commenter la conduite des automobilistes marocains dans un rond-point. « Personne ne respecte sa voie !», s’étonne-t-il, alors que plusieurs voitures changent de trajectoire sans clignotant, ou forcent le passage. Cette séquence, à la fois légère et révélatrice, illustre un problème bien plus profond : l’indiscipline routière au Maroc. Plus que de simples infractions, ces comportements traduisent un manque de civisme au quotidien, malgré les efforts fournis par les autorités pour améliorer l’image et la sécurité du pays à l’approche d’échéances majeures.

Le Maroc reste l’un des pays les plus accidentogènes de la région, avec plus de 3 500 décès par an selon les chiffres de l’Agence Nationale de la Sécurité Routière. Chaque jour, environ 10 personnes meurent sur nos routes, un bilan dramatique attestant d’un respect insuffisant voir inéxisqtnt du code de la route.

Face à ces constats, le Maroc a accueilli la Conférence ministérielle mondiale sur la sécurité routière à Marrakech en février  2025, adoptant la Déclaration de Marrakech avec l’OMS, pour s’engager à diviser par deux le nombre de morts sur la route d’ici 2030.

Mais sur le terrain, et dans les classements internationaux, la situation reste préoccupante. Selon une étude du site Travelling for Business, (These are the places you should be most careful driving in, ranked by road safety), publié il y a 4 mois, le Maroc se classe au 4ᵉ rang des pays où la conduite est la moins sûre, avec un indice de sécurité routière de 23,2.

Ce comportement routier, à l’image du harcèlement de rue, témoigne d’une même logique : celle d’une liberté comprise comme l’absence de limites, et non comme une responsabilité partagée.

Or, comment construire une société moderne et attractive si les lois sont vues comme facultatives ?

Le respect des règles, qu’il s’agisse du code de la route ou de  la vie en société, est le socle invisible mais fondamental de toute société avancée! Il conditionne la sécurité, la confiance, mais aussi l’image que projette le pays à l’étranger. Dans un Maroc qui s’ouvre au monde et vise l’excellence organisationnelle pour accueillir des millions de visiteurs lors de la CAN, la Coupe du monde, mais aussi d’autre événements, chaque geste individuel compte. Le civisme n’est pas accessoire : il est stratégique. Il ne suffit pas de construire des stades, des routes ou des hôtels si l’on ne bâtit pas, en parallèle, une culture du respect, de la responsabilité et de l’intérêt général !

Asmaa Loudni

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Cette ouverture s’inscrit dans une stratégie d’expansion sur le territoire national, avec une présence croissante dans les grandes agglomérations, explique l’enseigne dans un communiqué.

En parallèle, l’enseigne a mis en place plusieurs offres estivales, disponibles à la fois sur place et à emporter.

Deux menus à prix fixes sont proposés dans les restaurants, uniquement entre midi et 15 heures. Le premier, baptisé « Combo Twister » (105 dirhams), comprend deux wraps, quatre morceaux de poulet pané, deux portions de frites et deux boissons. Le second, « Royal Rush » (65 dirhams), se compose d’un burger, de quatre strips, d’une frite et d’une boisson. Ces formules sont destinées à la consommation sur place.

Côté vente à emporter, deux autres formules ont été introduites : « Mighty Zinger Crunch » (95 dirhams) et « Régal Bites » (130 dirhams), respectivement conçues pour une ou deux personnes.

Durant toute la saison estivale, une remise de 15 % est également appliquée sur trois menus standards, à condition qu’ils soient commandés à emporter. Une autre opération est en cours dans les établissements dotés de services Drive-Thru : tout achat égal ou supérieur à 120 dirhams donne droit à un coupon pour un burger gratuit, valable lors d’un prochain passage en voiture.

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Créé en 1988, le Festival international de théâtre universitaire de Casablanca se veut un espace d’échange et de formation dédié aux jeunes artistes et aux professionnels du théâtre, tant au niveau national qu’international.

Cette année, le Festival se tient sous le thème « Théâtre et diplomatie artistique et culturelle ». Lors d’une conférence de presse, les organisateurs ont souligné l’importance du dialogue interculturel et annoncé un hommage à deux figures marquantes du festival, dont le comédien Abdelmajid Fnich. Le programme comprend également des ateliers de formation animés par des spécialistes internationaux, portant sur diverses pratiques scéniques comme le théâtre d’image, le masque et la scénographie.

La programmation artistique inclut la participation de plusieurs troupes internationales. Deux compagnies italiennes présenteront la pièce Histoires merveilleuses pour le reste de la vie, issue de l’Académie Civique d’Art Dramatique Nico Pepe. L’Allemagne sera représentée par Les filles de Californie de la troupe Chorus Florenz, tandis que la Tunisie proposera À toi, ma maîtresse, interprétée par la troupe du Centre universitaire des arts dramatiques et des activités culturelles.

Le Maroc sera représenté par six productions issues de diverses institutions universitaires. Parmi elles figure Le malheur de l’intelligence, une pièce de la troupe de la Faculté des Lettres d’Aïn Chock (Casablanca).

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En marge de la compétition officielle, ce rendez-vous culturel proposera une série de concerts gratuits mêlant musique de chambre et grandes œuvres du répertoire symphonique.

À l’affiche, des artistes de renom, membres du jury du concours et l’Orchestre Philharmonique du Maroc offriront au public une programmation éclectique.

Le festival débutera mardi 8 juillet avec un concert de guitare réunissant Benjamin Valette, Pierre Lelièvre et Tania Chagnot autour d’œuvres de Couperin, Scarlatti, Franck, Piazzolla et autres.

Le mercredi 9 juillet, les musiciens Olivier Seube, Guillaume Sigier, Ann-Estelle Medouze, Kacper Nowak et Dina Bensaïd interpréteront des pièces de Bach, Schumann et Mendelssohn. Jeudi 10 juillet, place au duo pianistique avec Dina Bensaïd et Guillaume Sigier dans une suite de Rachmaninoff, suivi d’un récital d’Abdel Rahman El Bacha autour de Mozart et Beethoven. La semaine se conclura vendredi 11 juillet par un grand concert symphonique de l’Orchestre Philharmonique du Maroc dirigé par Omar El Jamali, avec des solistes de premier plan dans des œuvres de Brahms, Ravel, Chopin, Marquez et Popper.

Il est à noter que tous les concerts sont ouverts au public dans la limite des places disponibles.

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Organisé sous le thème «Accompagner les familles dans leur navigation du monde numérique», l’événement a connu la participation de Myriam Bahri, psychothérapeute et membre du Conseil consultatif sur la sécurité de TikTok pour la région MENAT,  le Dr Youssef Bentaleb, président fondateur du Centre Marocain de Recherche Polytechnique et d’Innovation et directeur d’Espace Maroc Cyberconfiance ainsi que Myriam Ezzakhrajy, consultante en éducation aux médias.

Les échanges ont porté sur plusieurs problématiques rencontrées par les familles, telles que la gestion du temps d’écran chez les adolescents, la prévention du harcèlement en ligne, ou encore les pressions sociales liées à l’usage des réseaux sociaux. Les panélistes ont partagé des stratégies pour aider les parents à aborder ces sujets avec leurs enfants et favoriser un usage plus encadré du numérique.

« Les parents ont souvent l’impression d’être à la traîne par rapport à des technologies que leurs adolescents maîtrisent déjà, mais l’objectif n’est pas de devenir des experts du jour au lendemain. Il s’agit de rester connecté avec son adolescent et de comprendre son monde numérique », a expliqué Myriam Bahri. Elle a également souligné que les outils de sécurité mis en place doivent encourager le dialogue autour des limites et habitudes numériques.

Le Dr Youssef Bentaleb a pour sa part estimé que « Impliquer les familles dans le débat national sur la sécurité numérique et le bien-être des jeunes est à la fois opportun et essentiel ». Il a salué l’introduction d’outils de sécurité adaptés au contexte local, tout en précisant : « Ces fonctionnalités soutiennent non seulement les parents dans l’orientation et la protection de leurs adolescents, mais elles contribuent aussi à favoriser un dialogue plus constructif et ouvert au sein des familles sur l’engagement numérique responsable ».

Myriam Ezzakhrajy a insisté sur l’importance de la responsabilité partagée : « Protéger nos ados contre les effets néfastes d’une mauvaise utilisation des plateformes digitales et des réseaux sociaux est une responsabilité collective, une responsabilité citoyenne qui concerne toute la communauté éducative, les parents en premier lieu, les acteurs du numérique et des médias et bien sûr les pouvoirs publics ».

TikTok a profité de cette rencontre pour présenter de nouvelles fonctionnalités de sécurité, ajoutées à son « Mode Connexion Famille » lancé en 2020. Parmi elles : « Time Away », qui permet aux parents de définir des plages horaires sans écran, « Family Pairing », qui leur donne accès aux interactions sociales de leurs enfants, « Wind Down », accompagnés de musique relaxante aux utilisateurs mineurs après 22h afin d’encourager la déconnexion, et enfin « les limites de temps d’écran », configurables selon les besoins.

TikTok a également mis en avant son Fil STEM, un flux de contenus éducatifs portant sur les sciences, la technologie, l’ingénierie et les mathématiques, accessible dans plus de 100 pays.

A. Loudni

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Cette rencontre a permis de présenter une synthèse du rapport d’activité 2024, de dresser un état des lieux des concours à l’économie, de l’environnement législatif et réglementaire des métiers du financement, ainsi que de l’action professionnelle menée par l’Association au cours de l’année écoulée et des premiers mois de 2025.

Selon les données communiquées, les sociétés de financement ont mobilisé plus de 225 milliards de dirhams à fin décembre 2024, en hausse de 5,6 % par rapport à l’année précédente.

L’année a été marquée par la promulgation de la loi sur les Bureaux d’Information sur le Crédit (BIC), qui permettra aux établissements de financement d’accéder à des données non financières, dans une optique de renforcement de la maîtrise du risque et de prévention du surendettement.

Sur le plan de l’action professionnelle, l’APSF a poursuivi ses concertations avec plusieurs institutions, notamment Bank Al-Maghrib, le ministère de la Justice, la NARSA, la TGR, la DGI, la CMR et le RCAR. Ces échanges ont porté sur des questions transversales telles que la digitalisation des procédures judiciaires via la plateforme Tabadoul, la mise en œuvre du Registre National Électronique des Sûretés Mobilières, l’élaboration d’un Registre Central des Crédits, ou encore la dématérialisation des procédures d’enregistrement des nantissements et d’authentification des mainlevées, opérationnelle depuis novembre 2024. Des actions ciblées ont également été menées pour chaque métier. En crédit-bail, l’APSF a travaillé sur le mode de gestion de la TSC, désormais confiée à la DGI.

En factoring, les échanges ont porté sur la définition d’une stratégie nationale de financement de la chaîne d’approvisionnement, en lien avec le ministère de l’Économie et la SFI. En crédit à la consommation, la profession a poursuivi ses travaux autour de trois axes : la protection des emprunteurs, l’amélioration des échanges avec la CMR et le RCAR, et la généralisation des conventions de précompte.

Un code éthique encadrant l’intermédiation en opérations de crédit a également été adopté dans le cadre des travaux menés avec Bank Al-Maghrib. L’Assemblée a également été marquée par les témoignages de bénéficiaires des bourses accordées par l’APSF en partenariat avec Jadara Foundation, la Banque Alimentaire et l’association Les Rangs d’Honneur, dans le cadre de l’Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH).

AL

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À cette occasion, l’ambassadeur de Turquie au Maroc, Mustafa İlker Kılıç, a souligné l’apport fondamental de Turkish Airlines dans le développement des relations turco-marocaines depuis 2005. La compagnie dessert actuellement Casablanca et Marrakech, tout en connectant le Maroc à un vaste réseau de plus de 353 destinations dans 131 pays, faisant d’elle la première au monde en nombre de destinations desservies.

Au-delà de l’aspect logistique, le diplomate a mis en lumière les retombées humaines et culturelles de cette connectivité : chaque année, 250 000 Marocains visitent la Turquie, 70 000 Turcs viennent au Maroc, environ 50 000 Marocains vivent en Turquie, et près de 5 000 étudiants poursuivent leurs études dans des universités turques. Il a également salué le rôle de Turkish Airlines dans le renforcement des échanges économiques bilatéraux, qui avoisinent aujourd’hui les 5 milliards de dollars, ainsi que les investissements turcs au Maroc, estimés à un milliard de dollars. La compagnie agit également comme vecteur culturel, notamment à travers son soutien à des événements tels que le Festival de Fès des musiques sacrées du monde.

Dans le cadre de cette célébration, un protocole d’accord a été signé entre Turkish Airlines et l’Office National Marocain du Tourisme (ONMT). Cet accord vise à promouvoir conjointement la destination Maroc sur les marchés à fort potentiel à travers la mobilisation de moyens aériens, promotionnels et médiatiques.

Le Directeur Général de l’ONMT, Achraf Fayda, a mis en avant l’importance de ce partenariat pour l’avenir du tourisme marocain. Il a salué le rôle de Turkish Airlines comme acteur majeur de la connectivité internationale, capable de relier efficacement différentes régions du globe à partir de son hub d’Istanbul. Cette force constitue, selon lui, un levier essentiel pour attirer des visiteurs au-delà du marché européen, notamment en Asie, en Amérique du Nord, en Amérique latine et en Eurasie.

« Pour le Maroc, ce partenariat est stratégique, car Turkish Airlines permet d’ouvrir la destination Maroc à des marchés au-delà de l’Europe, notamment en Asie, en Eurasie, en Amérique du Nord et en Amérique latine », a souligné M. Fayda.

Cette ambition s’inscrit dans la stratégie touristique nationale 2026-2030, dans la perspective de la Coupe du Monde 2030 que le Maroc co-organisera avec l’Espagne et le Portugal. Pour faire face à cette échéance, le Royaume investit fortement dans ses infrastructures : la capacité des aéroports passera de 32 à 74 millions de passagers d’ici 2029, et les capacités hôtelières seront doublées, a précisé le DG de l’ONMT. En 2023, le Maroc a accueilli 17,4 millions de touristes, devenant la première destination touristique en Afrique, avec l’objectif d’atteindre puis de dépasser les 26 millions de visiteurs à l’horizon 2030.

Dans ce contexte, Achraf Fayda a appelé Turkish Airlines à jouer un rôle central dans la diversification des marchés touristiques du Royaume et le renforcement de sa connectivité mondiale.

À l’occasion de cette célébration, Turkish Airlines lance une campagne promotionnelle avec une réduction de 20 % sur plus de 150 destinations dans 20 pays. Une remise spéciale de 15 % est également offerte aux Marocains résidant en Turquie pour leurs voyages vers le Maroc. En hommage à Ibn Battouta, la compagnie met en jeu 20 billets gratuits, à gagner via un tirage au sort sur ses réseaux sociaux, pour voyager vers des destinations emblématiques du célèbre explorateur.

Une campagne promotionnelle avec une réduction de 20 % sur plus de 150 destinations dans 20 pays, est lancé par la compagnie à l’occasion de cette célébration. Une remise spéciale de 15 % est également offerte aux Marocains résidant en Turquie pour leurs voyages vers le Maroc. En hommage à Ibn Battouta, Turkish Airlines met en jeu 20 billets gratuits, à gagner via un tirage au sort sur ses réseaux sociaux, pour voyager vers des destinations emblématiques du célèbre explorateur.. Une remise spéciale de 15 % est également offerte aux Marocains résidant en Turquie pour leurs voyages vers le Maroc. En hommage à Ibn Battouta, la compagnie met en jeu 20 billets gratuits, à gagner via un tirage au sort sur ses réseaux sociaux, pour voyager vers des destinations emblématiques du célèbre explorateur.

Asmaa Loudni

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L’événement a permis de mettre en lumière les leviers sur lesquels le groupe fonde sa vision de la beauté de demain.

La rencontre a notamment mis l’accent sur l’importance de la science dans la conception des produits cosmétiques. Avec plus de 4 000 chercheurs à travers le monde, répartis dans une vingtaine de centres de recherche, L’Oréal se positionne comme l’un des plus importants pôles de R&D de l’industrie cosmétique. Le groupe dépose environ 600 brevets chaque année et dispose d’un portefeuille de 130 molécules propriétaires, illustrant l’intensité de son activité scientifique.

Présente au Maroc depuis 1943, L’Oréal a rappelé lors du workshop son attachement au marché local, où il opère aujourd’hui avec 19 marques internationales. L’entreprise y voit un terrain stratégique pour développer une beauté plus inclusive et durable, en tenant compte des spécificités culturelles, climatiques et biologiques de la population marocaine.

L’un des axes abordés a concerné les innovations dans le domaine de la peau humaine reconstruite, technologie que L’Oréal utilise depuis plus de 40 ans pour remplacer les tests sur animaux. Cette approche, basée sur l’étude approfondie de la biologie de la peau, permet de concevoir des produits plus sûrs, mieux tolérés, et potentiellement utiles au-delà du champ cosmétique, notamment en dermatologie ou en médecine régénérative.

La présentation a également mis en lumière la transition vers une beauté davantage axée sur le bien-être et la santé, à travers une approche holistique et personnalisée. Les interventions ont souligné les efforts du groupe en matière d’éco-conception, de réduction des impacts environnementaux, et d’usage des nouvelles technologies, comme l’intelligence artificielle, pour proposer des diagnostics cutanés ou capillaires individualisés.

Le workshop a permis de présenter plusieurs données et exemples de projets en cours, en lien avec les évolutions du marché, notamment la demande croissante pour des produits plus éthiques, transparents et adaptés à des besoins diversifiés.

AL

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Cette joint-venture à parts égales s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale marocaine de transition énergétique et des objectifs liés à la décarbonation, à la souveraineté énergétique et au développement durable.

Le parc éolien vise à fournir de l’électricité à l’ensemble des filiales du groupe YNNA et devrait avoir un impact environnemental et socio-économique à l’échelle locale et nationale.

Selon Mama Tajmouati, Présidente Directrice Générale du groupe YNNA, ce partenariat s’inscrit dans la démarche du groupe en matière de transition énergétique.

« Au-delà de la performance industrielle, c’est un acte concret pour un avenir durable, aligné avec les ambitions du Royaume » précise-t-il.

« Ce partenariat stratégique avec le groupe YNNA vise à délivrer un projet d’envergure au Maroc, pays frère des Emirats Arabes Unis. Ce projet s’inscrit pleinement dans notre engagement à développer des solutions énergétiques durables, accessibles et à fort impact local. Le Maroc est un marché clé pour AMEA Power, et nous sommes déterminés à continuer à y augmenter notre exposition, à travers des investissements structurants» indique  de son côté Hussain Al Nowais, Président d’AMEA Power.

Le projet prévoit de tirer parti du potentiel éolien de la région de Laâyoune, et devrait éviter l’émission de plus de 330 000 tonnes de CO₂ par an. Les travaux de construction devraient débuter fin 2025, pour une mise en exploitation en 2027.

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Cette ouverture s’inscrit dans le cadre du développement des services proposés par le groupe, en lien avec sa stratégie d’accès aux soins oncologiques.

Le Centre d’Oncologie Majorelle, en activité depuis 2016, propose une prise en charge spécialisée pour les patients atteints de cancer. L’extension actuelle comprend plusieurs départements, notamment la radiothérapie et la médecine nucléaire. Le service de radiothérapie dispose de deux accélérateurs linéaires : l’un destiné à la radiothérapie stéréotaxique, l’autre, un modèle Halcyon, est équipé du système RT Vision permettant la technique SGRT (Surveillance en temps réel des mouvements du patient). Le centre est également doté du système de contourage automatique Syngovia, basé sur l’intelligence artificielle. Le département de médecine nucléaire est pour sa part équipé d’un PET-Scanner Siemens MCT et d’un système de scintigraphie gamma caméra.

« Il s’agit d’une étape technologique majeure dont nous sommes particulièrement fiers, témoignant de l’engagement constant de notre centre en faveur de l’innovation et de l’excellence en soins », souligne Dr Amarouch, Directeur Médical du Centre d’Oncologie Majorelle.

Pour sa part, Dr Sara El Issami, Responsable du Département de Médecine Nucléaire du Centre déclare : « L’ouverture de ce département est un jalon essentiel pour notre centre et pour toute la région. Elle représente une avancée concrète vers une prise en charge plus personnalisée, plus fine et plus réactive des patients atteints de Cancer ».

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La sélection de ce projet s’inscrit dans le cadre de la stratégie du Centre Cinématographique Marocain (CCM), dirigé par Abdelaziz Bouzdaini, visant à soutenir le développement du secteur de l’animation au Maroc. Après une première présence officielle en 2024, la délégation marocaine revient à Annecy avec plusieurs acteurs de la filière : studios, réalisateurs et producteurs.

Harun & Mamun est un court métrage en stop motion d’une durée de 13 minutes, actuellement en développement. Il met en scène un père et son fils confrontés à une catastrophe imminente dans un décor urbain inspiré de Casablanca. Le récit explore les tensions familiales à travers une esthétique visuelle marquée et une narration axée sur l’émotion.

Le projet est en cours de fabrication au sein du premier studio marocain de stop motion récemment installé à la Flow Motion School. Ce développement s’appuie sur une collaboration entre le Festival Animasyros, l’Institut Français du Maroc, le CCM, ainsi qu’Artcoustic, avec le soutien de réalisateurs internationaux.

La présentation officielle du projet a eu lieu le 12 juin à l’Impérial Palace, dans le cadre du programme Pitches Partenaires Animasyros. Harun & Mamun a été retenu parmi les cinq meilleurs projets sélectionnés pour cette édition, suscitant l’intérêt de plusieurs institutions du secteur de l’animation, dont le CNC et CITIA. Des personnalités telles que Matt Groening (The Simpsons), Ron Clements(Aladdin, La Petite Sirène), Kristof Serrand (Astérix) ou Gints Zilbalodis (Flow) ont également échangé avec l’équipe du film.

Parallèlement, un autre projet marocain, Malik de Khalid Nait Zlay, fait actuellement l’objet de discussions de coproduction impliquant des partenaires du Maroc, de la France et du Canada. Ces négociations, entamées lors du dernier Festival de Cannes, s’inscrivent dans une dynamique plus large de coopération internationale dans le domaine de l’animation.

Enfin, un réseau panafricain baptisé « Africa and Diaspora Animation », rassemblant une cinquantaine de membres issus de divers pays, est en cours de structuration. Cette initiative vise à renforcer les collaborations entre les professionnels africains de l’animation et les talents issus de la diaspora.

Parmi les perspectives structurantes à venir, la création d’un hub africain baptisé « Africa and Diaspora Animation » est en cours. Ce réseau, qui compte déjà plus de 50 membres de divers pays africains, vise à renforcer la coopération panafricaine, encourager les échanges de compétences et connecter les talents de la diaspora aux professionnels du secteur sur le continent, soulignent les partenaires du projet.

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Ce service permet aux utilisateurs d’envoyer de l’argent à des bénéficiaires situés partout au Maroc, sans avoir à se déplacer, via un ordinateur ou un smartphone. Les fonds peuvent être retirés dans l’une des agences Wafacash sur présentation d’une pièce d’identité valide et du code de transfert.

Ce service est accessible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Le transfert peut être effectué à tout moment, et les fonds sont disponibles immédiatement pour le bénéficiaire, explique-t-on auprès de la banque.

“Nous sommes fiers d’offrir à nos clients une solution qui leur permet d’envoyer de l’argent simplement, sans contrainte géographique ni horaire. Ce lancement marque un tournant important dans notre stratégie. Nous souhaitons offrir à nos clients des services adaptés à leur quotidien, accessibles partout, à tout moment et sur tous les canaux,” déclare M. Abdesslam Bouirig, Directeur Général de Wafacash.

Cr nouveau permet à toute personne disposant d’une carte bancaire d’effectuer un transfert depuis le site www.wafacash.com. Le bénéficiaire peut ensuite retirer l’argent dans l’une des agences Wafacash ouvertes 6 jours sur 7, de 9h à 20h30, ou choisir de recevoir le montant sur le wallet Jibi.

Ce service s’inscrit dans une démarche visant à élargir l’accès aux services financiers, en proposant une solution numérique disponible à l’échelle nationale, souligne le groupe.

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Cette initiative s’inscrit dans la stratégie de repositionnement de la marque Sofitel au Maroc.

« Nous sommes ravis de dévoiler ces deux nouvelles adresses qui incarnent parfaitement l’esprit Sofitel : un équilibre entre sophistication française et ouverture sur le monde, tout en célébrant les richesses culturelles locales », a déclaré Alaa Squalli, Directeur Général, Sofitel Casablanca.

Min Koy, dont le nom évoque la carpe koi, propose une cuisine japonaise contemporaine dans un cadre inspiré des maisons traditionnelles nippones. Le restaurant, qui compte une quarantaine de couverts, met l’accent sur une ambiance épurée, des matériaux naturels et une carte inspirée des izakaya ((bistrots japonais), combinant sushis, sashimis et petites assiettes à partager.

Min Koy est ouvert tous les jours pour le déjeuner et le dîner.

De son côté, Brasserie Flâneur Casablanca s’inspire des brasseries parisiennes et des clubs londoniens, avec un espace de 60 couverts répartis entre salle principale et alcôves. La carte combine des classiques internationaux tels que le club sandwich ou le risotto, en plus de spécialités marocaines. Le lieu propose également un brunch hebdomadaire et un tea time quotidien. L’ambiance évolue au fil de la journée, avec de la musique jazz en journée à une atmosphère plus rythmée en soirée.

Les deux établissements sont dirigés par des chefs aux parcours internationaux. Avec plus de 20 ans d’expérience au sein d’établissements prestigieux tels que Four Seasons, Conrad, et Alila Resorts, Federico Navarro Casupanan, à la tête de Min Koy, a dirigé l’ouverture de nombreux restaurants emblématiques, dont le 99 Sushi Bar au Conrad Arzana Rabat ou encore Umami aux Maldives. Mohamed Abaragh, en charge de Brasserie Flâneur, s’est formé auprès de chefs renommés comme Fabrice Vulin et Alain Ducasse et a exercé dans des établissements prestigieux, combinant influences françaises et marocaines.

Ces ouvertures marquent une étape dans la transformation de l’hôtel, situé près de l’ancienne médina de Casablanca et doté de 171 chambres et suites.

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Destiné au jeune public et aux familles, cet événement propose un programme de projections de films pour enfants, avec un tarif unique fixé à 25 dirhams par séance.

La programmation, qui sera dévoilée très prochainement, proposera une sélection de films emblématiques du cinéma pour enfant, affirment les organisateurs. En parallèle des projections, des activités seront organisées dans les halls des cinémas participants. Celles-ci incluront des ateliers, des animations et d’autres formes de divertissement destinées aux enfants, avec de nombreux cadeaux à la clé pour les enfants et leurs accompagnateurs.

Selon les organisateurs, cette initiative s’inscrit dans une volonté de favoriser l’accès au cinéma pour un large public, en particulier les jeunes, tout en proposant un cadre familial pour la découverte ou la redécouverte d’œuvres cinématographiques.

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L’organisation, habituellement engagée dans la promotion de la musique classique à travers des tournées et des productions de haut niveau, n’a pas été en mesure de maintenir cet événement annuel. En dépit de cette annulation, la Fondation et l’Orchestre Philharmonique du Maroc proposeront une série de concerts gratuits à Rabat du 7 au 12 juillet 2025, en marge du Concours National de Musique du Maroc. Ce festival comprendra plusieurs soirées de musique de chambre, avec notamment des œuvres de Bach, Schumann, Mendelssohn, Rachmaninoff, Mozart et Beethoven, interprétées par des musiciens tels que Benjamin Valette, Olivier Seube, Dina Bensaïd ou encore Abdel Rahman El Bacha. Un concert symphonique viendra clore l’événement le 11 juillet, avec au programme des pièces de Brahms, Popper, Ravel, Chopin et Arturo Márquez, sous la direction d’Omar El Jamali.

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Organisé par la Fondation Jadara et l’Union Panafricaine de la Jeunesse, l’événement se présente comme un espace de dialogue politique, économique et social, visant à proposer des réponses concrètes à la marginalisation de millions de jeunes sur le continent, soulignent les organisateurs.

L’objectif est de considérer les jeunes NEETs non plus comme une charge économique, mais comme des acteurs potentiels de développement, d’innovation et de stabilité sociale, affirme la même source.

Plusieurs parties prenantes sont attendues à cet événement : institutions publiques, ONG locales et internationales, bailleurs de fonds, diplomates et entreprises, avec pour objectif de faire émerger des projets portés par et pour les jeunes, susceptibles d’avoir un impact durable et mesurable.

Le programme du sommet prévoit des formats variés : sessions de haut niveau, ateliers collaboratifs, forums d’échange d’expériences, rencontres entre acteurs publics et privés, et dialogues politiques. Il s’agit de fournir aux jeunes des outils concrets et un accès à des réseaux de soutien, plutôt que de limiter les échanges à des déclarations d’intention.

L’initiative s’appuie sur une approche intégrée de l’autonomisation : appui aux ONG locales, amélioration de l’accès au financement à impact, promotion de partenariats public-privé équitables, et reconnaissance de la voix des jeunes dans les espaces diplomatiques. Le sommet prévoit également le lancement de projets structurants, comme la création d’un guide multilingue de bonnes pratiques pour l’insertion socio-économique des jeunes.

À l’issue de la rencontre, l’Union Panafricaine de la Jeunesse mènera une campagne de plaidoyer auprès des 54 États africains, en s’appuyant sur les recommandations issues des travaux du sommet. Cette démarche vise à encourager l’adoption de politiques inclusives ciblant les jeunes NEETs, avec pour objectif la mise en place de programmes concrets, financés et intégrés aux politiques publiques, expliquent les organisateurs.

AL

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« L’intérim n’est plus un simple outil de remplacement, c’est un levier stratégique de performance pour les entreprises. Chez Groupe MCE, nous mettons notre expertise et notre technologie au service d’une vision moderne, éthique et durable du capital humain », déclare Adam Makhloufi, Directeur Général du Groupe MCE.

Présent dans plusieurs secteurs de l’économie marocaine tels que l’industrie, le BTP, la logistique, l’agroalimentaire et les services, le groupe s’appuie sur un réseau national étendu et des relais en Afrique pour répondre aux besoins des entreprises en matière de flexibilité du travail.

MCE affirme fournir des profils opérationnels pour des missions spécifiques, en conformité avec les cadres réglementaires en vigueur.

Dans un contexte économique en mutation, marqué par des cycles d’activité courts, l’entreprise présente l’intérim comme une solution adaptée à la gestion des variations de charge.

Le groupe a également engagé une transformation numérique avec la mise en place d’une plateforme RH sur le cloud, visant à améliorer le suivi des intérimaires et la transparence des opérations. Soutenu par le groupe M&M, dont le chiffre d’affaires annuel dépasse les 800 millions de dirhams, MCE poursuit par ailleurs une stratégie d’expansion à l’échelle africaine, avec l’ambition d’« accompagner les grandes transformations économiques du continent avec des solutions RH sur mesure ».

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Cette nouvelle œuvre met en scène neuf danseuses, sélectionnées pour leur présence scénique et leur maîtrise technique, dans une chorégraphie circulaire influencée par le hip-hop et la danse contemporaine.

Le titre FÊU fait référence à un élément naturel chargé de symboles : à la fois destructeur et porteur de lumière, il est aussi associé à la convivialité ancestrale. La mise en scène s’appuie sur une physicalité intense et une rythmique marquée par les percussions, transformant l’espace en un lieu de mouvement continu.

La pièce s’inscrit dans le cadre de la Saison culturelle 2024-2025 de l’Institut français du Maroc, consacrée aux éléments naturels, et sera présentée dans plusieurs villes : Tanger (19 juin), Meknès (21 juin), Kénitra (24 juin), Casablanca (26 juin), El Jadida (28 juin) et Rabat (1er juillet). Chorégraphe formé aux sciences sociales et à la danse en France, Fouad Boussouf est le fondateur de la Compagnie Massala et dirige depuis 2022 « Le Phare »,  Centre chorégraphique national du Havre Normandie. Son parcours artistique est marqué par un travail autour du corps en mouvement, du collectif et du croisement des disciplines.

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L’ordre affirme avoir exprimé, dans des correspondances adressées à plusieurs autorités administratives, son inquiétude face à une recrudescence des pratiques dentaires illégales, souvent menées dans des locaux ne répondant pas aux normes d’hygiène et de sécurité sanitaire.

Selon l’ONMD, ces interventions sont effectuées par des individus dépourvus de toute formation académique reconnue, exposant les citoyens à de graves risques de santé. Des incidents impliquant des surdosages médicamenteux, des infections liées à des conditions insalubres, ou encore des cas d’invalidité, voire de décès, ont été rapportés dans les médias et documentés par les tribunaux, affirme la même source.

Le cadre légal encadrant la profession de chirurgien-dentiste au Maroc impose notamment l’obtention d’un doctorat en médecine dentaire, l’inscription au tableau de l’Ordre et la détention d’autorisations spécifiques pour l’usage de certains équipements ou produits médicaux. Ces exigences sont publié dans plusieurs textes de loi, dont la loi n° 07.05 relative à l’Ordre, la loi 31.08 sur la protection du consommateur, et la loi 84.12 sur les dispositifs médicaux.

Malgré des campagnes de sensibilisation et des opérations de contrôle menées par les autorités, le phénomène persiste. Des établissements non agréés, parfois désignés comme « fabricants de prothèses dentaires », continuent d’accueillir des patients pour des soins considérés comme illégaux. D’après l’ONMD, ces structures se trouvent dans des zones densément fréquentées, et leur fréquentation s’explique en partie par une méconnaissance des risques encourus par le public.

Le contexte revêt un enjeu particulier à l’approche d’événements internationaux prévus au Maroc, alors que le pays cherche à se positionner comme une destination pour le tourisme médical et esthétique. Des ambassades étrangères auraient même, selon l’Ordre, diffusé des mises en garde à l’attention de leurs ressortissants concernant certains soins dentaires dispensés en dehors du circuit officiel.

Dans le cadre de la réforme du système de santé, le gouvernement a entrepris d’élargir l’offre de formation, portant à onze le nombre de facultés de médecine dentaire, explique l’orde dans son communiqué. L’objectif annoncé est de garantir, à terme, une couverture suffisante en professionnels qualifiés, capables d’assurer des soins conformes aux standards réglementaires et éthiques.

Face à cette situation, l’ONMD appelle à un renforcement des contrôles sur le terrain et à la fermeture des établissements exerçant sans autorisation. L’Ordre demande égalenent que les prothésistes dentaires respectent le périmètre de leur activité, limitée à la fabrication de dispositifs sur prescription médicale, sans réalisation d’actes cliniques ni accueil de patients.

AL

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Cet accord permet à Volkswagen d’accéder au portefeuille de brevets d’OPPO relatifs aux normes cellulaires, y compris la 5G. Il concerne l’intégration de ces technologies dans les véhicules connectés de Volkswagen à l’échelle internationale.

« Nous sommes heureux d’initier cette collaboration avec Volkswagen à travers cet accord de licence de brevets », a déclaré Vincent Lin, directeur des licences de propriété intellectuelle chez OPPO. « Cet accord reflète non seulement la position d’OPPO en tant que leader dans l’innovation des technologies cellulaires, mais aussi notre volonté de contribuer à un écosystème de propriété intellectuelle solide, pérenne et favorable à l’innovation et au développement de l’industrie. »

De son côté Robin Cefai, Chief IP Licensing Officer chez Volkswagen a précisé que « ce partenariat avec OPPO s’inscrit dans l’approche de Volkswagen concernant la gestion de la propriété intellectuelle et la recherche de solutions durables. 

Il s’agit du premier accord de ce type entre OPPO et un constructeur automobile. Il marque une extension de l’utilisation des technologies cellulaires d’OPPO au-delà du secteur des smartphones, notamment vers l’industrie automobile, explique la marque. Selon la plateforme LexisNexis IPlytics, OPPO occupait en janvier 2025 la huitième position mondiale en matière de solidité de son portefeuille de brevets 5G, avec une couverture dans plus de 40 pays et régions.

En mars 2025, OPPO comptait plus de 113 000 demandes de brevet déposées et plus de 62 000 brevets accordés dans le monde. L’entreprise poursuit ses activités dans plusieurs domaines technologiques, notamment la 5G/6G, l’intelligence artificielle, la recharge rapide, ainsi que l’imagerie et la vidéo.

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Organisé par l’association AVEMPACE en partenariat avec le New Orleans Jazz Museum, le festival se tiendra à l’Automobile Club du Maroc, affirment les organisateurs dans leur communiqué. La programmation comprend trois soirées mêlant concerts, master classes, parades et performances collaboratives.

Parmi les artistes invités figurent James Andrews, Dr Michael White et Mahmoud Chouki, originaires de La Nouvelle-Orléans, ainsi que des musiciens marocains comme Adil Chrafi et Alaa Zouiten. D’autres artistes, dont Alfred Jordan, Martin Masakowski, Greg Stanford et Detroit Brooks, prendront également part aux prestations.

Selon les organisateurs, CasaNola s’inscrit dans le cadre du programme Jazz International du New Orleans Jazz Museum, qui vise à promouvoir le jazz comme forme de dialogue culturel. L’événement met également en lumière les relations diplomatiques et culturelles entre le Maroc et les États-Unis, axées sur la coopération dans les domaines culturels, éducatifs et artistiques, affirme la même source.

« CasaNola n’est pas simplement un festival, mais un véritable pont culturel, reliant musiciens, éducateurs et publics des deux rives de l’Atlantique », a souligné la Consule Générale des États-Unis à Casablanca, Marissa Scott Torres.

Le directeur du New Orleans Jazz Museum, Greg Lambousy, a pour sa part mis en avant l’aspect collaboratif du projet, en lien avec les valeurs portées par le jazz.

En complément des concerts, le festival proposera des démonstrations culinaires, des ateliers artistiques et des master classes ouvertes au public ainsi qu’aux professionnels, dans le but d’explorer les croisements entre les traditions marocaines et néo-orléanaises.

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À l’occasion des matchs amicaux face à la Tunisie (6 juin) et au Bénin (10 juin), des milliers de supporters se sont déplacés, souvent depuis les villes voisines, pour assister à la rencontre tant attendue avec Achraf Hakimi et ses coéquipiers. Mais pour beaucoup, l’enthousiasme s’est rapidement mué en frustration.

Munis de billets achetés légalement, de nombreux supporters se sont vu refuser l’entrée au stade, les accès étant bloqués bien avant le coup d’envoi. La raison avancée ? Le stade était déjà plein. Une situation incompréhensible pour ceux qui avaient fait le déplacement avec des tickets en main. Les vidéos relayées sur les réseaux sociaux montrent des files d’attente chaotiques, des bousculades à l’entrée et des spectateurs excédés par le désordre.

Ce retour de l’équipe nationale dans une ville aussi symbolique que Fès, qui en plus accueille des matchs de la CAN, devait être une fête populaire. Il s’est transformé en scandale. L’absence de coordination entre les services de sécurité, les organisateurs et les responsables de la billetterie a révélé des lacunes majeures dans la gestion de l’événement. La colère est d’autant plus vive que ces matchs étaient présentés comme un test grandeur nature avant la Coupe d’Afrique des Nations 2025, que le Maroc accueillera dans quelques mois.

Ces incidents posent une question cruciale : le pays est-il vraiment prêt à accueillir la CAN dans les meilleures conditions ? À Fès, ce ne sont pas seulement les capacités d’accueil qui ont fait défaut, mais toute une chaîne de responsabilités, de la distribution des billets à l’organisation des accès au stade.

À l’heure où le Maroc ambitionne d’être un hôte exemplaire pour la CAN et un pilier de la co-organisation de la Coupe du Monde 2030, ces incidents vus à Fès ne peuvent être ignorés.

Ils doivent au contraire être le point de départ d’une remise à niveau urgente, tant sur le plan de la logistique que de la gestion des foules et de la communication avec les supporters.

Organiser une CAN n’est pas qu’une question d’infrastructure : c’est aussi la capacité à offrir aux spectateurs, aux joueurs et aux partenaires un cadre fiable, sécurisé et digne d’un événement international !

A. Loudni

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Placé sous le thème « Performance, innovation, responsabilité : faites le choix durable ! », le congrès entend explorer les liens entre compétitivité économique et engagement sociétal, affirment les organisateurs. Il réunira des décideurs, des experts nationaux et internationaux, ainsi que des représentants du secteur public, dans le but de favoriser les échanges autour de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) et des grandes transitions économiques et écologiques, souligne la même source.

Le programme prévoit six plénières thématiques traitant de la gouvernance responsable, de la transition énergétique et de la décarbonation, de l’économie circulaire, de l’inclusion sociale et du développement du capital humain, du financement à impact, ainsi que de la compétitivité durable à travers les critères ESG (environnement, social, gouvernance). L’événement s’inscrit dans un contexte marqué par des enjeux croissants liés à la durabilité des modèles économiques et à l’adaptation des entreprises aux défis climatiques et sociaux.

En marge des débats, le congrès proposera plusieurs temps forts, dont la quatrième édition du concours « Tech Talents », consacré aux startups marocaines œuvrant pour un impact social ou environnemental, ainsi que la remise du « Trophée de l’Entreprise engagée RSE » pour distinguer des initiatives exemplaires en matière de transformation durable.

Un espace d’exposition, le « Village RSE » rassemblera également entreprises, startups et institutions autour de projets technologiques, écologiques ou sociaux. Des initiatives locales et régionales y seront présentées, notamment des projets pilotes illustrant des démarches concrètes de développement durable.

AL

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Ce projet musical, organisé par l’Institut français du Maroc, sera présenté dans plusieurs villes : Agadir, Essaouira, El Jadida, Kénitra, Meknès, Fès, Tétouan et Tanger.

Intitulé Abda, le premier album du duo puise dans le répertoire de l’Aïta, un genre musical traditionnel marocain, pour en proposer une relecture contemporaine à travers des sonorités électroniques. L’Aïta, apparue au XIIe siècle dans les zones rurales, est historiquement portée par les Cheikhates, « femmes poétesses et chanteuses, véritables gardiennes de la mémoire collective ».

Le projet mêle textes poétiques, arrangements modernes et éléments de la musique populaire marocaine.

Widad Mjama, présente sur la scène artistique depuis plusieurs années et cofondatrice du groupe N3rdistan, mêle sa formation en arts du spectacle à une voix marquée par ses convictions et ses racines culturelles.

Khalil EPI, de son côté, apporte une musique influencée par le jazz, les traditions arabes et des sons venus du monde entier.

L’album Abda, du nom d’une région marocaine considérée comme un berceau de l’Aïta, comprend neuf morceaux qui reflètent cette volonté de transmission et de renouvellement du patrimoine musical.

La tournée, organisée en partenariat avec Hitradio, fera étape à Agadir le 13 juin à 20h à l’Institut français, à Essaouira le 14 juin à 20h à Dar Souiri, à El Jadida le 15 juin à 18h au Théâtre de la Cité portugaise, à Kénitra le 18 juin à 20h sur la place Administrative, à Meknès le 20 juin à 20h à l’Institut français, à Fès le 21 juin à 20h au Centre Kan Ya Makan Rdda, à Tétouan le 23 juin à 21h à l’Institut français, et enfin à Tanger le 24 juin à 19h30 à la salle Beckett.

AL

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Trois signaux d’alerte sont mis en avant : la raréfaction de la ressource, un impact social massif et un risque de désindustrialisation.

Selon les données de l’Office National des Pêches (ONP), les débarquements de sardines qui représentent l’essentiel de la production halieutique marocaine ont chuté de 965 000 tonnes en 2022 à 525 000 tonnes en 2024, soit une baisse de 46 % en deux ans. Cette diminution aurait des conséquences sur l’ensemble de la chaîne de valeur, estime l’UNICOP.

Face à cette situation, l’organisation soutient les mesures de protection de la ressource préconisées par les autorités, notamment l’interdiction de la capture des juvéniles et le renforcement des contrôles contre la pêche illicite. Elle recommande également une révision des périodes de repos biologique, fondée sur des données scientifiques actualisées.

L’UNICOP estime que la crise aurait un impact direct sur l’emploi, la conserverie générant une proportion importante de postes dans le secteur halieutique. L’organisation avance le chiffre de 35 000 emplois directs et 120 000 indirects potentiellement menacés. Selon l’UNICOP la baisse d’activité aurait entraîné une réduction de 50 % du fonctionnement des usines, avec des suspensions temporaires de travail et des risques de fermeture dans certaines zones côtières.

Sur le plan économique, l’UNICOP souligne que les exportations vers l’Afrique auraient diminué de 30 % en 2024. Ce recul s’inscrirait dans un contexte de hausse des coûts de production et de compétition croissante avec des pays asiatiques, affectant la compétitivité du secteur marocain.

Pour faire face à cette situation, l’organisation appelle à une mobilisation collective autour de trois axes : la préservation de la ressource halieutique, la protection de l’emploi industriel et le rééquilibrage de l’appareil productif. Elle propose notamment d’encadrer plus strictement l’usage des sardines dans les différentes filières et de limiter certaines exportations.

Enfin, l’UNICOP appelle à « l’ouverture urgente d’un dialogue stratégique avec les pouvoirs publics, afin d’établir une feuille de route claire, partagée et opérationnelle pour sortir durablement la filière de la crise ».

AL

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Cette édition prévoit de rendre hommage à deux personnalités du cinéma arabe : l’acteur égyptien Ahmed Helmy et l’artiste marocain Younes Megri, également connu pour son parcours musical et cinématographique.

Deux hommages sont prévus dans le cadre de cette édition. Le premier concerne l’acteur égyptien Ahmed Helmy, dont la carrière comprend des rôles au théâtre, à la télévision et au cinéma. Il est notamment connu pour ses performances dans des comédies populaires et pour sa participation à des films ayant rencontré un large public dans le monde arabe.

Le second hommage sera rendu à l’artiste marocain Younes Megri. Membre du groupe musical « Les Frères Megri », il est également actif dans le domaine du cinéma, avec une filmographie qui s’est développée au cours des dernières années.

Il est à préciser que l’événement est organisé par l’association Imtidad pour la Culture et le Développement, en partenariat avec le Conseil de la ville de Casablanca et le Centre Cinématographique Marocain (CCM).

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Cette édition bénéficie du soutien du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, du Centre cinématographique marocain, de la wilaya de la région Souss-Massa, de la commune urbaine d’Agadir, ainsi que de plusieurs partenaires nationaux et internationaux, précisent les organisateurs.

Le programme de cette édition comporte une compétition internationale de longs métrages, une projection d’une sélection de courts-métrages tunisiens et libanais ainsi que de la version restaurée de Leila et les loups de Heiny Srour, indique la même source. Un hommage est également prévu à la réalisatrice indienne Nishtha Jain.

Des projections itinérantes, intitulées « Triq Cinima », seront mises en place en coopération avec des structures culturelles, éducatives et associatives locales.

Par ailleurs, « la Ruche Documentaire », dispositif de formation du FIDADOC, proposera à une centaine d’étudiants et de jeunes professionnels un vaste programme de Masterclass, d’études de cas, d’ateliers pratiques et des journées professionnelles destinées à des porteurs de projets.

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Cette démarche s’inscrit dans le prolongement de l’accord bilatéral de 2022 sur la pêche maritime et l’aquaculture, ainsi que de la déclaration d’intention signée à Agadir en février 2025.

L’objectif affiché est la gestion durable et concertée des ressources halieutiques, notamment les petits pélagiques, conformément aux principes énoncés par la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et les recommandations de la FAO.

Lors de cette rencontre, les deux parties ont mis en avant l’importance d’une action coordonnée face aux défis liés à la préservation des stocks halieutiques, considérés comme essentiels pour la sécurité alimentaire, le développement des zones côtières et l’équilibre écologique de la région.

S’exprimant à cette occasion, M. Mohamed Lamine Hormatallah, Président de la COMAIP, a souligné la portée de cette dynamique commune : « La déclaration conjointe signée à Agadir incarne une vision commune d’un avenir partagé. Aujourd’hui, à Dakhla, nous œuvrons à donner corps à cette vision à travers des actions concrètes».

De son côté, M. Hamadi Baba Hamadi, Président de la Fédération Nationale de la Pêche (FNP) de Mauritanie, dont l’allocution a été lue par le premier vice-président M. Yahefdhou elbachir, a rappelé l’impératif d’une action collective : « La préservation et l’exploitation rationnelle de ces pêcheries nous oblige à la concertation et à la collaboration pour mener à bien des politiques d’exploitation qui assurent la durabilité de ces ressources pour le bien des générations actuelles et futures».

Un comité conjoint COMAIP–FNP sera mis en place pour structurer cette coopération, notamment à travers l’échange d’informations scientifiques et techniques, la proposition de mesures de gestion harmonisées, et le développement d’initiatives communes en matière de suivi, de formation et de sensibilisation.

Les deux organisations ont par ailleurs évoqué la nécessité d’un cadre réglementaire plus cohérent entre les deux pays et d’un renforcement des dispositifs de contrôle, tout en soulignant l’importance d’une approche souple et réactive face aux évolutions des écosystèmes.

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L’événement s’est tenu dans les villes de Casablanca, Rabat, Fès et Tanger, en partenariat avec la plateforme de recrutement Mon Call Center. L’objectif était de faire découvrir les métiers liés à la relation client à un public principalement jeune.

Pendant deux semaines, les participants ont pu observer le fonctionnement des équipes sur place, échanger avec les recruteurs et prendre part à des sessions de recrutement rapide. Ces rencontres ont permis aux visiteurs d’obtenir des informations concrètes sur les postes proposés, majoritairement en CDI.

L’événement a été relayé sur les réseaux sociaux à travers une campagne de communication, ce qui a permis d’attirer un large public intéressé par des opportunités professionnelles dans ce secteur. Dans chaque ville, plusieurs centaines de candidats se sont présentés.

Selon Reda Nejjar, directeur des opérations de Foundever au Maroc, ces journées visaient à montrer les parcours professionnels possibles au sein de l’entreprise. « Ces Job Days ont permis de recruter de nouveaux profils, mais aussi de faire évoluer la perception de notre secteur auprès des jeunes générations», a-t-il souligné.

Des retours positifs ont été exprimés par certains participants et responsables à l’issue de l’événement. Une participante récemment diplômée a souligné l’intérêt de pouvoir observer concrètement le fonctionnement de l’entreprise et d’échanger directement avec les recruteurs. « Ce type d’événement nous permet d’humaniser le processus de recrutement tout en gagnant en efficacité», a affirmé Fatna Abdouh, DRH adjointe de Foundever au Maroc.

Selon l’entreprise, d’autres initiatives similaires pourraient être mises en place dans les mois à venir, dans une logique de continuité des actions en faveur du recrutement local.

AL

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Fondée en 1998, l’UACC représente actuellement 52 agences, qui concentrent plus de 85 % de l’activité publicitaire au Maroc. Son adhésion à l’EACA s’inscrit dans une volonté d’alignement avec les standards européens en matière de communication et de publicité.

Ce rapprochement permettra à l’UACC de participer à des groupes de travail européens traitant de thématiques telles que la régulation, l’intelligence artificielle, la durabilité, la transparence ou encore la publicité responsable. L’organisation pourra également accéder à plusieurs initiatives portées par l’EACA, parmi lesquelles l’AI Hub, les prix Effie Europe, le programme Ad Net Zero, ainsi que des ressources relatives à l’évolution des cadres réglementaires et techniques en Europe.

« Cette adhésion à l’EACA est une étape fondatrice dans notre ambition de positionner les agences marocaines dans le concert international. Elle témoigne de la maturité de notre écosystème, de la qualité des expertises locales et de notre volonté de contribuer aux grandes réflexions qui structurent l’avenir de notre industrie », déclare Hassan Rouissi, Président de l’UACC.

Pour Youssef Tazi, président de la Commission Relations Internationales de l’UACC, il s’agit d’un premier jalon dans la stratégie de partenariats internationaux portée par l’association.

Pour l’UACC, en plus des dimensions réglementaires et professionnelles, cette intégration pourrait également favoriser des collaborations avec des établissements académiques européens, ainsi que le développement de cycles de formation et de programmes d’échange à destination des agences membres.

AL

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L’événement est organisé par Lineco Events sous l’égide du Ministère de l’Équipement et de l’Eau.

Ce salon s’inscrit dans un contexte marqué par les évolutions du secteur portuaire et maritime au Maroc. Selon le ministre de l’Équipement et de l’Eau, M. Nizar Baraka, cette initiative vise à rassembler les différents acteurs autour des enjeux et perspectives liés au développement des ports, à l’innovation technologique, à la modernisation des infrastructures et à la durabilité.

SIPORTS prévoit de réunir plus de 300 exposants issus de quatre continents et d’accueillir environ 6 000 visiteurs professionnels. L’événement sera structuré autour de cinq pavillons thématiques : Institutionnel, Industrie Portuaire, Exploitation, Scientifique & Académique, et Musée des Ports.

Au programme : des conférences, panels, interventions internationales et ateliers techniques. Ces activités permettront d’aborder diverses thématiques telles que la réorganisation des routes maritimes, le développement des ports intelligents, les infrastructures durables et la coopération régionale.

« Notre ambition est de répondre aux défis cruciaux de performance, de connectivité, d’innovation et de durabilité qui redessinent aujourd’hui la carte du commerce maritime mondial », souligne Mohcine Berrada, Président de Lineco Events, Organisateur de cette 1^ère édition.   

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Tenue le 13 mai 2025, la cérémonie a réuni les collaboratrices de la banque, les responsables du CNRD ainsi que le personnel soignant. Cette mobilisation illustre l’engagement concret de Banque Atlantique et de ses équipes dans des actions à forte portée sociale.

Un don composé de médicaments et de produits pharmaceutiques essentiels a été remis au Centre National de Référence de la Drépanocytose (CNRD) de Niamey. Cette démarche vise à soutenir les efforts de prise en charge de cette maladie génétique chronique.

En facilitant l’accès aux traitements et en allégeant les dépenses de santé de nombreuses familles, cette initiative s’inscrit dans une volonté de soutien durable aux structures de santé locales. Elle reflète également l’engagement du Groupe à promouvoir l’égalité d’accès aux soins et à défendre le respect de la dignité de chaque individu. 

À travers cette initiative, Banque Atlantique renforce son rôle d’entreprise citoyenne au Niger, ancrée dans les réalités locales et résolument tournée vers la promotion du bien-être collectif, en cohérence avec les valeurs de solidarité et de proximité du Groupe BCP.

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Jusqu’à présent, seul Jazzablanca jouait un rôle structurant dans le paysage musical local, offrant une plateforme solide mais ciblée. La diversification des festivals et événements musicaux dans la métropole constitue donc une évolution bienvenue pour enrichir l’offre culturelle et proposer aux habitants comme aux visiteurs une expérience artistique plus variée tout au long de l’année.

C’est dans ce contexte que se tiendra, du 20 au 29 juin 2025, la première édition de la Casablanca Music Week (CMW), un festival urbain initié par NRJ Maroc. Accueilli sur le site de La Casablancaise, l’événement entend mêler concerts, cinéma, gaming, sport et conférences dans une programmation pensée pour toucher un large public. Cette approche pluridisciplinaire marque une volonté d’inscrire la culture au cœur de la ville, en lui donnant une dimension plus accessible et immersive, affirment les organisateurs.

Côté musique, le festival proposera une affiche variée, avec la participation d’artistes de renom comme Jason Derulo, Gims, Shaggy, Mary J. Blige, Hussain Al Jasmi ou encore Hoba Hoba Spirit. Le choix de ces artistes, issus de différentes scènes et origines culturelles, reflète un effort de diversité musicale, allant du R&B à la musique marocaine contemporaine. Au-delà des concerts, le CMW s’articule également autour d’autres expériences : projections de films, tournois de jeux vidéo, séances sportives en plein air, et conférences autour de l’événementiel et des industries créatives.

Le village du festival constituera un espace central, avec une zone food avec une quinzaine de restaurateurs, des activités immersives proposées par les partenaires, et plusieurs espaces dédiés aux différentes thématiques.

« Cette première édition marque également notre engagement envers l’innovation événementielle. En intégrant des composantes comme le cinéma en plein air, le gaming, et des conférences, nous souhaitons créer une expérience holistique qui répond aux attentes d’un public exigeant et varié », souligne, Hakim Chagraoui, PDG De NRJ Maroc.

Les tickets sont disponibles sur webook.com et guichet.com, avec deux formats d’accès : Tickets Gold ou Black, ainsi que des cartes Gold ou Black qui donnent accès à tous les concerts.

Avec cette première édition du Casablanca Music Week, un nouveau rendez-vous culturel voit le jour dans la métropole. Reste à voir si cette proposition parviendra à s’ancrer durablement dans le paysage événementiel casablancais et à répondre aux attentes d’un public en quête de diversité culturelle.

Asmaa Loudni

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Baptisée Fitpass, cette plateforme propose un accès simplifié à des activités sportives et de détente à travers un réseau national d’établissements partenaires.

Développée par le groupe UpCoop, déjà présent dans plus de 20 pays, Fitpass Maroc se positionne comme une offre à destination exclusive des entreprises. Le principe repose sur un abonnement unique, financé en partie ou en totalité par l’employeur, permettant aux salariés de pratiquer une activité sportive ou de bien-être chaque jour. Ce service est centralisé via une application mobile, qui donne accès à un réseau comprenant des salles de sport, studios de fitness, centres de relaxation ou encore piscines.

D’après l’entreprise, la solution est conçue pour répondre aux nouvelles attentes des collaborateurs en matière d’équilibre de vie, tout en s’inscrivant dans les priorités actuelles des directions des ressources humaines : prévention des risques psychosociaux, fidélisation des talents et engagement durable.

Déjà déployée à Casablanca, la plateforme annonce plus de 60 types d’activités disponibles et prévoit d’étendre son réseau à d’autres villes du Royaume. L’objectif affiché est de garantir une couverture territoriale suffisante pour permettre un accès régulier aux activités, en tenant compte de la mobilité des salariés.

« Fitpass est plus qu’un simple abonnement sportif, c’est un outil de management positif, un levier de fidélisation et de performance. Nous donnons aux entreprises la possibilité d’investir concrètement dans la santé et le bien-être de leurs collaborateurs. La force de notre modèle repose sur la flexibilité et l’inclusivité. Peu importe où se trouve le collaborateur, il peut pratiquer une activité adaptée à ses envies, chaque jour, sans contrainte», souligne Benoît Thely, Directeur International de Fitpass.

Plusieurs directions RH au Maroc auraient déjà manifesté leur intérêt pour l’outil, présenté comme un levier d’attractivité et de qualité de vie au travail.

Fitpass Maroc est porté par Up Maroc, présent dans le pays depuis 2007, notamment via les titres de paiement Chèque Déjeuner et Cadhoc.

A. Loudni

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Lors de cette rencontre, plusieurs axes prioritaires ont été abordés, dans le but d’élaborer une feuille de route claire, concertée et ambitieuse. Le nouveau président a insisté sur l’importance d’un travail collectif, coordonné et soutenu, pour permettre au tennis de table marocain de franchir un cap décisif.

M. Ziati a souligné que la responsabilité qui lui incombe exige une vision stratégique partagée, alignée sur les attentes des clubs et en harmonie avec les objectifs des institutions sportives nationales. Il a également réaffirmé l’engagement du bureau fédéral à repositionner cette discipline sur la scène continentale, et à lui redonner une visibilité internationale.

« Cette première réunion marque ainsi le début d’une nouvelle phase pour la Fédération, avec pour objectif de renforcer les bases du tennis de table national et d’en soutenir le développement à moyen et long terme » a-t-il précisé.

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Cet événement, présenté comme une vitrine de l’innovation technologique et de l’équipement domestique, se tient sur une superficie de 4 000 m².

Conçu comme un salon expérientiel, « The IDEA Show » est structuré autour de quatre espaces thématiques : la maison connectée (IDEA Home), le multimédia (IDEA Multimedia), la cuisine (IDEA Kitchen), et l’aménagement extérieur (IDEA Outdoor). Chaque pôle met en avant des équipements récents distribués par l’entreprise, allant des appareils électroménagers aux solutions domotiques.

Durant deux jours, le salon accueille également des conférences abordant notamment les évolutions de la maison intelligente et les tendances du « smart living ». À cette occasion, IDEA+ a annoncé le lancement sur le marché marocain de plusieurs marques jusqu’alors non distribuées localement, dont KitchenAid, Polaroid et Sonos Pro.

Selon Mehdi Taha, directeur général d’IDEA+, cet événement a pour ambition de devenir un rendez-vous annuel réunissant marques, distributeurs, partenaires et consommateurs autour des innovations en matière d’habitat.

« Le IDEA SHOW est bien plus qu’un salon. C’est l’aboutissement de notre vision : créer un espace de convergence entre innovation, marques d’excellence et expérience client. Cette première édition pose les bases d’un rendez-vous incontournable pour tous les acteurs du marché. Nous sommes fiers de contribuer activement à la transformation des usages et des modes de vie des marocains » a-t-il souligné.

AL

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Ce nouvel espace est situé dans le quartier du Triangle d’Or et occupe une surface de 450 m². Il représente un investissement de 9 millions de dirhams.

Le magasin est organisé en dix sections thématiques : technologies et produits mobiles, jeux vidéo et consoles, audio, livres, petit électroménager, décoration intérieure, lifestyle, beauté et bien-être, éveil et jeux, ainsi que papeterie. L’objectif est de proposer une offre diversifiée couvrant différents besoins liés aux domaines technologiques, culturels et de loisirs, affirme-t-on auprès de l’enseigne.

L’équipe sur place compte 30 personnes chargées d’accompagner les visiteurs. Chaque zone est aménagée pour faciliter le parcours client et favoriser la découverte des produits.

« L’ouverture de ce nouveau magasin s’inscrit dans notre ambition d’offrir à nos clients bien plus qu’un lieu d’achat. Nous voulons leur proposer un véritable lieu de vie, d’échange et de découverte. À travers ce concept innovant, nous souhaitons créer une nouvelle communauté autour de la passion pour les technologies, le lifestyle et la culture », déclare Asmâa Azmi, Chef du Département Marketing & Communication au sein de Virgin Megastore Maroc.

Pour marquer cette ouverture, Virgin Megastore propose durant 1 mois des offres exclusives intéressant l’ensemble des Univers.

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L’annonce a été faite par la directrice générale de l’entreprise, Hanae Ben Driss, lors d’une conférence de presse tenue mercredi 28 mai à Casablanca. Ce changement marque une nouvelle étape dans l’évolution du système national de switching des paiements électroniques.

Depuis 2016, SWAM assure l’interconnexion entre banques, établissements de paiement, commerçants et utilisateurs. Elle garantit la fluidité et la sécurité des paiements électroniques par carte ou mobile, quel que soit l’établissement utilisé. Ce rôle central repose sur une technologie capable de traiter, valider et acheminer les transactions en une fraction de seconde, explique Mme Ben Driss.

L’évolution vers SWAM est présentée par le groupe comme une réponse à des enjeux accrus de souveraineté numérique, de sécurité et de résilience des systèmes de paiement. L’infrastructure traite quotidiennement des millions de transactions, structurées autour de trois fonctions clés : le routage des demandes de paiement, la compensation des mouvements financiers et le règlement interbancaire.

« Switch Al Maghrib, c’est bien plus qu’un nouveau nom. C’est l’affirmation d’un modèle marocain unique, alliant innovation technologique et gouvernance institutionnelle au service d’une mission d’intérêt public », a souligné Hanae Ben Driss.

En parallèle, SWAM mise sur des outils de détection de fraude basés sur l’intelligence artificielle, capables d’identifier les risques en temps réel. Ces technologies sont développées de manière mutualisée avec l’ensemble de l’écosystème.

L’entreprise a également lancé l’initiative Technology Partners Community, un cadre de collaboration avec les partenaires technologiques du secteur bancaire, pour accompagner les évolutions techniques et renforcer la cohérence du système.

A.L

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Cet acte inaugural, opéré à l’aide d’un robot chirurgical installé trois jours plus tôt par Oncorad Group, a ouvert la voie à une série d’avancées majeures dans le domaine de la chirurgie mini-invasive. En douze mois, 178 interventions ont été réalisées, dont 162 en urologie ( notamment 112 prostatectomies ) ainsi que des actes en chirurgie digestive, gynécologique et thoracique, illustrant la polyvalence de la plateforme technologique.

Le coût moyen d’une intervention robotisée au sein du groupe est estimé à 70 000 dirhams (environ 7 000 euros), un tarif largement inférieur à celui pratiqué dans certains pays européens, où une telle opération peut atteindre les 20 000 euros. Cette différence contribue à rendre la chirurgie robotique plus accessible aux patients marocains, tout en maintenant des standards élevés de qualité et de sécurité.

Parmi les actes réalisés figurent des interventions complexes rarement pratiquées ailleurs en Afrique, telles que des prostatectomies avec préservation des fonctions (continence et érection), des ablations totales de la vessie avec reconstruction par un segment intestinal, ou encore des curages ganglionnaires profonds pour cancers testiculaires récidivants. Ces opérations, autrefois réalisées à l’étranger, sont désormais prises en charge localement.

Le 27 novembre 2024, Oncorad Group franchissait une étape supplémentaire en menant une première téléchirurgie entre Casablanca et Shanghai, soit 12 000 kilomètres de distance, un record mondial. Une seconde intervention à distance a suivi en 2025, cette fois entre Casablanca et Tanger, entre deux établissements du groupe. Les deux opérations ont été réalisées par le Dr Youness Ahallal, expert du groupe en chirurgie robotique, qui exprime une grande fierté d’avoir relocalisé au Maroc une technologie de pointe auparavant réservée aux grands centres internationaux.

« En un an à peine, nous avons contribué à hisser le Maroc au rang de leader africain en chirurgie robotique, et parmi les pionniers mondiaux en téléchirurgie. Ce que beaucoup pensaient être réservé aux grandes puissances technologiques est désormais une réalité concrète dans notre pays. Notre ambition est claire : faire de l’innovation un levier d’équité en santé, au service de tous les patients, partout sur le territoire national », déclare Dr Youness Ahallal.

L’année écoulée a également été marquée par une dynamique active de formation continue, avec des workshops spécialisés en urologie, chirurgie digestive, thoracique ou gynécologique, ainsi que des démonstrations en direct lors de congrès nationaux et internationaux, de Marrakech à Bordeaux en passant par la Thaïlande.

Au-delà de la performance technologique, ces initiatives s’inscrivent dans une volonté plus large de transformation du système de soins, avec pour objectif affiché de démocratiser l’accès à une médecine de précision sur l’ensemble du territoire marocain, explique-t-on auprès du groupe.

Fondé en 2000 par le Professeur Redouane Samlali et le Docteur Omar Hajji, Oncorad Group est un acteur privé du secteur de la santé au Maroc. Présent à Casablanca, Marrakech, Agadir et Tanger, et le groupe prévoit plusieurs nouvelles ouvertures d’ici fin 2025, avec une offre de soins pluridisciplinaire, intégrant la chirurgie, l’oncologie, la radiologie et la cardiologie.

Asmaa Loudni

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L’annonce a été faite par Abdelouadoud Kharbouch, directeur de l’Agence Nationale de Lutte contre l’Analphabétisme (ANLCA).

Selon les organisateurs, cette initiative marque une étape significative dans le déploiement progressif d’un dispositif de formation innovant, conçu pour être généralisé à l’ensemble des régions du Royaume. Elle s’inscrit dans une stratégie de professionnalisation du secteur de la lutte contre l’analphabétisme, en vue de renforcer les compétences des intervenants concernés, à savoir les alphabétiseurs, les encadrants, les formateurs de formateurs et les responsables chargés de la gestion et du suivi des actions de formation.

Le programme vise à améliorer la qualité des interventions et à harmoniser les standards de formation au niveau national. Pour l’année 2025, il prévoit la formation de 2 835 professionnels, répartis entre 2 400 alphabétiseurs, 240 encadrants, 120 formateurs de formateurs et 75 responsables de la gestion de la formation.

La généralisation progressive de ce dispositif s’appuie sur les résultats prometteurs de la phase expérimentale menée en 2024 dans les régions de Tanger-Tétouan-Al Hoceïma et Béni Mellal-Khénifra. Cette phase pilote, qui a mobilisé 480 professionnels, a permis de valider un modèle pédagogique hybride associant formation présentielle et apprentissage à distance. Ce modèle s’appuie sur des approches contemporaines telles que l’ingénierie de la formation, l’andragogie, l’éducation des adultes, la dynamique de groupe, ainsi que les techniques de communication et d’animation en classes d’alphabétisation. Il a contribué à un renforcement tangible des compétences et de la préparation opérationnelle des participants, précisent les organisateurs.

La mise en œuvre de l’Institut IFMA s’inscrit dans le cadre de la feuille de route 2023-2027 de l’ANLCA. Celle-ci vise à traduire les grandes orientations de la Stratégie Nationale d’Alphabétisation 2023-2035 en actions concrètes, dans le but d’assurer une plus grande efficacité et une meilleure pérennité des efforts engagés pour éradiquer l’analphabétisme sur l’ensemble du territoire national.

AL

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Cette implantation fait suite à une première ouverture au Morocco Mall en 2024.

Le magasin propose une sélection de vêtements, chaussures, sacs, bagages et accessoires issus de plusieurs marques internationales, parmi lesquelles figurent CERRUTI 1881, U.S. POLO ASSN, BIKKEMBERGS, BOSS, CACHAREL, TOUS, AERONAUTICA MILITARE, CHRISTIAN LACROIX et POLICE.

Située dans une zone en plein essor  commercial, la boutique est organisée autour d’un aménagement moderne, avec une mise en avant claire des produits. Elle s’adresse à un public urbain, intéressé par une offre diversifiée au sein d’un même espace.

L’ouverture s’inscrit dans la stratégie du groupe Chiccorner, qui détient la licence de la marque PRINCIPE au Maroc. Le groupe poursuit le déploiement de ses enseignes dans plusieurs villes, en misant notamment sur la complémentarité entre points de vente physiques et présence en ligne.

« Ce nouveau magasin est une réponse directe à la demande croissante pour des concepts multimarques premium, au service d’un consommateur marocain de plus en plus connecté, exigeant et attentif au style. PRINCIPE incarne parfaitement cette nouvelle génération de retail : accessible, international et élégant », déclare M. Adil Mamoumi, directeur général du groupe Chiccorner.

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Cette inauguration, qui coïncide avec le vingtième anniversaire de l’Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH), a réuni plusieurs acteurs publics et privés, ainsi que des partenaires clés de la Fondation Jadara.

Le centre, destiné à la formation et à l’accompagnement des jeunes en situation de NEET (ni en emploi, ni en éducation, ni en formation), résulte d’un partenariat stratégique entre la Fondation Jadara, le Conseil provincial de Développement Humain de Nouaceur et la commune de Bouskoura. Il bénéficie également du soutien de partenaires techniques et financiers tels que la Fondation Amane du groupe CMGP et la société HP.

A cette occasion, le président de la Fondation Jadara, Hamid Ben Elafdil, a souligné l’importance de ce projet dans le cadre de l’accompagnement des jeunes en difficulté. « La création du centre Nouaceur Wings Tech s’inscrit dans notre volonté d’accompagner les jeunes en situation de NEET, en situation de vulnérabilité, ni scolarisés ni employés. Nous avons choisi la commune de Bouskoura en raison de ses spécificités péri urbaines et des opportunités qu’elle offre pour former une nouvelle génération aux métiers de demain, notamment dans le domaine du numérique. Ce projet reflète notre conviction collective de l’importance d’investir dans la jeunesse, qui représente l’avenir de notre pays » a-t-il déclaré.

Le centre propose une formation spécialisée dans plusieurs domaines du numérique, à savoir le développement web, le marketing digital, la gestion de contenu numérique, la photographie, la vidéo et le commerce électronique. Il vise à préparer les jeunes à l’insertion professionnelle, soit par l’intégration dans des entreprises, soit par la création de micro-entreprises.

La formation se déroule sur six mois, dont cinq mois de formation technique suivis d’un mois de stage pratique. Un programme d’accompagnement personnel et professionnel est également prévu pour aider les jeunes à mieux s’orienter et se préparer aux défis du marché du travail.

Ce projet s’inscrit dans le cadre du troisième programme de l’INDH, qui vise à améliorer l’insertion professionnelle des jeunes et leur offrir de nouvelles opportunités économiques.

AL

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Trois représentations sont programmées dans le cadre de cette tournée.

Placée sous la direction du chef d’orchestre Olivier Holt, cette version réunira plus de 120 artistes, dont des musiciens, solistes et choristes. L’interprétation comprendra également le Chœur Philharmonique du Maroc et le Chœur d’enfants de Mazaya.

La mise en scène, signée Olivier Desbordes et Yassine Benameur, propose une relecture contemporaine de l’œuvre tout en respectant sa dimension dramatique.

Le spectacle, d’une durée de 2h30 avec entracte, est organisé en partenariat avec la Fondation Ténor pour la Culture, avec le soutien du Crédit du Maroc, du Ministère de la Culture et du Théâtre Mohammed V. Les représentations auront lieu le vendredi 30 et le samedi 31 mai à 19h30, et le dimanche 1er juin à 17h.

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Cette manifestation a réuni élèves valides et élèves en situation de handicap autour d’activités sportives inclusives sur le campus secondaire de l’établissement.

Soutenue par des associations partenaires telles que l’Association Marocaine des Enfants Sourds (AMES) et Al Mostaqbal, l’initiative visait à promouvoir la solidarité et le respect de la différence à travers le sport, expliquent les organisateurs. Encadrés par cinq enseignants de l’EFI et une dizaine de bénévoles issus du milieu associatif, les participants ont été répartis en 16 équipes mixtes de quatre enfants. Ensemble, ils ont pris part à huit épreuves adaptées, centrées sur la coopération.

« L’idée n’est pas de faire une compétition en tant que telle, c’est vraiment d’apprendre à vivre ensemble. L’école a un rôle essentiel à jouer pour faire émerger une génération consciente des défis liés à la mobilité, à l’accessibilité et au respect de tous », a déclaré Thomas Saene, proviseur de l’établissement.

La cérémonie de clôture s’est déroulée en présence de Pascale Trimbach, Consule Générale A.I de France à Casablanca, et a mis en lumière l’implication des équipes éducatives ainsi que celle des partenaires associatifs.

En marge des épreuves sportives, des ateliers de sensibilisation ont été proposés aux élèves de cinquième et de seconde, portant sur les questions liées au handicap.

Insérée dans le calendrier de la Semaine Olympique et Paralympique, cette quatrième édition s’est appuyée sur le sport comme support d’apprentissage, en abordant des notions telles que la coopération, l’égalité d’accès et la diversité des parcours.

AL

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À l’origine de cette performance deux lycéens du Groupe Scolaire Jacques Chirac de Rabat, Yasmine Kadmiri Idrissi et Yassine Bekkaoui, sélectionnés parmi quelque 3 500 participants internationaux.

Accompagnés par leurs enseignants Ilham Chichaoui (physique-chimie) et Yassine Naji (technologie), les deux élèves ont été récompensés dans le cadre du concours « Parlons Chimie » pour un projet intitulé « La chimie au galop ! ». Celui-ci s’inscrit dans la thématique 2025 de l’événement, « Chimie et sport », et propose une réflexion sur les moyens de lutte contre le dopage équin, en lien avec la Tbourida, une tradition équestre marocaine inscrite au patrimoine immatériel de l’UNESCO.

Le projet combine des éléments de vulgarisation scientifique et de sensibilisation éthique. Il s’appuie notamment sur des techniques d’analyse telles que la chromatographie et la spectrométrie de masse, utilisées pour simuler la détection de substances comme la caféine ou la bétaméthasone dans des échantillons biologiques. Les élèves ont également conçu des supports numériques, créé un site web et mené une action de terrain en visitant le laboratoire antidopage de l’Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II, sous la direction du Dr Taha Elkamli.

Dans une approche multidisciplinaire, les lycéens ont également assisté à une démonstration de Tbourida à Tiflet, aux côtés du Dr Oussidhoum de la Société Royale d’Encouragement du Cheval (SOREC), afin d’en étudier les dimensions culturelles et symboliques. Le projet intègre par ailleurs un volet expérimental, avec le développement d’un gel anti-inflammatoire naturel destiné aux chevaux, baptisé Lavandéquin.

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L’entreprise sud-coréenne a mis en avant l’intégration croissante de l’intelligence artificielle dans ses téléviseurs, moniteurs et appareils électroménagers, avec pour objectif de faciliter l’usage quotidien et d’améliorer l’interconnectivité dans la maison connectée.

À cette occasion, Samsung a présenté une série de dispositifs exploitant l’IA pour renforcer les performances, la personnalisation et l’efficacité énergétique, tout en détaillant ses efforts pour démocratiser ces technologies à travers l’ensemble de ses produits.

Les téléviseurs QLED, Neo QLED, Neo QLED 8K, OLED et The Frame intègrent désormais la plateforme Vision AI, qui regroupe plusieurs fonctionnalités avancées, telles que l’Upscaling IA, améliorant la résolution des contenus grâce à des algorithmes d’apprentissage automatique. Une autre innovation, les « Gestes Universels », permet de contrôler certains modèles par des mouvements de la main, en interaction avec la montre connectée Galaxy Watch. Une fonction de fond d’écran génératif offre en outre la possibilité de personnaliser l’apparence de l’écran en veille. Les modèles haut de gamme, comme le Neo QLED 8K et l’OLED, bénéficient de traitements spécifiques pour renforcer le contraste et la précision des couleurs, tandis que The Frame s’enrichit de fonctions intelligentes permettant, par exemple, de recommander des œuvres d’art en fonction des goûts de l’utilisateur et de l’éclairage ambiant.

Dans le domaine de l’électroménager, la gamme Bespoke AI 2025 introduit plusieurs innovations axées sur l’automatisation et l’optimisation de l’usage. Le réfrigérateur Side-by-Side, connecté en Wi-Fi, peut être piloté à distance via l’application SmartThings, qui permet d’ajuster les réglages de l’appareil ou d’être alerté en cas d’anomalie, comme une porte mal fermée. Le mode AI Energy Saving ajuste automatiquement certains paramètres techniques, comme la vitesse du compresseur ou les cycles de dégivrage, en fonction des habitudes de l’utilisateur et des conditions ambiantes, afin de réduire la consommation d’énergie. Pour le soin du linge, les lave-linges de 9 kg et 11 kg sont équipés de la technologie AI Wash, capable d’adapter les cycles de lavage selon le type de tissu et le niveau de salissure détecté. Le climatiseur WindFree, de son côté, propose un système de refroidissement intelligent fondé sur l’analyse des préférences personnelles de l’utilisateur.

Côté moniteurs, les modèles 2025 bénéficient d’optimisations IA pour renforcer l’immersion, améliorer la gestion du multitâche et faciliter les usages professionnels.

AL

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À travers des portraits réalisés sur des feuilles de caoutchouc, l’artiste explore les rapports entre identité, mémoire et représentation.  Son travail se concentre sur des figures issues de la communauté noire marocaine, notamment les Ismgans/Ismkhan de la région de Merzouga, souvent associés à la tradition gnaoua.

Dans le texte du catalogue, l’historienne de l’art Jamila Moroder précise : « Ces présences picturales sont nées de rencontres réelles avec des membres de la communauté Ismgans/Ismkhan, d’où sont issus la majorité des musiciens Gnaoua, à Khamlia, dans la région de Merzouga au nord-est du Maroc, et qui ont laissé leur empreinte sur l’artiste ; mais aussi de visages remémorés ou imaginés, surgis d’un espace intérieur auquel seule la peinture permet d’accéder. »

Bouhchichi, dont les œuvres figurent dans plusieurs collections internationales (Centre Pompidou, MACAAL, Fondation H…), vit et travaille à Tahannaout, près de Marrakech.

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