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Un employé répare des Velib, le 23 avril 2020 à Paris pendant le confinement instauré en France pour lutter contre l'épidémie de coronavirus © AFP/Archives Ludovic MARIN

Le coronavirus, un poison pour les mobilités partagées

Le coronavirus, un poison pour les mobilités partagées

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Un employé répare des Velib, le 23 avril 2020 à Paris pendant le confinement instauré en France pour lutter contre l'épidémie de coronavirus © AFP/Archives Ludovic MARIN

Autopartage, covoiturage, vélos et trottinettes en libre-service… L’idée de partager les objets de mobilité est-elle morte avec le coronavirus? Le risque est réel si s’installe la peur de

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