Lu vendredi 26 février 2021 sur YAHOO
Coronavirus en Chine : Pékin dément avoir infligé un test anal à des diplomates américains
A mon avis
– Soit c’est à la suite de recommandations malveillantes et contre-révolutionnaires
– Soit ça a concerné uniquement un seul charter de congressistes LGBT
– Soit c’est un coup de lobbies vicelards ou de laborantins facétieux
Autrement, ils auraient annoncé officiellement avoir mis au point le » cul-test » ou ( » Test-y-cul » en mandarin) . Pour l’instant et faute d’explication convaincante, il faut se contenter du démenti officiel. Mais le mal est fait.
Comment ça marche ?
A l’aéroport, vous avez le policier qui contrôle votre passeport et qui vous demande en mandarin avec gestes à l’appui, de baisser le pantalon pour vous mettre le doigt de service, aseptisé bien évidemment, dans l’orifice anal. Ensuite il sent le doigt et s’il a des doutes il fait sentir un ou plusieurs collègues. En fonction de vos fragrances anales, vous passez ou vous ne passez pas. Par exemple, le passager qui s’est tapé la veille un bon cassoulet à Castelnaudary, est bon pour le prochain avion pour Toulouse. Si au moment du test, un passager n’oppose aucune résistance, ou se prête de bonne grâce à l’exercice, ou ne peut contenir quelque émoi, c’est mal barré pour lui parce que les chinois ne supportent pas les « homos » considérés officiellement comme déviants et mis à l’index ( ! ) conformément à la ligne du Parti.
Fort heureusement, leur vaccin s’administre par injection cutanée.
Saad