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]]>Après une compétition régionale intense à travers les 12 régions du Royaume, 12 équipes finalistes issues de près de 250 collèges pionniers ont présenté leurs courts-métrages réalisés dans le cadre du programme Cinéma en classe, un module artistique du projet Madrastna initié par le Ministère de l’Éducation Nationale, du Préscolaire et des Sports en partenariat avec la Fondation Ali Zaoua.
Le jury a salué la qualité des productions, l’originalité des scénarios et l’engagement des élèves sur des thématiques variées allant du harcèlement scolaire à l’immigration clandestine en passant par la pauvreté et les rapports sociaux.
Prix du Meilleur Film ( Grand Prix ) :
« الانعكاس المنكسر» ( Réflexion rétractée ) de la Région de Rabat
Prix de la Meilleure Réalisation :
« احلام مؤجلة» ( Rêves reportés) de la Région Laâyoune Sakia Hamra
Prix du Meilleur Scénario :
« صراع » ( Conflit ) – de la Région Dakhla Oued Eddahab
Mention Spéciale du Jury :
«زائر متخفي» (Visiteur infiltré) de la Région Souss Massa Draa
Prix du Public
« النهضة » ( La Renaissance ) de la Région de l’Oriental
Sophia Akhmisse, Directrice Exécutive de la Fondation Ali Zaoua, a déclaré à cette occasion « Ce que nous avons vu aujourd’hui confirme que l’art à l’école est un levier puissant d’expression et de transformation. Ces jeunes sont la preuve vivante qu’avec les bons outils et l’accompagnement adéquat, l’école devient un espace de création et de citoyenneté. »
Wijdane Bekkare, Cheffe de projet explique de son côté « Ces jeunes lauréats ont su démontrer tout au long du processus une remarquable capacité à s’approprier les outils du langage cinématographique, à travailler en équipe et à exprimer des idées fortes à travers des œuvres originales, sincères et percutantes. »
Les finales de la catégorie Improvisation Théâtrale se poursuivront les 27 et 28 mai au Complexe Culturel Moulay Rachid, avec autant de passion et de créativité attendues de la part des jeunes comédiens en herbe.
Cdp
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]]>The post Casablanca: Coup d’envoi de la grande finale « Cinéma en classe » du projet Madrastna appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Portée par la Fondation Ali Zaoua en partenariat avec le ministère de l’Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports, cette initiative vient couronner un programme parascolaire mené tout au long de l’année dans près de 250 collèges pionniers répartis à travers les douze régions du Royaume.
Ce projet vise à intégrer l’art dans l’environnement scolaire afin d’en faire un vecteur d’épanouissement personnel et de valorisation de la créativité des jeunes.
S’exprimant dans une allocution, le directeur des curricula au ministère de l’Éducation nationale du Préscolaire et des Sports, Mohamed Zerouali, a souligné que cette initiative s’inscrit dans le cadre de la feuille de route 2022-2026 du ministère, qui ambitionne de promouvoir un apprentissage actif et de favoriser l’ouverture culturelle et artistique au sein des établissements scolaires.
« Je tiens à féliciter l’ensemble des élèves, des encadrants et des établissements scolaires participants pour leur travail sérieux et la créativité exceptionnelle qui ont marqué les différentes étapes de ce festival. Cela reflète le potentiel et les talents prometteurs que recèle l’école publique marocaine, et qui méritent d’être encouragés, soutenus et valorisés », a-t-il dit.
Il a également insisté sur l’importance de l’intégration du cinéma dans les activités éducatives parallèles du programme des collèges sportifs, précisant que « le cinéma, au-delà de sa dimension visuelle, constitue un outil puissant d’expression et de formation culturelle et éducative ».
Cette discipline, a-t-il poursuivi, ouvre de nouveaux horizons aux apprenants, leur permettant de mieux comprendre le monde qui les entoure et d’interagir avec lui de manière plus consciente et réfléchie.
Il a enfin rappelé que le programme des collèges pionniers, lancé officiellement durant l’année scolaire 2024-2025 dans 234 établissements, constitue un chantier stratégique pour une école de qualité centrée sur l’élève.
La directrice exécutive de la Fondation Ali Zaoua, Sophia Akhmisse, a affirmé que le projet Madrastna démontre que l’école peut aussi être un espace d’épanouissement personnel et de découverte artistique. « À travers le cinéma et l’improvisation, nous permettons aux jeunes de s’exprimer, de débattre, de rêver et de construire leur place dans la société », a-t-elle déclaré.
Elle a précisé que les 84 élèves finalistes, représentant les 12 régions du Maroc, ont participé tout au long de l’année scolaire au programme « Cinéma en classe », qui leur a permis de découvrir des films marocains et internationaux, d’explorer les coulisses du septième art, de l’écriture à la réalisation, jusqu’à la projection sur grand écran.
À l’occasion de cette grande finale, ils présenteront 12 courts-métrages en compétition, projetés devant un large public au Cinéma Pathé, et soumis à l’appréciation d’un jury présidé par le réalisateur Nabil Ayouch, a-t-elle poursuivi.
Cette grande finale marque l’aboutissement d’une phase régionale qui s’est déroulée du 19 avril au 13 mai, mobilisant des milliers d’élèves à travers le Royaume.
La journée s’achèvera par une cérémonie de remise des prix distinguant les cinq meilleurs courts-métrages, en hommage au talent, à l’engagement et à la créativité d’une jeunesse marocaine qui s’approprie les langages de l’art et de la culture pour raconter, avec sensibilité, humour ou émotion, les récits qui l’animent et la reflètent.
LNT avec Map
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]]>The post Telly Awards 2025 : Deux productions documentaires « Made in Morocco » récompensées appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Mohamed Hafidi, journaliste et producteur marocain, et le réalisateur Abdelilah Moujani se sont illustrés par leur deux films documentaires, « Le séisme d’Al Haouz : Sous la merci des tentes » et « Le rêve indien », diffusés sur Asharq Documentary, remportant respectivement le prix d’argent et le prix de bronze. Ces œuvres ont été produites en partenariat avec la société marocaine Seven Art Media, dirigée par Imane Tadaout, avec la contribution d’une équipe jeune et créative composée de Walid Moujani, Mehdi Bouarwa, Moncef Mtoukkel et Tarek Derrar.
Le réalisateur Abdelilah Moujani s’est distingué par sa touche artistique singulière, fruit d’une longue expérience dans la réalisation de documentaires, d’émissions et de séries télévisées.
Quant à Mohamed Hafidi, il s’est d’abord fait connaître dans le journalisme d’investigation à travers l’émission « 45 minutes » sur la chaîne Al Aoula, pour laquelle il a remporté le Grand Prix National de la Presse en 2015. Il a ensuite enrichi son parcours au sein du réseau qatari Alkass, en tant que rédacteur en chef de plusieurs programmes, notamment « Osrati » et « Wach 7na Houma 7na », avant de se spécialiser dans la production documentaire après une formation diplômante à l’Institut Al Jazeera Media en 2023.
Ce succès s’inscrit également dans la stratégie de la chaîne Asharq Documentary, qui continue de miser sur les compétences marocaines. Un nouveau documentaire consacré à l’instrument Guembri emblématique de l’art Gnawa, tourné à Essaouira, est actuellement en préparation et sera diffusé prochainement.
À noter que le groupe Asharq a décroché un total de 160 prix lors de cette édition des Telly Awards, dont 25 médailles d’or, 76 d’argent et 59 de bronze, confirmant ainsi sa place de choix dans le paysage médiatique international et son soutien constant aux talents du monde arabe et du Maroc en particulier.
H.Z
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]]>The post FICAM® : Clôture d’une Édition Éblouissante Alliant Animation et Jeu Vidéo ! appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Cette édition a été marquée par un moment d’exception : l’avant-première marocaine du film Flow de Gints Zilbalodis, ovni cinématographique salué pour son esthétisme immersif et sa narration contemplative. Présenté en partenariat avec Gebeka Films, Flow a conquis les festivaliers par son langage visuel singulier, fusion parfaite entre le cinéma d’animation et l’expérience vidéoludique. Cette projection événement a incarné à elle seule l’ADN du FICAM® 2025 : explorer les passerelles entre les formes artistiques et inviter à de nouveaux récits visuels.
Tout au long de la semaine, la fusion entre animation et jeu vidéo a été au cœur de la programmation dans les formations dispensées à plus de 100 jeunes étudiants venus de tout le Maroc et à travers des conférences, masterclasses et ateliers interactifs menés par des figures de proue des deux secteurs.
Des studios de jeux indépendants, des animateurs reconvertis en game designers et des créateurs hybrides ont partagé leurs visions et expériences, illustrant comment les technologies de l’animation nourrissent désormais les mécaniques narratives du jeu vidéo – et vice versa.
Toute la semaine a été une belle célébration de l’animation pour le grand public, transformant la place l’Agora en un véritable théâtre à ciel ouvert.
Le FICAM a été intense en émotions, ponctués de cartes blanches à des auteurs de renom, de partages intimistes sur les coulisses de création, et de rencontres passionnées entre professionnels et public.
La cérémonie de clôture, tenue à l’Institut français du Maroc à Meknès, a dévoilé un palmarès riche, témoignant de la diversité et de l’excellence des œuvres présentées durant cette édition.
En long-métrage, le Prix du Jury Junior (2 000 €) a couronné Le parfum d’Irak de Léonard Cohen pour sa richesse visuelle et narrative, tandis que le Prix du Public a été remporté par Hola Frida de André Kadi et Karine Vézina véritable coup de cœur populaire.
Enfin, la compétition internationale de films d’animation VR, pour sa seconde édition, a confirmé le succès de cette nouvelle section.
Le Prix du Public VR a été décerné à The river de Anbela Costa
La Mention spéciale du Jury VR a quant à elle été remise à Play Life de Žilvinas Naujokas, Vilius Petrauskas, Mantas Pronckus et Donatas Ulvydas
Enfin le Grand Prix du Jury VR – 3000 € a été adressé Adress Unknown : Fukushima now de Arif Khan
Alors que les lumières du festival s’éteignent, le FICAM® laisse derrière lui une communauté soudée de rêveurs, de créateurs et de curieux, avec dans les yeux la promesse d’un avenir encore plus riche en émotions visuelles et croisements artistiques.
Rendez-vous en 2026 pour une nouvelle édition du FICAM®, où l’imaginaire et l’innovation continueront d’inventer ensemble les récits de demain.
Cdp
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]]>The post Festival Gnaoua 2025 : 33 Maâlems unissent les voix du monde à Essaouira appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Parmi les temps forts dévoilés, le face-à-face électrisant entre Maâlem Khalid Sansi et Cimafunk promet une collision enflammée entre transe gnaoua et groove afro-latin. Khalid Sansi, ancré dans une lignée gnaoua et ouvert sur le monde, fait vibrer l’héritage ancestral au contact du funk révolutionnaire de Cimafunk, phénomène cubain salué pour son énergie explosive et sa conscience afro-descendante.
Autre moment fort : la rencontre spirituelle entre Maâlem Morad ElMarjan et Dhafer Youssef. ElMarjan, jeune figure montante du gnaoua, offre un dialogue mystique avec le maître tunisien du oud, reconnu mondialement pour ses fusions de jazz, de chant soufi et de textures électroniques. Leur performance s’annonce introspective et lumineuse, à l’image d’une prière musicale partagée.
L’édition 2025 met également à l’honneur les grandes voix féminines africaines, avec une collaboration puissante entre Asmaa Hamzaoui & Bnat Timbouktou et Rokia Koné. Hamzaoui, pionnière de la tagnaouite au féminin, partage la scène avec la voix bouleversante de Rokia Koné, surnommée « la Rose de Bamako », dans une célébration vibrante de la mémoire, des racines et de la sororité musicale.
En plus de ces fusions, Cimafunk, Rokia Koné et Dhafer Youssef offriront chacun un concert solo sur la scène Moulay Hassan, cœur battant du festival, pour dévoiler la singularité de leurs univers musicaux respectifs.
Fidèle à sa vocation, le Festival Gnaoua continue d’être un pont entre les cultures, une fête de l’écoute et de la rencontre, où la tradition se renouvelle sans cesse dans l’échange.
LNT
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]]>The post Nouvelle mise en scène de Carmen à Rabat par l’Orchestre Philharmonique du Maroc appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Trois représentations sont programmées dans le cadre de cette tournée.
Placée sous la direction du chef d’orchestre Olivier Holt, cette version réunira plus de 120 artistes, dont des musiciens, solistes et choristes. L’interprétation comprendra également le Chœur Philharmonique du Maroc et le Chœur d’enfants de Mazaya.
La mise en scène, signée Olivier Desbordes et Yassine Benameur, propose une relecture contemporaine de l’œuvre tout en respectant sa dimension dramatique.
Le spectacle, d’une durée de 2h30 avec entracte, est organisé en partenariat avec la Fondation Ténor pour la Culture, avec le soutien du Crédit du Maroc, du Ministère de la Culture et du Théâtre Mohammed V. Les représentations auront lieu le vendredi 30 et le samedi 31 mai à 19h30, et le dimanche 1er juin à 17h.
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]]>The post Nostalgia Brunch : une clôture « caliente » pour le festival 2025 à Casablanca appeared first on La Nouvelle Tribune.
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Un concept exclusif : casablanca reprend les couleurs de séville et les hits 80s
Le Nostalgia Brunch, baptisé “Olé Nostalgia – le brunch le plus caliente de l’été”, transcende le simple repas de clôture pour devenir une véritable scénographie vivante. Entre la ferveur pétillante des ferias de Séville et l’énergie colorée de la pop des années 80, ce voyage sensoriel marie musique live, créations culinaires et clins d’œil à la culture rétro. Reprenant les codes qui ont fait le succès du Nostalgia Lovers Festival – musique live envoûtante, dress code thématique inspiré, scénographie immersive et références pop – ce brunch s’installe au Vélodrome de Casablanca, transformé pour l’occasion en arène andalouse baignée de lumière, où chaque détail – dress code inspiré, décor immersif – crée une atmosphère brunch-chic et décalée. Avec une capacité maîtrisée, l’événement garantit une expérience intimiste et inoubliable.
Une programmation “caliente” entre saveurs andalouses et cocktails créatifs
Dès 14h, des espaces food & drink immersifs ouvriront leurs portes, suivis de performances musicales live qui feront vibrer l’assemblée. Au programme : le légendaire Tito Puente Jr apportera ses rythmes latins endiablés, Gipsy Five enflammera la scène avec son flamenco contemporain, et la voix envoûtante de Susana Sanchez Jimenez ajoutera une touche de chaleur pop. L’ambiance sonore, savant mélange de live et de DJ sets, oscillera entre flamenco, disco et pépites des années 80. L’expérience se prolonge par des animations continues : photobooth immersif, déambulations artistiques, accessoires rétro et surprises visuelles « feria rétro ». Un dress code libre avec une touche rétro-andalou (éventails, rouge passion, lunettes fluo, fleurs dans les cheveux) est suggéré pour parfaire l’immersion. Côté gastronomie, un brunch aux accents espagnols propose tortillas savoureuses, salades estivales colorées, desserts vintage régressifs, complétés d’options veggie et sans gluten. Boissons fraîches, cocktails créatifs et eaux aromatisées sont servis dans plusieurs corners. La carte, signée par un traiteur de renom, et les activations partenaires (food, boisson, mode, lifestyle) prendront vie dans des espaces sponsorisés, pour une expérience à la fois festive, savoureuse et inédite.
Othman Benabdeljelil, organisateur du Nostalgia Lovers Festival, exprime son enthousiasme : “Le Nostalgia Brunch est un format inédit. Une expérience sensorielle, musicale et festive pour terminer le festival avec un grand sourire et un éventail à la main ».
Ne manquez pas cette première historique ! Le Nostalgia Brunch est la promesse d’une clôture inoubliable pour le Nostalgia Lovers Festival 2025, un rendez-vous où la fête, la culture et la gastronomie se rencontrent dans un tourbillon de joie et de nostalgie créative.
Cdp
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]]>The post Casablanca Music Week: une première édition du 20 au 29 juin prochain appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Selon un communiqué des organisateurs, le CMW se distingue par sa capacité à réunir des genres musicaux variés, créant une expérience unique pour le public, notant que le festival réunira sur scène des artistes de renommée internationale de la musique arabe, R&B, hip-hop, pop et fusion.
Parmi les stars annoncées figurent Mary J Blige, Hussain Al Jassmi, Jason Derulo, Gims, Tayc, Dadju, Wyclef Jean, Shaggy, Rahma Riad, Big Ali, Dj Abdel, En Vogue, Hoba Hoba Spirit, Fehd Benchemsi, Djibril Cissé « Tcheba » et Mo Ali & Rootsiders, ajoute la même source.
« Le CMW est une célébration de la musique sous toutes ses formes. Nous sommes fiers de proposer une programmation aussi riche et diversifiée, avec des artistes qui marquent la scène musicale internationale. Grâce à ce line-up prestigieux, cet événement offrira sans aucun doute des moments uniques à tous les festivaliers », a déclaré Hakim Chagraoui, PDG et fondateur de NRJ Maroc, cité dans le communiqué.
Au-delà de sa programmation musicale, le CMW proposera une véritable expérience culturelle. Des projections de cinéma en plein air, des tournois de gaming, des activités sportives et un village food aux saveurs variées viendront compléter l’offre du festival.
Des conférences sur l’innovation culturelle et le futur du divertissement enrichiront également cette édition inaugurale, relève le communiqué, précisant que pour la première fois, Cinerji Cinemas, le nouveau réseau de salles de cinéma, s’associe à l’événement pour proposer une projection exceptionnelle des derniers films sortis en salles, dans un cadre immersif en plein cœur du festival.
LNT avec Map
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]]>The post M’barek Bouhchichi explore l’identité noire dans une nouvelle exposition à Casablanca appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>À travers des portraits réalisés sur des feuilles de caoutchouc, l’artiste explore les rapports entre identité, mémoire et représentation. Son travail se concentre sur des figures issues de la communauté noire marocaine, notamment les Ismgans/Ismkhan de la région de Merzouga, souvent associés à la tradition gnaoua.
Dans le texte du catalogue, l’historienne de l’art Jamila Moroder précise : « Ces présences picturales sont nées de rencontres réelles avec des membres de la communauté Ismgans/Ismkhan, d’où sont issus la majorité des musiciens Gnaoua, à Khamlia, dans la région de Merzouga au nord-est du Maroc, et qui ont laissé leur empreinte sur l’artiste ; mais aussi de visages remémorés ou imaginés, surgis d’un espace intérieur auquel seule la peinture permet d’accéder. »
Bouhchichi, dont les œuvres figurent dans plusieurs collections internationales (Centre Pompidou, MACAAL, Fondation H…), vit et travaille à Tahannaout, près de Marrakech.
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]]>The post Rabat accueille la première mondiale de « ICI » appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Ce projet est le fruit d’une collaboration entre l’ISADAC, le dramaturge français et l’Institut Français du Maroc.
Inspirée des témoignages personnels de treize jeunes comédiens et comédiennes marocains, la pièce prend la forme d’un casting théâtral au cours duquel les participants livrent des fragments de leur vie, exprimant leurs espoirs, leurs doutes et leur engagement pour le théâtre, expliquent les organisateurs.
Rambert a élaboré le texte à la suite de plusieurs séjours sur place, et un processus d’écoute approfondie des jeunes artistes.
La pièce, d’une durée d’environ 1h40, entend restituer le regard d’une génération sur le monde, à travers une série de récits portés à la scène. La scénographie est signée Tarik Ribh et Pascal Rambert, assistés à la mise en scène par Hanane El Allam et Zakaria El Bouanani. La régie est assurée par Azzeddine Agga, le son par Mohamed Belghiti, et les lumières par Taha Kabiri et Taoufik Bouzid.
Le spectacle réunit sur scène Nada Abla, Mohamed Afquir, Driss Barahmoun, Dikra Benouis, Rida Charaha, Nihal Essalama, Aya Jabrane, Saad Labazi, Rim Mermari, Hajar Mesnaoui, Ayman Rahim, Nouhaila Srybyt et Aya Tazi.
Auteur, metteur en scène, réalisateur et chorégraphe, Pascal Rambert est une figure majeure du théâtre contemporain, lauréat du Prix du Théâtre de l’Académie Française en 2016. Il créé chaque année, une dizaine de productions, en France et à l’international. A ce jour, ses textes sont traduits en 35 langues.
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]]>The post La BMCI renouvelle son soutien au Moroccan Short Mobile Film Contest appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Le MMFC s’impose désormais comme une vitrine originale du cinéma numérique accessible. Il met en avant des courts-métrages et documentaires réalisés exclusivement à l’aide de téléphones mobiles, confirmant l’émergence d’un langage cinématographique ancré dans les usages contemporains et porté par une génération connectée.
En tant que partenaire fondateur du concours, la Fondation BMCI réaffirme à cette occasion son engagement pour la promotion de la culture, le soutien aux jeunes créateurs et l’accès élargi aux pratiques artistiques. À travers le MMFC, elle encourage une culture innovante, participative et inclusive, fidèle à ses valeurs de solidarité et d’ouverture.
Le soutien du MJCC à cette troisième édition s’inscrit dans la volonté des pouvoirs publics de valoriser les initiatives culturelles territoriales, de démocratiser l’accès aux outils de création audiovisuelle et de faire émerger de nouveaux récits porteurs de sens. Ce partenariat vise notamment à stimuler les vocations artistiques, en particulier parmi les jeunes, en mobilisant les ressources numériques au service de l’expression citoyenne.
Porté par l’association Patrimoine Image, présidée par Mohamed Ali Lyamani, le concours connaît cette année une participation record, avec plus de 180 films reçus. Un jury composé de personnalités reconnues du paysage artistique et médiatique marocain – Alaa Akaaboune, Mustapha Swinga et Ayoub Lahnoud – a été chargé d’évaluer les œuvres en compétition.
Cinq prix seront décernés lors de la cérémonie : le Prix du Meilleur Film, le Prix du Meilleur Documentaire, le Prix du Meilleur Espoir, le Prix Spécial Fondation BMCI et le Prix du Public. Chaque distinction souligne une facette particulière de la création cinématographique mobile, qu’il s’agisse de la narration, de l’engagement social, de l’émotion partagée ou de la promesse artistique.
LNT
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]]>The post 28e édition du Festival des Musiques Sacrées du Monde: Fès célèbre la diversité spirituelle appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>La cérémonie d’ouverture, présidée par la Princesse Lalla Hasnaa, s’est déroulée dans l’enceinte historique de Bab Al Makina. À cette occasion, SAR la Princesse Lalla Hasnaa a assisté à un spectacle inaugural qui a conjugué expressions artistiques africaines, mises en scène chorégraphiques et compositions musicales inspirées de traditions soufies, andalouses et populaires.
Dans une volonté affirmée de valoriser les racines africaines du Royaume, la programmation de cette édition rend un hommage particulier au continent africain à travers une sélection d’ensembles musicaux venus de Mayotte, du Sénégal, du Burundi, du Sultanat d’Oman, ou encore de Côte d’Ivoire. À travers cette orientation artistique, les organisateurs entendent illustrer les continuités culturelles entre l’Afrique et le Maroc, dans un esprit de coopération Sud-Sud.
Le président de la Fondation Esprit de Fès, Abderrafie Zouiten, a souligné que ce festival s’inscrit dans la vision royale accordant une place centrale à la culture comme vecteur d’unité, de dialogue et de développement. Il a rappelé que l’événement est né de la volonté de promouvoir les valeurs de tolérance et d’ouverture, et d’ancrer la ville de Fès dans sa vocation de carrefour spirituel et intellectuel.
Outre les concerts et spectacles, plusieurs traditions mystiques seront représentées dans les jardins de Jnan Sbil à travers les « Nuits soufies », qui accueilleront chaque soir des confréries musicales du Maroc et d’Afrique subsaharienne. Parmi les moments attendus figurent les performances de l’orchestre Arabo-Andalou de Fès dirigé par Mohammed Briouel, ou encore le concert de clôture du 24 mai, consacré à la tradition griotique d’Afrique de l’Ouest.
Le directeur artistique du festival, Alain Weber, a pour sa part rappelé que cet événement œuvre depuis près de trois décennies à la sauvegarde et à la diffusion des musiques spirituelles du monde. Il a mis en avant l’importance du patrimoine musical immatériel dans le maintien du lien entre les générations et la transmission des identités culturelles.
Le festival accueille cette année plus de 200 artistes venus de 15 pays et propose une trentaine de concerts, ateliers et spectacles gratuits dans les espaces publics de Fès. Les rues avoisinant Bab Boujloud accueillent notamment des performances de rue, telles que la danse Zaouli de Côte d’Ivoire ou les « Echassiers » de la troupe Africa Spirit.
En parallèle des prestations artistiques, des rencontres culturelles sont organisées, dont le Forum de Fès, placé cette année sous le thème « Renaissances », et réunissant des chercheurs, penseurs et personnalités publiques autour des enjeux contemporains du dialogue culturel et de la sauvegarde des patrimoines.
LNT
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]]>The post La 30e Rencontre Sijilmassa du Melhoun se tiendra à Rissani et Erfoud du 16 au 18 mai appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>L’événement est organisé à l’initiative du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication (département de la Culture), sous le Haut Patronage du roi Mohammed VI.
Placée sous le thème « Le Melhoun et la consécration des valeurs de citoyenneté », cette rencontre vise à mettre en lumière le rôle du Melhoun dans la préservation du patrimoine culturel immatériel du Maroc, expliquent les organisateurs.
Le programme comprend notamment des soirées artistiques, prévues au Centre culturel de Rissani et à la Place des Forces Armées Royales à Erfoud, avec la participation de formations musicales issues de différentes régions du pays. Une exposition d’instruments de musique traditionnelle et une master class consacrée à l’art du Melhoun sont également annoncées.
Des ateliers pédagogiques sur le patrimoine immatériel, destinés aux étudiants, figurent aussi au programme, en plus d’une visite guidée de sites historiques de la région.
Par ailleurs, des hommages seront rendus à des artistes reconnus pour leur contribution à cet art oral. Une compétition destinée aux jeunes de moins de 18 ans sera également organisée, afin de favoriser la transmission du Melhoun aux nouvelles générations.
En marge de cette édition, des soirées artistiques seront proposées aux pensionnaires de la prison locale d’Errachidia et au Centre d’accueil et d’insertion d’Erfoud.
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]]>The post Comediablanca 2025 avance ses dates au 29 et 30 Mai 2025 appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Afin d’éviter toute pression logistique ou sécuritaire liée à la cohabitation de deux événements d’envergure, les organisateurs ont préféré avancer le festival d’une journée. Le 29 mai sera ainsi consacré au gala arabophone, tandis que le gala francophone aura lieu le 30 mai.
« Le Maroc est un pays de passion et de cœur. C’est avec cet amour profond pour notre nation et dans le souci du bien de tous que nous avons pris cette décision », explique Saad Lahjouji Idrissi, président de Comediablanca. « Entre football et humour, c’est tout un peuple qui vibre, et nous voulons que chacun puisse profiter de ces moments en toute sécurité et avec toute la joie qu’ils méritent. »
Les organisateurs tiennent à rassurer leur public : ce léger changement de date ne remet nullement en cause la qualité et l’ambition de cette édition, placée sous le signe du rire, du partage et de la convivialité. L’événement, qui rassemble chaque année des humoristes de renom et un public fidèle, vise plus que jamais à offrir un moment fort à toutes les générations.
Comediablanca remercie son public, ses partenaires et l’ensemble de ses équipes pour leur compréhension et leur réactivité, et donne rendez-vous les 29 et 30 mai 2025 pour une édition qui s’annonce plus vivante que jamais.
LNT avec Cdp
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]]>The post Rabat accueille la 2e édition du Festival du film irlandais du 19 au 21 mai appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>L’événement est organisé par l’ambassade d’Irlande, en partenariat avec la Fondation Hiba.
Cette édition mettra à l’honneur des œuvres réalisées, écrites ou produites par des femmes cinéastes irlandaises, précise un communiqué de l’ambassade.
La sélection, sous-titrée en français, comprend Róise & Frank, (19 mai, 18h30), une comédie-drama émouvante en langue irlandaise, et That They May Face the Rising Sun, (20 mai, 18h30), un portrait poétique et contemplatif de l’Irlande rurale, adapté du célèbre roman de John McGahern.
Le 21 mai, la programmation se clôturera avec Mrs. Robinson, un documentaire consacré à Mary Robinson, première femme présidente d’Irlande.
Cette manifestation s’inscrit dans le cadre d’un programme d’activités culturelles prévues tout au long de l’année pour marquer le 50e anniversaire des relations diplomatiques entre l’Irlande et le Maroc.
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]]>The post Rabat : lancement du 212’FlowFest, un nouveau festival consacré au rap marocain appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Selon un communiqué des organisateurs, l’événement réunira à la fois des figures établies du rap national et des artistes émergents issus de différentes régions du pays. Le festival prévoit une programmation mêlant concerts, performances de DJ et expositions en lien avec les cultures urbaines.
Parmi les artistes annoncés figurent L’Morphine, Mister You, Snor, Shobee et Dada, ainsi que d’autres musiciens issus de la scène locale.
Les organisateurs situent cette initiative dans un contexte de croissance continue du rap au Maroc. En 2021, quatre des dix artistes les plus écoutés du monde arabe sur Spotify étaient Marocains, et en 2024, Spotify a confirmé l’ascension du rap comme genre numéro 1 au Maroc.
Le festival entend s’inscrire dans cette dynamique culturelle contemporaine en mettant en avant la scène rap nationale dans ses différentes expressions.
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]]>The post « Morocco meets Tuscany » : une rencontre maroco-italienne placée sous le signe de la culture, de la création et de l’échange appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Une plateforme de dialogue entre cultures méditerranéennes
Selon son organisateur, Marco Viani, cette manifestation s’inscrivait dans une volonté de longue date de tisser des liens durables entre le Maroc et l’Italie. « Nous avons voulu dépasser le simple cadre de l’événementiel pour poser les bases d’un dialogue culturel et économique pérenne entre deux territoires liés par une histoire méditerranéenne commune », a-t-il déclaré.
Au cœur de cette dynamique, la rencontre a permis de croiser les regards de créateurs, de professionnels de l’artisanat, de figures du monde artistique et d’acteurs économiques venus d’Europe, d’Asie et d’Afrique. Le programme a été conçu pour favoriser les échanges informels, les partenariats potentiels et la valorisation de savoir-faire locaux.
Des talents internationaux réunis autour du Maroc
L’événement s’est distingué par la diversité des profils présents. Parmi eux, le réalisateur américain Brandon Li, dont le court-métrage Morocco Arise, co-produit avec Marco Viani, a été projeté devant un public international. Le producteur taïwanais Zhan Liu, les photographes Gabriele Galimberti, Paolo Woods et David Bastianoni, ou encore l’icône Steve McCurry – à travers un message virtuel – ont contribué à souligner la résonance globale de cette initiative.
Le monde de la mode et du design n’était pas en reste, représenté notamment par Simona Clemenza, présidente Europe de DKNY, et Antonella di Pietro, directrice artistique de La Martina. Le pianiste concertiste Jay Gottlieb a également pris part à cette rencontre, dans une volonté d’ouvrir le dialogue entre disciplines artistiques.
Le Maroc, vitrine d’un savoir-faire artisanal contemporain
La délégation marocaine s’est démarquée par une présentation concrète et variée de l’excellence artisanale et industrielle du Royaume. L’entreprise Benson Shoes, représentée par Mohamed Ben Amour, a offert une sélection de babouches mettant en valeur l’expertise locale. De son côté, Bronze Verre a présenté des objets de décoration mêlant verrerie et artisanat du feu, tandis que Le Fabrikant et la créatrice Mina Binebine ont exposé des articles de maroquinerie alliant esthétique contemporaine et tradition marocaine.
Ces présentations ont permis de souligner le potentiel du Maroc dans les secteurs de la création, du luxe artisanal et du design, renforçant son image d’acteur compétitif sur les marchés internationaux.
Une expérience culturelle et sensorielle partagée
Outre les moments de discussion, l’événement a proposé aux participants une immersion culturelle à travers des expériences sensorielles et patrimoniales. La gastronomie a occupé une place centrale, avec des menus fusion associant les traditions culinaires marocaines et toscanes, imaginés par la cheffe Federica Continanza. Des visites, notamment celle du monastère de Badia a Passignano, ont ponctué le séjour. Enfin, les soirées à Certaldo Alto, dans le bar éphémère « La Dolce Vita », ont offert des moments de convivialité appréciés des participants.
Un groupe restreint d’invités a également été convié à une visite privée de la ferme viticole de Marco Viani, A Solatio Winery, pour une dégustation commentée et des échanges autour des productions agricoles régionales.
À l’issue de cette première édition, les organisateurs ont exprimé leur volonté de pérenniser cette dynamique, avec l’ambition d’organiser d’autres rencontres sur le même modèle, tant au Maroc qu’en Europe. Les retombées de l’édition florentine seront suivies dans les prochains mois, alors que plusieurs collaborations sont déjà engagées.
LNT
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]]>The post Forum de Fès 2025 : culture, patrimoine et technologies au cœur des « Renaissances » appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Le premier axe, intitulé « Cultures et patrimoines : quelles expressions des Renaissances ? », s’intéressera aux dynamiques de transformation culturelle et spirituelle qui traversent aujourd’hui les sociétés, notamment en Afrique et en Méditerranée. Des spécialistes tels que les professeurs Jillali El Adnani et Youssef Bokbot interviendront pour partager leurs analyses sur les processus de réappropriation du patrimoine, les formes contemporaines de la mémoire collective et les pratiques culturelles émergentes.
Le deuxième volet du forum portera sur « Que peut apporter l’intelligence artificielle à la culture et au patrimoine ? ». Ce débat sera marqué par la participation de Mme Amal El Fallah Seghrouchni, ministre déléguée chargée de la Transition Numérique et de la Réforme de l’Administration, ainsi que de M. Mohammed Benlahsen, président de l’Université de Picardie Jules Verne. Les échanges porteront sur les applications concrètes de l’intelligence artificielle dans la valorisation, la conservation et la transmission du patrimoine culturel, avec une attention particulière portée aux usages éthiques et inclusifs des technologies.
Pour Driss Khrouz, directeur du Forum de Fès, cette édition s’inscrit pleinement dans la continuité des travaux menés depuis la création du forum : « En donnant une profondeur intellectuelle au Festival, le Forum de Fès interroge les liens entre héritage culturel et avenir commun. La thématique des ‘Renaissances’ permet d’explorer comment les traditions peuvent inspirer des sociétés plus durables et ouvertes. »
LNT
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]]>The post Le Jardin Majorelle inaugure un nouveau lieu d’exposition avec le Pavillon Temporaire appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Le Pavillon Temporaire, conçu comme une structure éphémère de 100 m², marque une première dans l’évolution du Jardin Majorelle. Intégré au circuit de visite, il vise à prolonger l’expérience sensorielle du public en proposant un dialogue entre patrimoine végétal et expression architecturale contemporaine. Cet espace entend ainsi approfondir la compréhension du lieu en explorant son histoire et sa richesse botanique.
À l’initiative de Madison Cox, président de la Fondation Jardin Majorelle, cette commande inaugurale a été confiée à l’architecte marocaine Hiba Bensalek. Le pavillon, construit avec des matériaux respectueux de l’environnement, s’inscrit dans une approche harmonieuse avec le paysage du jardin. Il est destiné à rester en place pendant deux ans, inaugurant une nouvelle série d’interventions architecturales temporaires.
Un concours national sera lancé début 2026 pour imaginer les futurs pavillons éphémères du jardin de la Villa Oasis. Ce programme offrira chaque fois à de jeunes architectes marocains l’opportunité de concevoir une structure temporaire, renouvelant ainsi le regard porté sur le jardin tout en soutenant la création architecturale contemporaine. Le prochain pavillon, issu de ce concours, est attendu pour 2027.
Le Pavillon Temporaire ouvre ses portes avec l’exposition inaugurale Flore Majorelle : Collection vivante. Elle présente une sélection de 20 plantes emblématiques ou rares, choisies parmi les quelque 400 espèces du jardin, par le botaniste californien Dean G. Kelch. L’exposition propose une double lecture des spécimens : une approche scientifique et une interprétation artistique coordonnée par Jaimal Odedra. Des illustrations originales, réalisées pour l’occasion par l’équipe graphique du jardin, viennent enrichir cette exploration botanique.
LNT
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]]>The post Casablanca célèbre son patrimoine Art déco lors des Journées du Patrimoine 2025 appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>La 14ᵉ édition, qui se tiendra du 16 au 18 mai 2025, est placée sous le thème « L’Art déco entre héritage et modernité ». Elle propose un programme culturel autour du patrimoine architectural de Casablanca.
Depuis le 11ᵉ étage de l’espace Comment dire, les visiteurs pourront admirer des vues sur des bâtiments emblématiques du centre-ville comme La Casablancaise, la cathédrale du Sacré-Cœur, le parc de la Ligue arabe, la Grande Mosquée Hassan II, le port, le tribunal et l’horloge. Les activités débuteront le jeudi 16 mai à 17h avec la « Ruche des créateurs », une exposition de marques locales dans les domaines de la mode, du bijou, de la beauté et du design, telles que Djebeli, Faok, Nuqta, Snoodart, Vert Menthe, Carrossablanca, Iconic, Gizelah, Elusive, Sofabrik, Fluorescents, La colline des Potiers…
À 18h les visiteurs pourront assister au vernissage de l’exposition « Houna Al Baida » qui propose une cinquantaine d’œuvres d’artistes en leur présence (vidéo, photographie, linogravure, dessin…).
L’exposition restera accessible jusqu’au dimanche 18 mai. Un espace dédié aux éditeurs marocains permettra également de découvrir des publications récentes, avec des rencontres prévues avec des auteurs.
Le samedi 17 mai, un atelier de dessin animé par Thomas Henriot sera proposé à 16h, suivi à 18h d’une séance d’écoute musicale commentée par Ihssan autour du patrimoine sonore marocain en vinyle. Des pauses gourmandes seront prévues sur place le vendredi soir et le samedi midi.
Les organisatrices rappellent que l’objectif est chaque année de proposer un programme renouvelé, en lien avec l’histoire et l’architecture de la ville : « Cela fait trois années que nous sommes ravies de participer aux Journées du Patrimoine de Casablanca et de rencontrer les amoureux de la ville et de son histoire architecturale. Tous les ans, notre challenge est de nous adapter à une nouvelle thématique et d’offrir aux publics une configuration et un programme qui sauront les surprendre ».
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]]>The post La 18e édition du Festival International de Théâtre de Casablanca met à l’honneur la Tunisie et la transmission artistique appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Douze spectacles nationaux et internationaux sont inscrits à la programmation, en arabe et en français, et seront présentés dans quatre lieux culturels emblématiques de la ville : le Studio des Arts Vivants, le Théâtre Mohammed VI, le Complexe Culturel d’Anfa et le Théâtre Mohamed Zefzaf. La sélection artistique comprend des œuvres repérées lors de manifestations majeures comme le Festival d’Avignon et les Journées Théâtrales de Carthage.
Le Maroc a choisi de mettre à l’honneur la Tunisie pour cette édition. À travers ce choix, le festival rend hommage à une scène théâtrale maghrébine marquée par la richesse de ses formes, son engagement artistique et sa portée mémorielle. Des artistes tunisiens interviendront dans plusieurs spectacles et rencontres, dont la pièce d’ouverture « Danse Céleste », une création tunisienne contemporaine.
Le programme prévoit également des hommages rendus à trois figures majeures du théâtre maghrébin : Mouna Noureddine, actrice tunisienne emblématique ; Elhachmi Benamar, acteur et formateur marocain reconnu dans le théâtre universitaire ; et Souad Khouyi, comédienne marocaine au parcours artistique significatif.
Dans une volonté de structurer un espace de réflexion et de transmission, le festival introduit cette année deux grandes conférences thématiques. La première abordera les évolutions du théâtre maghrébin dans ses dimensions esthétiques et sociales, avec un échange entre créateurs marocains et tunisiens. La seconde s’intéressera aux liens entre théâtre engagé et poésie palestinienne, dans une perspective de mémoire et de résistance.
Un cycle de masterclasses est également prévu, à destination des jeunes professionnels du théâtre. Trois sessions porteront respectivement sur le jeu d’acteur, la mise en scène et l’écriture dramatique. Ces formations, encadrées par des artistes marocains et étrangers, visent à accompagner l’émergence de nouvelles pratiques et de nouveaux talents.
Le festival coïncide cette année avec le 20ᵉ anniversaire de la Fondation des Arts Vivants. Son président, Noureddine Ayouch, a souligné dans une déclaration que cette édition reflète un engagement constant en faveur d’un théâtre porteur de sens, d’émotion et de dialogue. Le directeur du festival, Adil Madih, a pour sa part insisté sur la volonté de renforcer les liens culturels dans l’espace maghrébin et de soutenir la jeunesse artistique.
LNT
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]]>The post Tétouan accueille l’édition anniversaire du Forum International de la Bande Dessinée appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Cette édition marque une double célébration : les 25 ans de la création du département Bande Dessinée à l’Institut National des Beaux-Arts (INBA) et les 80 ans de cette institution d’enseignement artistique.
Organisé par le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, en partenariat avec l’INBA et l’association Chouf, le FiBaD se positionne comme un rendez-vous majeur du 9ᵉ art au Maroc, en Afrique et au Moyen-Orient. A cette occasion, le Centre d’Art Moderne de Tétouan sera transformé en Village de la BD, accueillant artistes, éditeurs et passionnés venus de divers pays.
Le programme mettra l’accent sur la coopération culturelle, avec notamment la participation de partenaires internationaux tels que Wallonie-Bruxelles, l’Institut Français du Maroc et l’Institut Cervantès. Des expositions, ateliers, rencontres professionnelles, master classes, projections, dédicaces, animations jeunesse et spectacles viendront enrichir cette édition.
Une grande exposition intitulée « 25 ans de BD marocaine » retracera l’évolution de la bande dessinée nationale. Elle mettra en lumière le travail de figures emblématiques comme Mohammed Amine El Bellaoui, Zainab Fasiki, Omar Ennaciri, Brahim Rais ou encore Mehdi Annassi. Plusieurs hommages sont également prévus, notamment à Oum El Banine Slaoui et Maaté Daoudi, anciens enseignants de l’INBA et premiers docteurs en arts visuels au Maroc, ainsi qu’à Youssef Daoudi et Mina Koraichi, représentante de la jeune génération.
La création émergente sera mise à l’honneur à travers deux concours : l’un national, destiné aux jeunes auteurs marocains, et l’autre international, ouvert aux bédéistes africains. En parallèle, des éditeurs d’Europe, d’Afrique et du Moyen-Orient participeront à des rencontres autour de la coédition et de la traduction.
Le documentaire Bubbles, réalisé par Hassan Maanany, reviendra sur l’histoire du FiBaD et sur le développement de la bande dessinée au Maroc. La dimension africaine du festival sera particulièrement renforcée par la présence d’auteurs et éditeurs venus du Togo, du Sénégal, du Cameroun et de la République Démocratique du Congo.
Enfin, la journée de clôture du samedi 17 mai sera dédiée à la culture manga, avec un programme comprenant cosplay, projections, tables rondes et ateliers animés par des intervenants marocains, africains et japonais. L’événement se terminera par un concert dessiné mêlant la musique de la chanteuse italienne Marta del Grandi aux illustrations en direct de Cecilia Valagussa, dans le cadre du projet européen Comics Beyond.
AL
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]]>The post Mohamed Choubi n’est plus appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Né à Marrakech en 1963, le défunt était l’un des comédiens marocains les plus présents sur la scène artistique nationale. Diplômé de l’Institut supérieur d’art dramatique et d’animation culturelle (ISADAC) à Rabat, il a campé divers rôles au théâtre, à la télévision et au cinéma.
Tout au long de sa carrière, feu Choubi a joué dans plusieurs pièces de théâtre dont « Son et Lumière » de Tayeb Saddiki, « Siège » de Moulay Lahcen Idrissi, « Kharboucha » de Lahbib Lasfer et « La Porte close » de Youssef Fadel. Il a également mis en scène des œuvres théâtrales telles que « Improvisation », « Hystérie », « La ville et la mer » et « Les lettres de la paume ».
Le défunt a aussi pris part à plusieurs séries et téléfilms, notamment « Mohamed El Hayani », « La Poudre du diable », « El Mejdoub », « Allam El Khayl », « Moul Lmlih » et « Hayna ».
Au cinéma, Mohamed Choubi a tenu des rôles marquants dans de nombreux films à succès dont « Malak », « Mort à vendre », « Mille mois », « Les Battements du destin », « La Route des femmes », « La Symphonie marocaine » et « L’Orchestre des aveugles ».
Nous sommes à Dieu et à Lui nous revenons.
LNT avec Map
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]]>The post Dakhla accueillera son premier concert de rap marocain en mai 2025 appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Il s’agit d’un événement inédit pour cette région du sud du Maroc.
Organisé par Goats Productions en partenariat avec l’École Nationale de Commerce et de Gestion de Dakhla (ENCG Dakhla), le concert se tiendra au centre culturel « Palais des Congrès ». Cette initiative s’inscrit dans une volonté de dynamiser la scène culturelle locale.
L’artiste invité, STORMY, figure connue du rap marocain, montera sur scène à Dakhla après une tournée nationale et internationale marquée par plusieurs représentations à Casablanca, Tanger, Fès, Agadir, Marrakech, ainsi qu’à Montréal.
Ce concert intervient également après la sortie de son dernier titre « PIRATE », qui a rencontré un large succès sur les plateformes de streaming.
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]]>The post Le projet « Madrastna » lance ses compétitions régionales de cinéma et d’improvisation théâtrale appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Initiée le 19 avril, cette phase régionale marque la dernière étape avant la sélection des finalistes qui seront réunis à Casablanca à la fin du mois de mai. Plus de 300 collèges à travers le pays ont participé à la première phase locale. À ce stade, 73 équipes participent aux compétitions d’improvisation théâtrale et 68 équipes concourent dans la catégorie cinéma, après avoir remporté les compétitions provinciales organisées en amont.
Chaque compétition régionale est encadrée par un jury composé d’un binôme de représentants de la Fondation Ali Zaoua, comprenant un expert du domaine concerné (cinéma ou théâtre) et un représentant du secteur éducatif local ou de l’AREF, garantissant ainsi un déroulement des épreuves dans le respect des principes de transparence et d’équité.
Le projet « Madrastna » vise à intégrer les activités artistiques dans le parcours éducatif des collégiens à travers deux modules complémentaires : « Cinéma en classe » et « Improvisation théâtrale ». Le module cinéma propose aux élèves une initiation à la lecture de l’image et à l’écriture audiovisuelle, en combinant projections de films marocains et internationaux, débats, et réalisation de courts-métrages. Le module d’improvisation théâtrale, inspiré de la Ligue Nationale d’Improvisation Théâtrale Nojoum, permet aux élèves de développer des compétences telles que l’écoute, la spontanéité et le travail d’équipe dans un cadre structuré.
« Le programme a permis à des milliers d’élèves dans tout le Royaume de découvrir de nouvelles formes d’expression, de renforcer leur confiance en eux et de réfléchir à des thématiques citoyennes, sociales et culturelles », a déclaré Sophia Akhmisse, Directrice de la Fondation Ali Zaoua.
LNT
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]]>The post Rabat: Plus de 403.000 visiteurs au SIEL 2025 appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Ce nombre de visiteurs représente une augmentation de 26 % par rapport à l’édition précédente, a précisé la même source, ajoutant que cet évènement a réuni 756 exposants, issus de 51 pays et présentant près de 100.000 titres.
Placée sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI, cette édition, qui a mis à l’honneur l’émirat de Sharjah (Émirats arabes unis), a été organisée par le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, en partenariat notamment avec la région de Rabat-Salé-Kénitra et la wilaya de la même région.
Vitrine de la dynamique que connait la scène culturelle marocaine, le SIEL 2025 a renforcé le rayonnement de la ville de Rabat en tant que destination culturelle, tant au niveau national qu’international.
LNT avec Map
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]]>The post SIEL 2025 : Remise des Prix du Maroc du Livre et du Prix national de la lecture appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Inscrite dans le cadre de la 55ᵉ édition de ce prix prestigieux, la cérémonie a rendu hommage aux contributions intellectuelles et culturelles marocaines. Le Prix du Maroc du Livre est reconnu comme l’une des distinctions majeures visant à valoriser la production littéraire, scientifique et artistique nationale.
Les œuvres primées ont été évaluées par des comités scientifiques spécialisés, présidés par Rahma Bourkia, et composés d’universitaires, de chercheurs et d’écrivains marocains.
Le palmarès 2024 distingue Idriss El Melliani et Mohamed Aziz El Hossini, lauréats ex-aequo du Prix de la poésie, tandis que Said Montasib a remporté le Prix de la narration. Dans la catégorie des sciences humaines, le prix a été attribué conjointement à Hicham Rakik et Samir Ait Oumghar.
Hassan Taleb a été primé dans la catégorie de la traduction. Le Prix des études de la culture amazighe est revenu à Larbi Moumouche, tandis que Fouad Azeroual a été distingué pour la littérature amazighe.
Il est à noter que les prix des sciences sociales, des études littéraires, artistiques et linguistiques, ainsi que celui de la littérature pour enfants et adolescents n’ont pas été décernés pour cette édition.
Dans le même cadre, la 11ᵉ édition du Prix National de la Lecture a également été organisée lors du SIEL 2025, récompensant dix lauréats venus de tout le Royaume. Cette initiative, portée par le Réseau de lecture au Maroc en partenariat avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, vise à promouvoir la culture de la lecture auprès des enfants, des jeunes et des étudiants.
Plus de 5 600 candidats issus de 70 directions régionales ont participé cette année, représentant divers niveaux d’enseignement, des écoles primaires aux universités, ainsi que des clubs de lecture.
Les lauréats du primaire sont Yassir Allaoui (école Al-Kindi, Errachidia), Ferdaous Jaafar (école Talehianet, Khénifra), Tarek Echaref (école Mehdi Ben Toumart, Taza) et Aya Hamdoun (école Al Irchad, Tanger). Dans la catégorie collège, Mohamed Benchaoued (collège Tagna, Guelmim) et Ferdaous Rami (collège Salaheddine Al-Ayoubi, Mohammedia) ont été primés. Pour le lycée, les distinctions ont été attribuées à Rim Chamanti Al-Hawari (lycée Moulay Idriss, Fès) et Hind Deriassi (lycée Charif Al Idrissi, Ben Slimane). Enfin, dans la catégorie universitaire, les lauréats sont Ferdaous Ben Yacoub (UM6P, Rabat) et Imrane Loukilia (Centre des classes préparatoires du Lycée Mohammed VI d’Excellence, Benguérir).
La présidente du Réseau de lecture au Maroc, Rachida Rouki, a souligné que cette édition a particulièrement mis l’accent sur l’inclusion des régions rurales et des maisons d’étudiantes, dans l’objectif de renforcer l’accès à la lecture pour tous.
Fondé en 2013, le Réseau de lecture au Maroc œuvre pour faire de la lecture un levier essentiel d’accès au savoir et au développement personnel.
LNT
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]]>The post Casablanca Music Week : Une première édition dédiée à la diversité culturelle appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Le festival se positionne comme un nouveau rendez-vous annuel pour la scène artistique locale et internationale. La billetterie est désormais ouverte en prévente sur la plateforme Webook.com, avec des Pass disponibles à tarifs préférentiels pour les premiers acheteurs.
Le Casablanca Music Week prévoit une programmation riche, articulée autour de plusieurs univers artistiques. Les week-ends seront dédiés aux concerts de musique live, avec la présence annoncée d’artistes internationaux tels que Shaggy, Wyclef Jean, Gims, Dadju, Tayc, FloyyMenor et En Vogue. D’autres noms viendront compléter l’affiche dans les prochaines semaines.
En semaine, le festival proposera des séances de cinéma en plein air, créant une expérience immersive sous les étoiles, ainsi que des compétitions de E-gaming pour les amateurs de jeux vidéo. Des activités sportives seront également organisées pour encourager la pratique d’activités physiques dans un cadre festif.
Au-delà du divertissement, le CMW prévoit un cycle de conférences qui réunira experts et acteurs culturels autour de thématiques liées au développement de la scène culturelle casablancaise et aux dynamiques de l’événementiel urbain. Cet espace de réflexion vise à renforcer le dialogue culturel et à offrir une valeur ajoutée intellectuelle à l’événement.
Hakim Chagraoui, PDG et fondateur de NRJ Maroc, a souligné que « le Casablanca Music Week est conçu comme une plateforme d’expression culturelle complète. Cette première édition ambitionne de devenir un rendez-vous majeur de la scène artistique marocaine, en combinant diversité des propositions, qualité des intervenants et ouverture internationale. »
Le Casablanca Music Week proposera également un Village artistique, avec un Marché des Créateurs mettant en avant l’artisanat local, une Chill Zone pour la détente, un Food Court offrant une diversité culinaire, ainsi qu’une Gaming Zone dédiée aux compétitions d’improvisation et d’e-sport.
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]]>The post Comediablanca 2025 : Deux soirées d’humour et un village artistique éphémère appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Cette nouvelle édition s’articulera autour de deux soirées distinctes. La première, à dominante arabophone, réunira plusieurs humoristes marocains parmi lesquels Hanane Fadili, Oussama Ramzi, Ayoub Idri, Mohammed Fateh, Driss et Mehdi, Ghita Kitane, Simo Sedrati, ainsi que le duo Said et Ouadie. La seconde soirée, consacrée à l’humour francophone, accueillera Mimo Lazrak, Roman Frayssinet, Meryem Benoua, Oualas, Sarah Lélé, Coco Makmak, Ethan Lallouz et Erick Baert.
Au-delà des représentations, Comediablanca entend offrir une plateforme de valorisation et de structuration de l’industrie humoristique nationale. Selon Saad Lahjouji Idrissi, directeur de l’Agence Tendansia et co-fondateur du festival, cette initiative se veut « une manifestation culturelle pluridimensionnelle » qui repose sur le développement de talents locaux et le renforcement des échanges avec d’autres scènes africaines francophones.
Myriam Bouayad, également co-fondatrice du festival, a souligné le rôle fédérateur de l’humour dans le paysage culturel, en insistant sur le potentiel du Maroc à devenir un pôle régional dans le domaine des arts comiques. Elle a mis en avant les infrastructures disponibles et l’intérêt croissant du public pour ce type de programmation.
L’une des nouveautés de cette édition réside dans la création du « Village Comediablanca », un espace artistique et convivial conçu par le directeur artistique Amir Rouani. Pensé comme un quartier éphémère, il comprendra un marché des créateurs dédié à l’artisanat local, un espace détente baptisé Chill Zone, un Food Court proposant une diversité culinaire, ainsi qu’une zone dédiée à l’improvisation humoristique.
En parallèle, le festival renforcera son volet d’accompagnement des jeunes talents. En collaboration avec la Fondation Hiba, un programme de soutien comprenant résidences artistiques, masterclasses et suivi post-événement sera proposé afin de contribuer à structurer un écosystème durable pour les humoristes émergents.
Pour l’humoriste Oussama Ramzi, présent dans cette édition comme dans la première, Comediablanca constitue un rendez-vous singulier : « Ce festival met en lumière notre métier avec sérieux, tout en favorisant des ponts entre générations, styles et langues ».
L’événement ambitionne de rassembler environ 4.000 spectateurs sur deux jours et d’offrir une expérience immersive mêlant performances scéniques et interactions avec le public.
LNT
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]]>The post « Chœur à Cœurs » : une tournée hommage aux King’s Singers appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Dirigé par le chef franco-marocain Anass Ismat, ce programme éclectique mêlant musique ancienne et arrangements contemporains sera présenté à Rabat, Casablanca et Marrakech du 24 au 27 avril 2025. À travers un répertoire explorant l’amour sous toutes ses formes, l’ensemble célèbre la richesse de la polyphonie vocale dans l’esprit des King’s Singers. Le programme comprend notamment des œuvres de Rossini, Martini, Billy Joel, Duke Ellington ou encore des chants traditionnels, et s’adresse à un large public, amateur ou néophyte. Formé à Rabat et à Lyon, Anass Ismat dirige depuis 2015 le chœur de l’Opéra de Dijon et a rejoint récemment le Chœur Philharmonique du Maroc, formation créée en 2015 par la Fondation Ténor pour la Culture. Les billets sont disponibles en ligne et dans plusieurs points de vente dans les trois villes.
AL
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]]>The post Festival Mawazine 2025 : Becky G et Aespa attendues à Rabat appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>L’événement a récemment dévoilé une partie de sa programmation pour la scène de l’OLM Souissi.
Le 22 juin, la chanteuse américaine Becky G se produira devant le public marocain. Révélée par des titres tels que Shower, Mayores ou MAMIII, l’artiste s’est imposée comme l’une des figures majeures de la musique latine contemporaine. En 2024, elle a sorti Encuentros, un album axé sur son identité culturelle, et interprété The Fire Inside, chanson nommée aux Oscars, lors de la cérémonie des Academy Awards. En 2025, elle poursuit sa présence médiatique en participant à une campagne diffusée lors du Super Bowl et en apparaissant à Coachella aux côtés de l’artiste Tyla. En avril, elle a été reconnue par la Harvard Foundation pour son engagement artistique et social.
Le 24 juin, ce sera au tour du groupe sud-coréen Aespa de monter sur scène. Formé par le label SM Entertainment, le quatuor féminin est l’un des représentants les plus en vue de la quatrième génération de K-pop. Alliant avatars numériques, métavers et performances scéniques, Aespa propose un univers musical et visuel mêlant innovation technologique et pop contemporaine. Depuis leurs débuts en 2020, les membres Karina, Winter, Giselle et Ningning ont enchaîné les succès internationaux, notamment avec leur album Armageddon, sorti en 2024, et leur EP Whiplash. Lauréates du prix « Group of the Year » aux Billboard Women in Music Awards en mars 2025, elles sont actuellement en tournée mondiale avec SYNK: PARALLEL LINE, incluant des arrêts dans plusieurs grandes villes. Leur venue à Mawazine s’annonce comme une étape marquante de ce parcours international.
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]]>The post Jidar-Rabat Street Art Festival : dixième édition du 8 au 18 mai 2025 appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Pour marquer cet anniversaire, onze murs répartis dans la ville seront investis par des artistes issus de huit pays : BEZT (Pologne), Ratur et NEAN (France), Smithe (Mexique), Demsky et Iván McGill (Espagne), Lonac (Croatie), Iota (Belgique), MURFIN (Espagne), Mundana (Équateur), ainsi que les Marocains Masawi, Azhar et Bluuecrab. Des artistes comme Hideyuki Katsumata (Japon) prendront également part à l’opération « Paysages cubiques » dans le parc Hassan II, où trois structures géométriques serviront de supports à des œuvres collaboratives.
Un autre moment phare du festival est le Mur collectif, prévu du 12 au 18 avril, qui permettra à une dizaine de jeunes artistes d’élaborer une fresque commune sous la supervision de Réda Boudina (alias RDS). Cet espace de création participative vise à encourager l’émergence de nouveaux talents. Jeunes artistes, étudiants en école d’art ou passionnés de street art sont appelés à envoyer leur candidature avant le 30 avril.
Le festival proposera aussi des visites guidées gratuites à travers trois circuits dans la ville. Ces parcours permettront au public de découvrir les œuvres et les histoires qui les accompagnent, en darija, français ou anglais. Des rencontres avec les artistes, les « Jidar Talks », auront lieu au café de la scène du cinéma Renaissance.
Pour les plus jeunes, le programme Jidar Kids proposera des ateliers de création murale autour du thème « Dessine mon patrimoine ». Encadrés par l’artiste Machima, huit enfants par groupe auront l’occasion de concevoir et peindre leur propre fresque pendant trois jours.
À l’occasion de son dixième anniversaire, le festival prévoit une série d’événements tout au long de l’année 2025, qui seront annoncés via ses réseaux sociaux et son site internet.
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]]>The post Ouverture à Rabat de la 30e édition du Salon International de l’Édition et du Livre appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Organisé par le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, en partenariat avec la région Rabat-Salé-Kénitra et la wilaya de la région, le Salon réunit cette année 756 exposants représentant 51 pays. Parmi eux, 292 exposants participent directement et 464 indirectement. Plus de 100 000 titres couvrant des domaines variés sont proposés au public.
Le choix de l’Émirat de Charjah comme invité d’honneur s’inscrit dans le cadre de la coopération culturelle entre le Royaume du Maroc et les Émirats Arabes Unis. Cette participation vise à présenter les initiatives en cours dans le domaine du livre et à valoriser les relations bilatérales dans le champ culturel.
Le Salon propose un programme culturel comprenant des conférences, des rencontres littéraires, des présentations d’ouvrages, ainsi que des activités destinées au jeune public. Des auteurs, chercheurs et professionnels du secteur culturel, nationaux et internationaux, sont attendus pour animer les différentes séquences du programme.
Des hommages seront rendus à des personnalités du monde littéraire et artistique marocain, ainsi qu’à des figures culturelles arabes, en partenariat avec l’Organisation arabe pour l’éducation, la culture et les sciences (ALECSO). Plusieurs prix seront également remis au cours de l’événement, dont le Prix Ibn Battouta de la littérature de voyage et le Prix National de la Lecture.
S’exprimant en marge de la cérémonie d’ouverture, le ministre Mohamed Mehdi Bensaid a rappelé que le Salon s’inscrit dans une démarche visant à renforcer la place du livre dans les politiques culturelles. Il a indiqué que des Assises nationales sur la lecture sont en cours de préparation, afin d’analyser les évolutions du secteur et d’envisager des actions adaptées aux défis actuels, notamment ceux liés au développement du numérique et aux usages émergents liés à l’intelligence artificielle.
Le ministre a également annoncé qu’un colloque serait organisé à l’issue du Salon, dans l’objectif de formuler des recommandations concrètes pour améliorer l’accessibilité du livre, en concertation avec les acteurs institutionnels, les professionnels du secteur et les associations concernées.
Cette édition du SIEL est également placée dans la perspective de la désignation de Rabat comme Capitale mondiale du livre en 2026. Le Salon entend ainsi contribuer à la valorisation de la ville en tant que pôle d’activité culturelle, à l’échelle nationale et internationale.
LNT
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]]>The post Jazzablanca 2024: 180 artistes et une édition sous le signe de la fusion musicale appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Selon un communiqué des organisateurs, cette édition prévoit 26 concerts animés par des artistes issus de 14 pays : Royaume-Uni, France, États-Unis, Australie, Nouvelle-Zélande, Pologne, Brésil, Liban, Palestine, Tunisie, Algérie, Cuba, Mali et République Démocratique du Congo.
Le Maroc y sera représenté à travers cinq artistes aux esthétiques singulières : Hindi Zahra, Aïta Mon Amour, Majid Bekkas Trio, Oum, et le duo Hamid El Kasri & Mehdi Nassouli, ajoute la même source.
Sur la scène principale, Casa Anfa, se produira Oum, figure emblématique de la scène musicale marocaine contemporaine. L’artiste proposera un voyage sonore empreint de douceur, où s’entrelacent les influences sahariennes, le jazz et la soul, dans une expression artistique à la fois ancrée et ouverte sur le monde.
A la clôture de cette 18ᵉ édition, Jazzablanca présentera une création originale inédite, fruit d’une rencontre entre deux figures majeures de la musique gnaoua : Hamid El Kasri et Mehdi Nassouli.
Ce projet, imaginé spécialement pour le festival, rassemblera sur scène ces deux Maâlems de générations différentes, porteurs de styles complémentaires, et chacun fort d’une riche expérience de collaborations internationales.
Parmi les moments forts également, le public aura rendez-vous, le 5 juillet, avec la saxophoniste britannique Nubya Garcia (Scène 21), figure montante de la scène jazz londonienne, et le groupe français, référence incontournable de l’électro-swing, Caravan Palace.
Le 10 juillet, l’organiste américain Cory Henry, et son groupe The Funk Apostles investiront la Scène Casa Anfa pour un set mêlant gospel, jazz et funk. Il sera suivi du groupe australien d’indie pop qui fait vibrer les foules du monde, Parcels, poursuit le communiqué.
Le jour suivant, sur la Scène 21, le public découvrira Dominique Fils-Aimé, chanteuse canadienne à la voix envoûtante, dont l’univers musical mêle avec finesse soul, jazz et engagement social.
Il convient de rappeler que la programmation de Jazzablanca à Anfa Park s’articule en trois temps forts : du 3 au 5 juillet, le festival s’ouvre avec éclat, proposant trois soirées riches en émotions, où se mêlent grandes icônes internationales. Du 6 au 9 juillet, le Village devient un véritable laboratoire artistique, offrant un espace d’exploration propice à la découverte, avec une Scène 21 dédiée aux artistes qui repoussent les frontières du jazz et des musiques actuelles.
Enfin, du 10 au 12 juillet, Jazzablanca retrouve toute son ampleur sur ses deux scènes phares pour clore cette 18ᵉ édition en beauté, avec des têtes d’affiche prestigieuses, des créations originales et des performances d’une rare intensité.
LNT avec Map
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]]>The post Le Pavillon France au SIEL 2025 : une édition tournée vers le vivant et les enjeux écologiques appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Placée sous le thème du « Vivant », cette édition mettra l’accent sur les enjeux écologiques en collaboration avec les Éditions Wildproject.
Le Pavillon proposera un programme varié comprenant une exposition consacrée à l’histoire des lanceurs et lanceuses d’alerte à l’échelle mondiale, des rencontres et débats animés par des figures de la scène littéraire et intellectuelle telles que Leïla Slimani, Jean-Christophe Goddard, Sabah Rahmani et Estelle Zhong Mengual, ainsi que des ateliers jeunesse et numériques autour de la sensibilisation environnementale.
L’Institut français du Maroc procédera également à la remise du Prix Choix Goncourt Maroc, récompensant le roman préféré des étudiants marocains et participera à celle du prix de l’Arganier décerné par les lycéens du réseau des établissements de l’enseignement français au Maroc.
En lien avec l’invitation d’honneur du Maroc au Festival du Livre de Paris, un espace sera réservé aux éditeurs francophones marocains pour présenter leurs publications récentes. Le SIEL 2025 sera également l’occasion de célébrer le cinéma marocain en lien avec la littérature et les arts, précise l’IF dans son communiqué. Plusieurs projections mettront en lumière la figure emblématique d’Edmond Amran El Maleh, auteur d’une œuvre littéraire foisonnante, ainsi que le portrait de Taha Hussein, père fondateur de la modernité de la littérature et de la pensée scientifique arabes.
AL
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]]>The post Fès accueille la 28ᵉ édition du Festival des Musiques Sacrées du Monde sous le signe des « Renaissances » appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Créé en 1994, ce festival international s’est imposé comme une référence mondiale en matière de musiques spirituelles. Il coïncide en 2025 avec le 44ᵉ anniversaire de l’inscription de la médina de Fès au patrimoine mondial de l’UNESCO. La programmation, à la fois riche et éclectique, proposera neuf jours de concerts, de rencontres, de performances artistiques et de moments de réflexion autour des valeurs du vivre-ensemble, dans un contexte mondial marqué par les tensions et les incertitudes.
Un thème en résonance avec les valeurs du Royaume
Le président de la Fondation Esprit de Fès, Abderrafia Zouitene, a indiqué que cette édition est conçue en harmonie avec « l’esprit de notre pays qui s’est toujours positionné comme une terre de renouveau culturel, spirituel et artistique, portée par la volonté de Sa Majesté le Roi que Dieu L’assiste ». Il a souligné que le choix du thème « Renaissances » s’inscrit dans la continuité des éditions précédentes et reflète l’attachement du Maroc à la promotion d’un dialogue interculturel fondé sur le respect et la coopération Sud-Sud.
Cette édition mettra l’Italie à l’honneur, en hommage à son rôle fondateur dans le mouvement de la Renaissance en Europe. Un jumelage culturel entre les villes de Fès et de Florence symbolisera ce lien. L’Afrique occupera également une place centrale dans la programmation, valorisant les expressions artistiques du continent dans leur diversité, leur vitalité et leur ancrage dans les traditions spirituelles.
Une ouverture artistique célébrant la diversité
Le spectacle d’ouverture, intitulé « Renaissances, de la Nature au Sacré », prévu le 16 mai sur la scène de Bab Makina, proposera un voyage visuel et sonore mêlant traditions soufies, influences africaines, héritage arabo-musulman et culture européenne. Cette création inédite mettra en scène des artistes venus d’Afrique de l’Ouest, de l’Océan Indien, du Moyen-Orient et d’Europe, dans un hommage à la quête universelle de spiritualité et de renouveau.
Le programme se déploiera entre la grande scène de Bab Makina et le théâtre de verdure de Jnan Jbil, offrant trois temps forts quotidiens à 17h, 21h et 23h. Les week-ends seront marqués par des rencontres musicales singulières : rituels soufis, musiques sacrées d’Orient, chants baroques italiens, danses traditionnelles africaines et créations contemporaines.
Parmi les moments attendus : les « Vêpres de la Sainte Vierge » de Monteverdi sous la direction du maestro Antonio Greco en collaboration avec l’orchestre de Fès dirigé par Mohammed Briouel, les Rituels soufis de l’Océan Indien, les derviches d’Istanbul ou encore les Master Musicians of Jajouka.
Une programmation ancrée dans les patrimoines vivants
Le jeudi 22 mai, une création musicale exceptionnelle autour de la musique andalouse viendra commémorer les 44 ans de l’inscription de la médina de Fès à l’UNESCO, réunissant 44 musiciens sous la direction du maître Mohammed Briouel. Ce spectacle sera précédé d’une prestation autour de la harpe africaine Seperawa, et suivi d’une Nuit Soufie à Jnan Jbil.
La programmation prévoit également la présence de grands noms comme Miguel Poveda (pour un Poema del Cante Jondo), les Griots de l’ancien Royaume Ashanti, l’Ensemble Hagash d’Arménie ou encore des artistes venus de Perse et d’Afrique de l’Ouest.
Des animations gratuites seront également proposées à Bab Boujloud avec notamment la troupe Africa Spirit, les danseurs Zaouli de Côte d’Ivoire et des spectacles de rue.
Un forum pour accompagner la réflexion
Le festival reconduit son Forum de Fès, espace de dialogue lancé en 2001, où chercheurs, penseurs et acteurs culturels échangeront sur les « renaissances » sous l’angle des patrimoines, de l’intelligence collective et des mutations sociétales. Plusieurs thématiques seront abordées, notamment les promesses et les risques de l’intelligence artificielle, ou encore les formes contemporaines de transmission culturelle.
La Fondation Esprit de Fès, organisatrice de l’événement, poursuit ainsi son engagement en faveur d’une culture au service de la paix, du dialogue et du rapprochement des civilisations. La ville de Fès, entre héritage spirituel et projection vers l’avenir, réaffirme son rôle de passerelle entre les cultures.
Le programme complet est disponible sur fesfestival.com/2025 et via l’application mobile Fès Festival sur App Store et Play Store.
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]]>The post Nostalgia Lovers Festival 2025 : Une nouvelle édition dédiée à la culture pop des décennies passées appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>L’édition 2025 proposera une programmation élargie, combinant concerts, performances interactives et animations en lien avec l’univers rétro. Durant trois jours, le site du Vélodrome accueillera des artistes internationaux reconnus, parmi lesquels Londonbeat, Shola Ama, Boney M Xperience, Lou Bega, Las Ketchup, Montell Jordan ou encore C+C Music Factory. L’événement réunira également des formations issues de scènes emblématiques telles que Modern Talking, Mr. President, Ace of Base et Technotronic.
La manifestation se veut intergénérationnelle, visant aussi bien les amateurs nostalgiques que les curieux souhaitant découvrir les courants artistiques ayant marqué les décennies passées. La scénographie prévue à cette occasion intégrera des éléments emblématiques de ces époques : bornes d’arcade, flippers, photobooths aux néons colorés, cabines téléphoniques revisitées ou encore studios vidéo inspirés de la télévision musicale des années 80 et 90. À cela s’ajouteront des animations culinaires, des concours de tenues vintage, ainsi que des partenariats avec des marques et médias de référence dans l’univers rétro.
Le Vélodrome de Casablanca, choisi pour son emplacement central et sa capacité d’accueil de près de 8 000 personnes par jour, sera entièrement réaménagé afin de proposer plusieurs ambiances réparties sur différents espaces. Le site sera conçu pour permettre une circulation fluide des festivaliers tout en préservant l’aspect immersif de chaque installation.
Les organisateurs indiquent que la billetterie est ouverte, avec plusieurs formules proposées, dont des pass journaliers, des pass week-end ainsi que des offres promotionnelles à tarif réduit. L’objectif affiché est de positionner le Nostalgia Lovers Festival comme un événement majeur de la scène culturelle marocaine, avec des perspectives de développement dans d’autres villes à l’avenir.
Pensé comme un hommage à la pop culture des dernières décennies, le festival entend conjuguer divertissement et transmission, en réactivant la mémoire collective à travers une programmation artistique et scénique adaptée à un large public.
LNT
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]]>The post Festival du Livre de Paris 2025 : Le Maroc inauguré pays invité d’honneur par Mehdi Bensaid appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>La cérémonie s’est déroulée en présence de plusieurs personnalités marocaines et françaises, parmi lesquelles la ministre française de la Culture Rachida Dati, la présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse, ainsi que le conseiller de Sa Majesté le Roi, André Azoulay.
Aux côtés de figures politiques et culturelles, étaient également présents l’ambassadeure du Maroc en France, Samira Sitail, l’ambassadeur du Royaume auprès de l’UNESCO, Samir Addahre, et le président du groupe d’amitié France-Maroc du Sénat, Christian Cambon. L’événement a rassemblé de nombreux auteurs marocains et français, venus assister au lancement d’un programme culturel dense autour du thème « Lettres du Maroc ».
Une programmation littéraire et artistique diversifiée
Le pavillon marocain accueille une quarantaine de maisons d’édition dans le cadre d’une programmation riche de 46 événements, avec notamment 28 conférences, 16 panels thématiques, 10 présentations de livres, deux performances artistiques, et plusieurs hommages à des figures majeures de la littérature marocaine comme Driss Chraïbi, Mohamed Khair-Eddine et Edmond Amran El Maleh. Un panel intitulé Destin atlantique France-Maroc explore quant à lui les liens maritimes et culturels entre les deux nations, dans le prolongement du thème de cette année : la mer.
L’espace jeunesse propose également des ateliers ludiques autour du tissage, du zellige et du conte musical, avec notamment Le voyage de Pois Chiche. La place des femmes dans la littérature est mise à l’honneur à travers plusieurs rencontres avec des autrices marocaines contemporaines.
Dans son discours inaugural, le ministre Mohamed Mehdi Bensaid a souligné l’importance de cette présence marocaine comme une opportunité de renforcer les liens culturels et intellectuels entre la France et le Maroc. « Cette amitié, a-t-il déclaré, vieille de plusieurs siècles, a toujours l’intensité des jeunes passions, fondée sur l’impondérable des langues, des mémoires, des récits partagés ». Selon lui, la culture, en tant que vecteur d’un dialogue constant, est un pilier de la coopération entre les deux pays.
Évoquant les ressources humaines, le savoir et la créativité comme fondements des civilisations, M. Bensaid a affirmé que « le Maroc, résolument inscrit dans son environnement africain, et la France, forte de son savoir-faire culturel, peuvent construire ensemble une utopie euro-africaine ancrée dans les industries culturelles et créatives ».
Insistant sur la centralité du livre dans cet écosystème, le ministre a exprimé son souhait de voir les métiers du livre – éditeurs, libraires, imprimeurs, traducteurs – au cœur d’une nouvelle dynamique sociale et culturelle. « À l’heure de l’intelligence artificielle, la culture demeure la seule richesse non remplaçable, et le livre en est le foyer central », a-t-il déclaré.
Le rôle fédérateur de la culture
De son côté, la ministre française de la Culture Rachida Dati a salué la richesse du partenariat franco-marocain et le choix du Maroc comme invité d’honneur. Elle a qualifié le festival de « fête de la culture » et insisté sur le rôle de la lecture dans la construction de relations plus harmonieuses entre les nations.
Le président du Syndicat national de l’édition (SNE) et du Festival du Livre, Vincent Montagne, a mis en avant les liens historiques entre les deux pays, rappelant que plusieurs auteurs marocains ont été distingués par des prix littéraires français prestigieux, dont Tahar Ben Jelloun et Leïla Slimani. Il a également souligné que le Maroc est un acteur clé de la francophonie, publiant en arabe et en français, et que cette dualité linguistique est porteuse de dialogue et de transmission.
Le directeur du Festival, Pierre-Yves Bérenguer, a pour sa part salué la qualité de la coopération avec les autorités marocaines, qualifiant la programmation dédiée au Maroc de « foisonnante et transdisciplinaire ». Il a souhaité que cette participation inspire d’autres formes de partenariat littéraire entre les rives de la Méditerranée.
Enfin, la présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, a souligné que la littérature est un pont entre les peuples, citant les nombreux échanges littéraires franco-marocains. « C’est une mer qui nous relie, mais ce sont les livres qui font les ponts », a-t-elle déclaré, appelant à consolider la lecture comme pilier de citoyenneté et de lien social.
À l’issue de la cérémonie, les invités ont visité le pavillon marocain, conçu comme un espace immersif et ouvert sur la diversité culturelle du Royaume. Sa programmation entend refléter le dynamisme de la création contemporaine marocaine, tout en réaffirmant le rôle central du livre dans la transmission des récits, des savoirs et des identités.
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]]>The post Candlelight propose une première série de concerts à Marrakech appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Candlelight est un concept développé par Fever, plateforme spécialisée dans les événements culturels. L’objectif de ces concerts est de rendre la musique classique accessible à un large public, dans des lieux atypiques et souvent éloignés des salles de concert traditionnelles. Déjà présente dans plus de 150 villes à travers le monde, notamment à Casablanca, Rabat et Tanger, la série élargit sa présence au Maroc avec une étape inédite à Marrakech.
Les premières représentations dans la ville porteront sur un répertoire éclectique mêlant musique classique et œuvres contemporaines. Le programme prévoit des concerts dédiés aux œuvres de Vivaldi, ainsi que des hommages à Queen, ABBA, Adele ou encore Hans Zimmer. Les concerts seront interprétés par des formations locales, dont les Quatuors Saphir et Atlas.
Ces performances auront lieu au centre culturel Meydene, transformé pour l’occasion en un espace intimiste éclairé par des milliers de bougies. Cette mise en scène particulière vise à offrir une expérience immersive, propice à une écoute attentive dans une ambiance singulière.
Nabil Slitine, fondateur de Nasli Holding, structure en charge du lieu, a salué l’arrivée de Candlelight à Marrakech, estimant que « Meydene constitue un cadre propice à l’expression artistique, et cette programmation musicale vient enrichir l’offre culturelle du site ». De son côté, Rachid Elameri, Directeur Général Régional et Responsable Mondial des Licences chez Fever, a rappelé que l’objectif est de « créer des expériences culturelles uniques dans des lieux emblématiques, et Marrakech, avec son patrimoine et sa vitalité artistique, s’inscrit naturellement dans cette démarche ».
En plus des concerts, une formule incluant un dîner en trois services sera proposée au Café Grec, établissement situé à proximité de l’espace scénique, prolongeant l’expérience culturelle par une dimension gastronomique.
Les concerts Candlelight à Marrakech sont rendus possibles grâce au concours de plusieurs partenaires, dont KBK Conseil Holding.
Programmation annoncée :
25 avril, 18h30 : « Les Quatre Saisons de Vivaldi » par le Quatuor Saphir
25 avril, 21h00 : « Queen vs ABBA » par le Quatuor Saphir
4 mai, 18h30 : « Hommage à Adele » par le Quatuor Atlas
4 mai, 21h00 : « Hommage à Hans Zimmer » par le Quatuor Atlas
Les billets sont disponibles sur la plateforme Fever, via le site web ou l’application mobile.
LNT
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]]>The post Le Musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain célèbre Tahar Ben Jelloun appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Intitulée « De l’écriture à la peinture », l’exposition révèle également une facette plus littéraire de l’artiste : des manuscrits originaux de ses romans emblématiques, tels que L’Enfant de sable, La Nuit sacrée ou Les Yeux baissés, sont exposés sous vitrine. Une manière de souligner le dialogue intime entre ses mots et ses couleurs.
« L’idée est de montrer le lien entre la forme de mon écriture et la peinture », confie Tahar Ben Jelloun, qui se dit ému et honoré de voir son travail exposé dans ce musée de référence.
LNT
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]]>The post Plus de 700 exposants à la 30e édition du SIEL appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Cette édition qui réunira 311 exposants directs et 464 indirects, propose une vaste sélection de plus de 100.000 titres, couvrant tous les champs de la connaissances et des genres littéraires.
Présenté lundi à Rabat lors d’une conférence de presse, le 30è SIEL connaîtra la participation de nombreux chercheurs, écrivains et créateurs, marocains et internationaux, proposant une programmation quotidienne dense avec une moyenne de 26 activités par jour animées par plus de 762 intervenants, à travers des conférences, des rencontres littéraires, des soirées poétiques et des présentations d’ouvrages.
Organisé par le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, en partenariat avec la région Rabat-Salé-Kénitra, la wilaya de la région et la commune de Rabat, ce rendez-vous culturel prévoit des hommages à des figures emblématiques de la création marocaine, dont les œuvres ont marqué la culture nationale et contribué à son rayonnement.
Le programme inclura également des hommages à des personnalités de la culture arabe, organisés en partenariat avec l’ALECSO, outre la remise de prix littéraires, notamment les prix Ibn Battouta de la littérature de voyage et le Prix national de la lecture.
Cette édition mettra à l’honneur l’Émirat de Sharjah (Émirats Arabes Unis), renforçant ainsi son positionnement de centre culturel mondial, et son rôle dans la promotion de la culture arabe et islamique.
Dans ce sens, Sharjah propose un programme culturel, artistique et civilisationnel riche, portant sur la culture, la littérature, les arts et l’édition, exprimant sa vision de l’avenir de la culture arabe, et du rôle des éditeurs, à travers une délégation d’écrivains, intellectuels et éditeurs émiratis.
L’Autorité du livre de Sharjah présentera des événements illustrant la dynamique de la scène littéraire et créative émiratie, avec la participation de plus de 15 maisons d’édition, ainsi que l’organisation des tables rondes pour renforcer les échanges culturels avec le Maroc, des ateliers pour enfants, des spectacles patrimoniaux, et des séances de calligraphie arabe en collaboration avec des calligraphes marocains.
Cette année, le Salon célèbrera les Marocains du Monde qui contribuent au rayonnement de l’identité marocaine au-delà des frontières. Ainsi, un hommage sera rendu à quatre figures marquantes de l’histoire de l’immigration marocaine, notamment Abdellah Bounfour (spécialiste des études amazighes), Feu Ahmed Ghazali (dramaturge et muséologue), Lalla Khiti Amina Benhachem Alaoui (première journaliste marocaine à la radio-télévision belge), et Feu Driss Chraïbi, à l’occasion du 70e anniversaire de la parution de son roman « Les boucs » à Paris.
Le programme littéraire de la diaspora marocaine comprendra aussi une soirée poétique avec des lectures de poèmes en arabe, amazighe, français, anglais, italien et espagnol. Une rétrospective de 10 films pionniers du cinéma marocain sur l’émigration/immigration est également prévue.
De même, deux numéros hors série de revues seront publiés: le premier de la revue Diptyk (consacré aux plasticiens marocains du monde) et le second de la revue Tel Quel (dédié aux romancières de l’immigration).
S’exprimant à cette occasion, le ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mohamed Mehdi Bensaïd, a souligné que le choix de Sharjah en tant qu’invité d’honneur illustre l’engagement du Salon à consacrer les valeurs de coopération culturelle arabe et l’importance de s’ouvrir à l’autre, mettant en avant l’importance de renforcer les liens des Marocains du monde avec leur mère-Patrie.
Il a ainsi relevé que son département œuvre de concert avec les partenaires, institutionnels, professionnels et associatifs, pour faire de cette 30e édition un événement culturel d’envergure, contribuant à dynamiser la scène culturelle marocaine et à renforcer le rayonnement de Rabat en tant que destination culturelle sur les plans national et international, alors même que la ville se prépare à porter le titre de capitale mondiale du livre en 2026.
De son côté, le président du Conseil de la communauté marocaine à l’étranger (CCME), Driss El Yazami, a indiqué que la célébration de feu Driss Chraïbi est à même de découvrir son parcours créatif, à travers une exposition de photos et témoignages retraçant sa vie, faisant savoir que cet hommage aux Marocains du monde permettra de mieux comprendre les évolutions intellectuelles et culturelles de la diaspora, notamment la montée en puissance de la littérature féminine, par rapport à la première génération de migrants.
A l’instar des éditions précédentes, un programme riche et varié sera destiné aux enfants et aux élèves. Il comprendra 712 activités, dont 660 ateliers éducatifs répartis dans six espaces spécialement aménagés au sein de « l’Espace Enfant ». De plus, un espace dédié mettra en valeur une collection imprimée des bandes dessinées inspirées de la célèbre série les « Schtroumpfs ».
LNT avec Map
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]]>The post Amine Radi se produit au complexe Mohammed V avec son spectacle « L’Expert-Humoriste » appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Ce nouveau spectacle retrace le parcours d’Amine Radi, depuis ses débuts comme étudiant en comptabilité à Dijon jusqu’à son émergence en tant que figure reconnue de la scène humoristique francophone. Connu pour son style direct et son énergie scénique, l’artiste y partage, avec authenticité, les moments marquants de son parcours personnel et professionnel.
De ses premières vidéos tournées dans sa chambre à son développement comme humoriste international, Amine Radi s’est distingué par une forte présence sur les réseaux sociaux et un lien constant avec son public. Il totalise aujourd’hui plus de 500 représentations à travers plus de 20 pays, et a réuni plus de 3 millions de spectateurs.
Son format court « Quand tu sors avec une… » a rencontré un important succès en ligne, cumulant plus de 200 millions de vues. Avec plus de 6 millions d’abonnés sur ses différentes plateformes numériques, il figure parmi les personnalités les plus suivies dans l’univers du stand-up francophone.
La représentation du 19 avril à Casablanca constitue la première étape de la tournée internationale de « L’Expert-Humoriste », qui se poursuivra le 24 mai à Bruxelles (ING Arena), puis le 31 mai à Paris (Dôme de Paris).
LNT
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]]>The post Les films primés à l’honneur à l’IFM appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Jusqu’en mai, l’IFM met en avant des films récompensés, avec des projections en avant-première et une tournée de la réalisatrice Simone Bitton pour présenter son film « Les mille et un jours du Hajj Edmond » dans plusieurs villes marocaines.
Parmi les films à l’affiche, on retrouve « Emilia Perez » (du 4 au 30 avril), un thriller signé Jacques Audiard, « La Pie Voleuse » de Robert Guédiguian (du 12 avril au 15 mai), « Little Jaffna » de Lawrence Valin (du 10 au 25 avril), « Mikado » de Baya Kasmi (du 20 avril au 17 mai), « Les graines du figuier sauvage » de Mohammad Rasoulof (du 2 au 30 mai), « Un monde merveilleux » de Giulio Callegari (du 8 mai au 20 juin) et « Jouer avec le feu » des sœurs Coulin (du 8 au 27 mai). Le film d’animation « Flow, le chat qui n’avait pas peur de l’eau » sera projeté du 16 au 29 mai.
Des projections spéciales auront également lieu, comme la tournée de Simone Bitton pour « Les mille et un jours du Hajj Edmond » du 15 au 29 avril : Oujda (15/04), Fès (16/04), Meknès (17/04), Kénitra (18/04), Tanger (19/04), Rabat (20/04), Casablanca (22/04) et Marrakech (23/04).
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]]>The post Mawazine : Will Smith et Kid Cudi annoncés pour la 20e édition appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Ainsi, l’acteur et chanteur américain Kid Cudi, « la voix d’une génération, l’âme d’un rêveur », animera un « show unique », le 23 juin sur la scène OLM-Souissi, peut-on lire sur les pages Facebook et Instagram du Festival.
Pour sa part, l’artiste Will Smith, détenteur de quatre Grammy Awards, promet un « show légendaire », le 25 Juin à OLM Souissi, dans le cadre de ce Festival placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Selon l’Association Maroc Cultures, organisatrice de l’événement, le Festival représentera, comme à chaque fois, un moment culturel incontournable pour le public avec, encore et toujours, un accès gratuit pour 90% des festivaliers et des prestations qui porteront haut les valeurs de paix, d’ouverture, de tolérance et de respect.
« Pour cette nouvelle édition, l’un des plus grands événements culturels de la planète promet une programmation de qualité et pleine de surprises à tous les amoureux de la musique et de la culture, avec les plus grandes stars du répertoire mondial et arabe, les grands noms et les jeunes talents de la scène marocaine, ainsi qu’une sélection des figures incontournables des plus beaux patrimoines musicaux des cinq continents », explique l’Association.
La 19e édition du Festival avait réuni plus 2,5 millions de spectateurs durant neuf jours de célébration musicale sur les différentes scènes de Rabat et Salé.
Créé en 2001, le Festival Mawazine-Rythmes du Monde est le rendez-vous incontournable des amateurs et passionnés de musique au Maroc. Avec plus de 2 millions de festivaliers pour chacune de ses dernières éditions, il est considéré comme le deuxième plus grand événement culturel au monde.
LNT avec Map
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]]>The post Nathalie Romier fait revivre Edith Piaf dans deux spectacles au Maroc appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Billets en vente sur place et via guichet.ma
Infoline : 0608 700 100
Tarifs : VIP 600 DH | Orchestre 500 DH | Balcon 1 : 400 DH | Balcon 2 : 300 DH
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]]>The post La passion des couleurs : Une exploration artistique d’Abdelkader Laâraj appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>L’exposition se déroulera du 15 avril au 17 mai 2025.
Autodidacte, Abdelkader Laâraj débute dans le monde de l’art aux côtés de personnalités influentes du groupe de Casablanca, dont Mohamed Melehi et Mohamed Chabâa, avec qui il entretient une relation d’amitié. Son parcours, marqué par cet apprentissage et par de nombreux voyages, lui permet de développer un langage artistique unique.
Dans le catalogue de l’exposition, l’écrivain Olivier Rachet décrit son travail comme suit : « L’important est de créer des ponts entre un langage abstrait, plus schématisé que géométrisé, et une figuration qui valorise les corps, dans une dimension à la fois voluptueuse et spirituelle. Les motifs décoratifs, caractéristiques des arts islamiques, se mêlent ici à la légèreté des anatomies, évoquant l’univers graphique de Matisse ».
Le corps féminin est une thématique centrale dans l’œuvre de Laâraj, qu’il représente avec des couleurs vives. La palette de l’artiste, qui fusionne lignes et éclat des couleurs, est décrite par Olivier Rachet ainsi : « La couleur est une préoccupation essentielle de l’artiste, qui n’opère pas de distinction entre couleur et dessin, mais souligne leur continuité. Les couleurs s’adaptent aux formes, les remplissant par des aplats audacieux. Sa palette, harmonieuse, associe le jaune, le vert, le rouge, le mauve, le rose, l’orange et le noir avec une grande liberté ».
Influencé par sa proximité avec Melehi et Chabâa, Abdelkader Laâraj maîtrise la peinture cellulosique, une technique qu’il utilise pour apporter une richesse supplémentaire aux formes qu’il crée.
Né en 1950 à Casablanca, Abdelkader Laâraj a vu ses œuvres intégrées à des collections publiques et privées. Il a exposé à de nombreuses reprises, tant au Maroc qu’à l’international, notamment en France, en Italie, au Canada et aux États-Unis.
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]]>The post Tourat Al Maghrib : un voyage animé à la découverte du patrimoine culturel marocain appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Cette initiative vise à promouvoir la richesse culturelle du Royaume, tant matérielle qu’immatérielle, à travers un regard inédit, visuel et narratif, afin de le transmettre aux jeunes générations.
Diffusée chaque dimanche à 21h35 sur 2M, la série a rencontré un large succès sur les plateformes numériques du portail national, accumulant plusieurs millions de vues. Ce format animé, à la fois innovant et accessible, répond à la volonté d’atteindre un public élargi et de favoriser l’appropriation de l’identité culturelle par les jeunes, expliquent les concepteurs du projet.
Tourat Al Maghrib se veut également un projet de réhabilitation du patrimoine marocain, dans un contexte où l’information circule rapidement et où les récits peuvent être déformés. Basé sur des recherches rigoureuses menées par des historiens et experts, le programme cherche à offrir une lecture fidèle et immersive de l’histoire et de la culture du pays, souligne la même source. Chaque épisode se concentre sur un aspect essentiel du patrimoine, combinant animations, récits documentés et une ambiance sonore soignée. Par exemple, l’histoire du Malhoun est racontée par la voix de Hamid Choukri, aapportant une touche d’authenticité et d’émotion.
Le projet bénéficie aussi du soutien du Musée des Oudayas, qui a fourni des recherches et photographies exclusives sur les caftans anciens, intégrées dans la série sous forme de photocollages réalistes. Cette collaboration permet de mêler authenticité et modernité, offrant ainsi une expérience visuelle unique.
Le documentaire explore diverses facettes du savoir-faire marocain, en abordant des thèmes tels que le tarbouch, le zellige, la broderie traditionnelle, ainsi que la musique populaire. Parmi les sujets abordés, le caftan marocain, avec ses broderies et techniques artisanales raffinées, témoigne de l’excellence du tissage marocain. La série met aussi en lumière des œuvres musicales emblématiques, telles que Zarda de Haj Houcine Toulali, et l’art du zellige, avec plus de 400 motifs créés à partir de l’argile de Fès, toujours utilisés pour orner des palais et bâtiments historiques.
Artcoustic ne s’arrête pas à Tourat Al Maghrib et prépare plusieurs autres projets, dont une série animée sur Touria Chaoui, la première aviatrice marocaine. Le studio travaille aussi sur des productions consacrées à l’histoire du Maroc et développe actuellement Harun et Mamun, un court-métrage en stop motion, qui sera présenté au festival d’Annecy.
AL
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]]>The post « Oiseaux du Mexique » : Une exposition inédite au musée Yves Saint Laurent Marrakech appeared first on La Nouvelle Tribune.
]]>Conçue autour du thème des oiseaux, cette exposition met en avant la place prépondérante de l’avifaune dans l’art et l’artisanat mexicains. Des sculptures, céramiques, textiles, bijoux et œuvres picturales illustrent la diversité des représentations d’oiseaux — des coqs aux paons en passant par les aigles et les hérons — traversant différentes époques, de l’âge classique maya jusqu’aux avant-gardes artistiques contemporaines.
Au-delà de leur dimension esthétique, les oiseaux occupent un rôle central dans les traditions spirituelles et artisanales du Mexique. L’exposition dévoile notamment l’usage des plumes dans des savoir-faire emblématiques tels que l’orfèvrerie de Taxco, la poterie de Guanajuato, la céramique de Tlaquepaque ou encore la joaillerie et le textile. Elle met ainsi en lumière un patrimoine vivant où nature et culture sont intimement liés, trouvant un écho avec les traditions marocaines.
Cette exposition est le fruit d’une collaboration originale entre le Maroc et le Mexique. Imaginée par le commissaire mexicain Juan Gerardo Ugalde Salinas, en poste depuis 2023 au musée Yves Saint Laurent Marrakech, elle a été réalisée en coopération avec des experts en histoire de l’art et en anthropologie. Parmi eux figure Ana Elena Mallet, conservatrice reconnue, qui a apporté son expertise scientifique.
Le projet bénéficie de prêts exceptionnels d’institutions mexicaines de premier plan, telles que l’Institut National d’Anthropologie et d’Histoire (INAH), l’Institut National des Beaux-Arts et de Littérature (INBAL) et l’Institut National des Peuples Indigènes (INPI). Il s’agit de la première présentation d’un ensemble aussi important d’œuvres patrimoniales mexicaines au Maroc.
En parallèle de l’exposition, une programmation culturelle variée est proposée. Elle inclut conférences, concerts et un cycle de projections de films mexicains prévu du 1er mars au 26 juillet 2025, en simultané à l’auditorium Pierre Bergé du musée et à la Cinémathèque de Tanger, avec le soutien de la Fondation Jardin Majorelle.
LNT
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La Nouvelle Tribune : Pourriez-vous présenter votre parcours à nos lecteurs ? Comment définiriez-vous votre style ?
Olivier Unia : J’ai 55 ans mais je suis un jeune photographe, j’ai commencé à pratiquer la photo au début du Covid en janvier 2020. Je viens de la musique, c’est mon métier et j’ai passé ma jeunesse à admirer les pochettes des albums que j’écoutais. J’ai ainsi découvert de grands photographes comme Storm Thorgerson qui a réalisé des pochettes iconiques, celles de Pink Floyd, Lez Zepelin, Muse, Peter Gabriel et bien d’autres encore.
J’ai aussi beaucoup admiré dans les livres d’histoires et les magazines, des photographes reporter de guerres, comme Robert Cappa ou Lee Miller qui sont capable de mettre leurs vies en danger pour immortaliser des moments historiques.
En 2020, on commence à être confiné et comme beaucoup, pour lutter contre l’ennui, j’essaye de m’occuper. On m’avait prêté une caméra pour le tournage d’un clip, elle était là, posée sur un meuble. Je commence à photographier mon chat, mon chien, je regarde des tutos sur YouTube et je suis séduit par l’aspect technique ET artistique, cet équilibre qui, je crois, me convient bien. Un jour d’autorisation de sortie je vais au skate Park à Rabat et j’ai la chance de tomber sur un super gars, très bon skateur, qui profite lui aussi de ce moment de liberté. Je mets de trop longues minutes à régler mon appareil mais finalement je shoot et miracle, la photo est réussie, lui en suspension parfaite, la planche bien visible, le focus était bon, la lumière aussi, ça a été un vrai choc. J’ai eu une sensation qui, depuis, ne m’a jamais quitté.
Je pense que ma première expérience a guidé la suite de mon travail, c’est pourquoi j’aime énormément photographier en lumière naturelle, en extérieur et le plus possible des sujets en mouvement pour en capturer l’instant et le figer. Je suis également très sensible aux portraits de rue, ces regards et visages que l’on croise et qui rendent cet instant imprévisible.
Vous avez remporté le Sony World Photography Awards 2025. Que représente ce type de prix pour un photographe ?
Avec près de 500 000 photos en compétition, ce concours est l’un des plus prestigieux au monde et je voyais passer dans la presse spécialisée, chaque année, les photos des lauréats. En 2024, j’ai eu le plaisir de gagner le « Grand Prix de la Photographie du Maroc by Darem Bouchentouf » avec une photo de Tbourida, ce qui m’a donné confiance pour m’inscrire au Sony World Photography Award. Aujourd’hui c’est, évidemment, une énorme fierté d’être primé, cela donne beaucoup d’énergie pour la suite de mes projets, les expositions, les conférences et les publications à venir.
À travers votre art, on devine votre relation particulière avec le Maroc. Pouvez-vous nous en parler ?
En 2009, nous sommes venus en famille nous installer au Maroc, et au départ nous devions y rester 3 ans ; 17 ans plus tard on est encore ici. Ma relation avec le Maroc est très forte. En ayant souvent déménagé dans ma vie je m’aperçois que Rabat est la ville où j’ai vécu le plus longtemps.
En termes de photo, il est évident que c’est un pays incroyable avec une lumière exceptionnelle et des paysages splendides. Ce n’est pas pour rien que de nombreux tournages de cinéma s’installent ici sans parler de photographes et des peintres. Je ne photographie pas que le Maroc, mais c’est ici que j’ai commencé et je ne me lasse pas de le faire. J’ai également un très grand attachement à la culture du pays que j’essaye de mettre en avant dans mon travail comme par exemple cette série sur la Tbourida. Je suis également fan de l’architecture, ma première exposition solo en 2023 avait justement pour thème la ville de Rabat et désormais je mets un point d’honneur à élargir mon travail photo à d’autres villes du royaume. Comme j’aime dire : « je photographie et mon amour du Maroc fait le reste. »
Plus particulièrement, qu’est-ce qui vous a attiré dans l’art équestre de la Tbourida ?
Jeune, j’ai beaucoup monté à cheval, j’ai un rapport très fort avec les chevaux et forcément, ici, parmi toutes les activités culturelles équestres, la Tbourida est l’une des plus spectaculaires.
En 2023, ma première photo de Tbourida, je l’ai faite à El Arjat. J’ai vraiment ressenti quelque chose de très puissant, de très beau et de très noble et comme j’ai une grande confiance aux chevaux, je n’avais pas peur de me poster très près d’eux.
La Tbourida rassemble beaucoup de ce que j’aime en photo, une lumière naturelle en extérieur, beaucoup mouvement, des chevaux, des hommes courageux qui prennent des risques et une belle représentation culturelle. Mettre tout cela en avant, et avoir l’opportunité de le partager est un réel plaisir.
À l’heure où l’IA menace les artistes du monde, selon vous, qu’est-ce que l’œil d’un photographe apporte qu’un robot ne peut apporter ?
Je suis de l’école de ceux qui trouvent leur accomplissement dans « faire les choses » et pas « regarder les choses se faire ». Je ne suis pas contre le progrès, mais il faut qu’il soit au service du créateur un outils et non pas se substituer à celui-ci.
La technologie dans le médical ou la science c’est formidable, ça sauve des vies, mais artistiquement je ne peux pas me réjouir à l’idée de regarder une photo ou écouter une musique qui a été créée par un programmeur de ligne de code.
Un artiste c’est surtout une vision, une âme, une sensibilité dont les machines sont, par définition, totalement dépourvues. Si un jour, comme dans le film Blade Runner, les machines s’interrogent sur leurs capacités à ressentir l’amour, alors on pourra émettre l’idée qu’elles ont des émotions et qu’elles peuvent donc devenir des artistes.
Personnellement, je milite pour que chaque image générée par une IA en porte la mention de façon systématique et obligatoire.
Propos recueillis par Soufia Khabbouch
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]]>Initiées en 2007 à El Jadida, ces manifestations se sont progressivement étendues à toutes les antennes de l’Institut, devenant un rendez-vous incontournable pour célébrer le Ramadan à travers la musique. En près de 20 ans, l’événement a attiré plus de 20 000 spectateurs, réunis dans une atmosphère conviviale et familiale. L’édition 2025 met à l’honneur les scènes musicales marocaines et françaises, offrant un espace d’échanges interculturels et intergénérationnels, tout en diffusant des valeurs de dialogue, de respect et de partage.
Sous le thème des « Confluences méditerranéennes », cette édition invite le public à explorer la diversité musicale de la Méditerranée, entre les rives du Sud et du Nord, expliquent les organisateurs. Chaque représentation, unique à chaque étape du parcours à travers les villes du Royaume, offre une rencontre entre des artistes aux horizons variés. L’objectif est de célébrer la spiritualité, la mémoire et la richesse culturelle partagée, souligne la même source.
Parmi les temps forts, Nuit d’Orient propose un dialogue entre les mélodies françaises et arabo-andalouses, mettant en lumière l’harmonie universelle des cultures. Le spectacle se produira à Agadir le 20 mars et à Marrakech le 21 mars.
Ouled El Bled, de son côté, réinvente la musique marocaine à travers les yeux de trois musiciens français et une chanteuse, après des années d’immersion dans la culture marocaine. Ce concert se tiendra à Oujda le 25 mars, à Casablanca le 27 mars, et à Rabat le 28 mars.
Enfin, Racines Fola réunit des musiciens venus du Sénégal, du Maroc et de la France, offrant une expérience sensorielle et spirituelle unique. Ce collectif fusionne des instruments traditionnels africains, tels que la Kora et le Tama, avec des sonorités plus occidentales, créant un dialogue musical riche et émouvant. Racines Fola sera en concert à El Jadida le 19 mars et à Casablanca le 20 mars.
AL
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