Casablanca s’apprête à vibrer au rythme de la musique et de l’ambiance incomparables de Jazzablanca. Le festival promet une belle expérience musicale pour illuminer le début de l’été dans la ville !
A Anfa Park (pour les concerts payants) et à la Place des Nations Unies (pour les concerts gratuits), la 16ème édition promet de plonger le public dans un univers unique où la magie de la musique règne en maître.
À seulement trois jours du début des festivités, Jazzablanca connaît un engouement sans précédent, selon les organisateurs, puisqu’il ne resterait que quelques billets disponibles.
Le festival mettra en avant six groupes marocains, dont les styles musicaux et les sensibilités embrassent les sonorités du Sud. Ces musiciens emmèneront le public dans un voyage avec des rythmes à la fois ancestraux et résolument modernes, reflétant ainsi la richesse et la diversité culturelle du Maroc d’aujourd’hui.
Chaque soir à la Place des Nations Unies, à partir de 19h30, le public aura rendez-vous avec une explosion de talent. Au programme : Izouran N-Sahara, un véritable écho du désert ; le duo électrisant Sound of Mint ; Khmissa, une puissante fusion de rock et de rythmes gnawa ; Tarwra N-Tiniri, passionnés de poésie amazighe ; le groupe Badil, une fusion de vibrations sahariennes et de rock psychédélique ; et Jubantouja, un mélange enchanteur d’indie folk et de pop rock.
Jeudi 22 juin, Izouran N-Sahara, originaire de l’oasis de M’hamid Elghizlan, captivera le public par son authenticité en interprétant l’album « Tinsant », un hommage à la richesse musicale du désert. À 20h50, Sound of Mint, le duo formé par Fadel Lahlou et Joël Pellegrini, offrira un mélange mystique de musique électronique et d’instruments africains.
Pour ce qui est du vendredi 23 juin, Khmissa, lauréat du concours L’Boulevard dans la catégorie musique fusion, proposera un concert alliant rock et gnawa, mettant en avant leur dernier EP, « Bouchachia », sorti en janvier dernier.
À 20h50, le groupe Tarwa N-Tiniri, originaire de Ouarzazate, présentera également son amour pour la poésie amazighe et une fusion inédite de blues et de chants traditionnels du Sud-Est du Maroc.
Enfin, samedi 24 juin, Badil, ce groupe basé à Casablanca, fusionnera les vibrations sahariennes avec du rock alternatif psychédélique. À 20h50, Jubantouja, conquérant progressivement la scène musicale marocaine par leur talent et leur originalité, proposeront un concert mêlant indie folk et pop rock, avec des chansons entièrement interprétées en tamazight.