Aucune poursuite n’a été retenue par la justice française contre le président de la Confédération africaine de football (CAF), Ahmad Ahmad, interpellé jeudi en France pour être entendu au sujet d’un «contrat rompu unilatéralement par la CAF avec l’équipementier allemand Puma», rapportent vendredi des médias français citant le procureur de Marseille (sud du pays).
M. Ahmad Ahmad « est ressorti libre de sa garde à vue, sans poursuite à ce stade », précisent les mêmes sources.
Le président de la CAF avait été interpellé dans le cadre d’une information judiciaire ouverte à Marseille le 28 mai dernier.
Jeudi, la FIFA avait affirmé dans un communiqué avoir « pris note des évènements présumés concernant Ahmad Ahmad, qui est interrogé par les autorités françaises » pour des « allégations liées à son mandat de président de la CAF ».
La fédération internationale avait dit, par ailleurs, ne pas être en mesure de commenter cette affaire et demandé « aux autorités françaises toute information » qui pourrait intéresser son « comité d’éthique ».
M. Ahmad Ahmad est présent à Paris dans le cadre du Congrès électif de la FIFA qui s’est tenu dans la capitale française mercredi, juste avant le coup d’envoi du Mondial féminin vendredi dans la capitale française.
Tout est bien qui finit bien, malgré les fake news distillées par certains secteurs médiatiques furieux de la décision de la CAf de faire rejouer le match WAC-EST.